Millie est affalé sur le rebord d'un canapé éclaté par l'un des alcooliques du bar dans lequel elle travaille ; chaque vendredi.

Le bar n'es pas très grand effacer au milieu d'un desert "Tennessien" rappellant presque les routes utiliser pour tourner un film de cow-boys. Bienvenue à Tennessee.

Karl le barman interpelle Millie affalé ; la jeune fille de dix neuf ans et quelques, ramasse une partie de soi en allant voir son collègue. « Oui quoi ?» lui adresse-t-elle brièvement ? Avant de tourner sa tête en direction de la fenêtre : deux voitures de police courant une voiture blanche.

- J'ai une sérieuse commande pour le gars de la table, mon ange, tiens moi ça. L'homme lui donne une carafe et lui offre un baisé sur le front avant de lui mettre une petite fessé, courage ! Millie se dirige à deux doigts de s'écrouler au sol vers la table numéro 13. Effectivement, Millie à ce qu'on pourrait qualifier de "vie de merde", son employeur la force à faire des heures en plus non rémunéré, elle se fait agressé de toute les manières qu'il soit lors des soirées et des pool-party, et pour finir, a une montagne de facture impayée qui lui court après, face à une directrice de logements exécrable.

- Millie regarde où tu vas merde !

Crie un autre

- Eh meuf fait gaffe, c'est quoi ton 'blèm ?

Gain un autre

- PUTAIN CONASSE ATTENTION !!!

Beugle un autre qui ne se gêne pas de la bousculé vers la table numéro 13. La jeune Millie tente du mieux qu'elle peut de se rattraper avant de s'écrouler plat ventre sur son client. La musique continue de percé le silence créé à partir de la chute de la jeune serveuse, désespérément plongé dans un profond sommeil. « Boss ! C'est quoi cette merde j'ai demandé un verre moi pas une prostituée !» le chef du restaurant sort du guichet et s'empresse de sortir Millie de sur les genoux de l'homme.

- Millie ! Réveille toi bon sang ! Excuse toi !!

Le patron la saisit fort par le bras la secouant dans tout les sens.

- Ouais... Quoi m'sieur, marmonne-t-elle dans son sommeil.

- MILLIE J'EN PEUT PLUS DE VOUS CHAQUE JOUR C'EST LA MÊME CHOSE !

- Mais... M'sieur..

- FERME LÀ ! Tu sais quoi ? T'es viré dégage de là !

L'homme l'attrape par les cheveux et la fou à plein le sol. « Dégage de là j't'ai dit joue pas avec moi sale - !!! » Le patrons n'a pas le temps de terminer sa phrase que la police débarque sur les lieux un homme blond ayant là vingtaine menottes le patron. Lui et son équipe se chargent par la suite de sortir le reste des fêtards, alcooliques, et prostituées.

- Doughlerry, laisse je m'en occupe. Souffle l'agent au blondinet, ramène la fille au sol chez elle, elle habite au motel dans la région est.

- Entendu monsieur Walls. Le blondinet porte la jeune serveuse, et la dépose à ses côtés contre son épaule sur la voiture décapotable de police. Il enlève son gilet par balle met la radio, et ses lunettes de soleil avant de tourner la clé, en route pour une nouvelle destination, le reste des voitures des cops était en lignes et s'éparpillaient sur tel et tel route au fil de l'avancé.

Les deux fonce tout droit sur une autoroute ligne droite le levée du soleil devant à l'horizon, déguisé par des roches rouge.

Après quelques minutes, Millie ouvre les yeux, se réveillant agréablement surprise x, sur l'épaule protectrice de l'agent.

- Faut pas se mettre dans la merde comme ça même sans argent. Rétorque paisiblement l'officier au volant.

Millie relève un peu sa tête, les yeux humide par la fatigue et les paroles de l'homme.

- Oui, je vous remercie monsieur l'agent, mais, dans la vie faut faire certain choix,...

Qu'ils te soit bénéfique ou non... Dans tout les cas merci d'être venue monsieur.

Elle décolle sa tête de son épaule et contemple le levée du soleil.

Une fois déposer chez elle, la jeune femme est accompagné jusqu'à son domicile par le garçon, les deux discute sur le chemin.

- Je me demande bien comment tout cela à commencer, ce n'était pas un bar là où tu travaillais, ce n'était que des esclavagistes sexuelle, certains étant maître de narco-quartiers et contre-bandiers.

- Qu'importe l'organisation, je voulais juste de quoi payer mon loyer moi de base ... Je voulais déranger personne.(croise les bras)

- Bref, faites attention à l'avenir, bien.

Ce fut un plaisir ?

- Millie Yeong enchantée. (Serre la main)

- Dany Walls, enchanté également (Serre la main )

L'agent s'égare avant de se retourner suite à des cries « Nan mais c'est une blague ! Vous vous fichez de moi, si vous ne payez pas cette facture d'ici ce soir c'est terminé !! Vous dégagerez vous et vos 50 cens par mois ! Que je ne vous le rappelle plus » la gardienne s'en va, dévisage l'officier puis s'enferme dans son logis.

Millie est exténuée, tuer par la vie et ne voyant aucun échappatoire, elle se réconforte avec un café fort mexicain qu'elle achetait à un contre-bandier : elle l'avait moins chère.

Arrivée le soir, Millie est affalé sur son pouf, regardant Thursday sur Betflix, malgré son manque d'argent elle était forte dans l'illégalité et le braquage de code. En effet, la plupart des choses qui se trouve chez elle sont de contre-bande, rien de plus.

Alors qu'elles attendais paisiblement le prochaine épisode un déclic la fit sursauter la plongeant dans le noir total : fallait la payer un jour, l'électricité.

La pauvre et malheureuse se dirige vers la cuisine et maintient fermement son couteau à steak. Elle traîne son corps et ses douleurs au rebord de la fenêtre, « il fait beau » pensa-t-elle repensant à l'homme l'ayant sauvé la vie. Elle se croirait dans un rêve, mais quand dans tout rêve il y a une fin douloureusement maintenu par la réalité, et cette réalité, Millie veut la fuir pour toujours. Elle voulait en finir le plus vite possible ; elle en aurait fait des tas de choses si elle avait une seconde chance. C'était sa prière de chaque jours.