Quand il est arrivé chez Alice, Guillaume a vu un lit de chat…non, trois lits de chat. Dieu merci qu'il n'était pas allergique aux chats parce que s'il était, Guillaume serait mort ! Ils sont entrés et Alice a fermé la porte. « Désolée, j'ai oublié de te dire que j'ai des chats. Es-tu allergique ? » a-t- elle demandé. Guillaume l'a dit qu'il n'était pas allergique. Alice se sentait à l'aise de cette réponse. « Aujourd'hui était intéressant, n'est-ce pas ? » Alice a dit comme elle a baillé. Guillaume hocha la tête en signe d'accord. « Eh bien, je suis fatiguée et toi ? »
« Oui. »
« Où veux-tu dormir ? »
« Je peux dormir sur le canapé. »
« D'accord. » Alors, Guillaume a dormi sur le canapé et Alice a dormi dans son lit.
Le lendemain matin, Alice s'est réveillée et elle s'est habillée et elle est descendue où Guillaume dormait encore. Elle a souri un peu quand elle l'a entendu ronfler. C'était fou qu'elle avait un garçon qui dormait sur son canapé. Alice a commencé à préparer le petit-déjeuner quand Guillaume s'est réveillé.
« Bonjour, la belle au bois dormant. »
« Bonjour. Quelle heure est-elle ? »
« Il est 8 h 45. Pourquoi ? Est-ce que tu as quelque part où être ? »
« Oui, je voulais aller à la bibliothèque. »
« D'accord. Nous pouvions y aller ensemble. »
« Nous pouvons faire ça. Qu'est-ce que tu prépares pour le petit déjeuner ? »
« Bacon et œufs. »
« D'accord. »
Après qu'ils eurent fini le petit déjeuner, Guillaume a fait la vaisselle et tout à coup, il sentait quelque chose le toucher. Il a regardé et il a vu un chat noir et blanc. Alice avait trois chats: Jørge, Thor et Sven. Jørge était noir et blanc, Thor était orange et Sven était un chat tigré. Guillaume a souri quand il les a vus. Après ça, Guillaume et Alice sont allés à la bibliothèque. Quand ils sont arrivés, ils ont commencé à trouver des livres à lire. Ils ont trouvé des livres qu'ils aimaient et ont commencé à les lire. Alice regardait par-dessus son livre pour observer Guillaume pendant qu'il lisait. Elle savait qu'elle venait de le rencontrer, mais Alice ne put s'empêcher de sentir son cœur bat en le regardant. Elle se demandait s'il ressentait la même chose. C'était ironique qu'elle ne s'est pas rendu compte qu'il l'a fait.