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Toby And Emily

Milo and Maisie

|13X FEATURED · 2024 NANO WATT/ONC 2024 LONGLIST · AMBASSADORS' PICK| Two years after her older brother's tragic death, anxiety-stricken Maisie and her emotional support cat, Milo, attend the Disney College Program, where they must discover a new life meaning in the most magical place on Earth. *** The death changed everything. Milo, an orange tabby, has always wanted a little sibling, but after the tragic loss of his owner's older brother, adoption was put on hold, and he became her Emotional Support Animal. Now, two years later, Maisie's determined to grant Milo's long-overdue wish; however, she's still grieving and overthrown with anxiety, leaving Milo to tag along with her for the famed Disney College Program. Nevertheless, when heartbreak catches him, too, Milo must push past his grief to save himself and his wish. Maisie Claire is ready to move on but not prepared to leave her family after two years for the DCP. She would've never accepted that offer letter if it hadn't been for her parents helping her get an ESA. Now trapped in an unfamiliar world, Maisie must find a new life meaning while still keeping her brother's memory alive. It starts with discovering the courage to befriend her mysterious suitemate and thanking Milo for everything he's done. After all, sometimes moving on just takes a little bit of courage. *** *Prompt Used: #24-"A desperate wish, made from the heart, is always answered. Sooner or later.* *Based on a true story.* *Contains a subtle, LGBTQ+ subplot because of Disney's Inclusion Key, but it's not the main focus. However, please be respectful.*
CroodsGirl · 25.4K Views

Friendship and Fiascos

I wake up with the sun beating down on my face, and sweat dripping from my neck down my spine, I turn over to look at my alarm clock and it’s … it’s not there, this isn’t my room… but wait it is . I quickly get up from my bed and rushed out of my room to go check for my best friend who I was living with at the time . “Jerald !!! Jerald !!! What’s going on, did you move my things ?” But my mum answered instead “ who is Jerald??? You woke up late and now you’re trying to bring the whole house down, go shower or you’ll be very late for school, you better hurry or I’m throwing you and your bag out at 7:40 “ my mum said as she walked away to the kitchen. I was shocked, I didn’t understand what was going on, I moved from my mums house two years ago, I’m currently leaving in a Condo in LA with best Friend from high school … this isn’t LA… or maybe I’m still asleep? . I walk to my old bathroom to go wash my face. I turned the tap on and splashed some water on it, then I grabbed the towel next to the door and look at the mirror in front of me … I screamed !!! “Aghhhhhhhhhhhhh” why do I look 14???? I’m 21 …. I felt dizzy, but i could hear my mum yelling from the kitchen “stop shouting and just kill the spider, it can’t kill you” my mum said thinking I saw a bug, how is she sure it’s not poisonous … typical African parent, but wait … what is happening to me ? Did I go back in time ?
Kenzakiazur · 4.3K Views

Le Chant de la Compassion d’une Petite Fille Lâm Thị Huế - Lâm Emilie

Chapitre 1 : L’enfance dans des jours difficiles Je suis néedans une famille de cinq enfants, au milieu d’une époque où le pays subissait encore les lourdes conséquences de la guerre. À cette époque, ma famille était très pauvre. Mes parents, qui avaient grandi durant cette période difficile, n’avaient pas eu l’opportunité de bénéficier d’une éducation complète. Ainsi, toute leur vie, ils n’ont connu que le travail à la ferme, luttant durement pour subvenir aux besoins de la famille. Être agriculteur à cette époque était très éprouvant. Mes parents devaient se lever à l’aube, qu’il pleuve ou qu’il fasse beau, pour aller semer du riz ou récolter. Mais même le travail aux champs ne suffisait pas à nourrir toute la famille, alors ils devaient effectuer d’autres travaux pénibles. L’un de ces travaux était le déblaiement des pierres, un travail dangereux et épuisant. Mes sœurs, bien que très jeunes, devaient aussi suivre mes parents pour ramasser des pierres et faire exploser des mines. À un âge où elles auraient dû être à l’école comme tant d’autres enfants, elles devaient faire face à un dur labeur. La vie s’écoulait ainsi, et ma famille accueillit deux nouveaux membres – mon frère aîné, puis moi. À cette époque, au Vietnam, les garçons étaient souvent valorisés par rapport aux filles. Mon frère était choyé par mes parents bien plus que mes trois sœurs. Quant à moi, étant la benjamine, j’ai reçu le nom de Huế, d’après une ville ancienne et poétique du Vietnam. Les premiers souvenirs que je peux évoquer remontent à mes cinq ans. Je me rappelle très clairement des enfants du quartier – beaucoup étaient plus jeunes que moi – qui étaient emmenés par leurs parents à l’école maternelle. Quant à moi, je ne pouvais pas y aller. Je me contentais de me tenir à l’extérieur de l’école, à regarder à travers la fenêtre, voyant mes camarades chanter et danser joyeusement. Je ne comprenais pas pourquoi je ne pouvais pas aller à l’école comme eux, mais je ne m’en plaignais pas. Je restais là, observant silencieusement pendant un bon moment, puis je reprenais le chemin de la maison. À cette époque, j’étais une petite fille naïve et innocente, ne comprenant pas grand-chose de la vie, ne sachant que j’étais très obéissante, toujours à l’écoute de mes parents. Je ne savais pas que les années à venir seraient encore pleines de défis… Chapitre 2 : Les jours d’innocence En entrant à l’école primaire et au collège, je garde des souvenirs magnifiques de mes années passées sous le toit de cette école simple. Cette école n’était pas aussi moderne que celles d’aujourd’hui, mais c’était pour moi un endroit extrêmement cher. La cour de l’école était ombragée par de grands arbres, offrant un refuge lors des récréations pleines de rires. Chaque fois que le gong annonçait le début des cours, la cour devenait soudainement silencieuse. À cette époque, mes camarades et moi écoutions attentivement les enseignants, sans téléphones ni Internet, juste des livres et une soif d’apprendre. Le soir, je rentrais dans notre petite maison chaleureuse, où cinq frères et sœurs se retrouvaient avec nos parents. Mes sœurs avaient alors entre 17 et 18 ans, un âge rempli de vitalité et de premiers rêves. Notre maison était donc toujours animée et joyeuse. Les amis de mes sœurs venaient souvent jouer, s’asseyant autour d’un thé et discutant gaiement, ce qui rendait l’atmosphère familiale toujours vivante. Pour ma part, chaque après-midi après l’école, je me plongeais dans l’innocence de l’enfance avec mes amis du quartier. À côté de chez moi se trouvait une grande pelouse, où nous nous rassemblions chaque jour pour jouer à toutes sortes de jeux. Nous apprenions à faire du vélo, à sauter à la corde, à jouer à colin-maillard, à cache-cache… Ces jeux folkloriques faisaient partie intégrante de l’enfance de nombreuses générations, simples mais incroyablement joyeux.
mimihue · 299 Views
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