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Demon Slayer Chant

The World’s King Slayer

Deep in the Void a universe called the Dream Universe made up of planets called the Realms. A place where all those who cultivate and who strive to ascend into Cosmic God status is the goal. Here the Dream Universe is governed by a Cosmic being known simply as the World. The World crowns kings to rule and chooses only those with the potential to join the Primordial regime. Every hundred years each who are crowned are given something called the King's Test. Since the World does not personally take part in this test they summon a champion from the Realms with the same potentials as the Kings. They are King Slayer warriors with strong power and skill chosen to either die showing a king's potential, or kill the king to make way for a new one. This particular test is different. This is an eradication of King's who have abused power and caused strife among the realms erupting into a civil war. The newest King Slayer is one who is not only powerful, but carries a Thread of Necessity with a destiny to bring great change to the Realms. All the World wants is for the wicked Kings to fall and clean the slate. The King Slayer wants power and freedom. But both don’t realize how different this Test will be. Author Note: First volume I throw you into the story. I wrote it where it builds and the world around it builds as it goes along. You learn the back story of the Slayer in volume 2. I wanted to stand out and immerse you into the world I’m creating.
Salvatore_LeVota · 73.2K Views

Azrael, The Strongest Slayer

--Spin off-Prequel of my novel "The tale of a vampire slayer" that follows the legend of Azrael, the strongest Slayer-- [Trigger Warning! May contain Very violent scenes.] "A man with no past. A shadow with no master. A legend whispered in fear." The night does not belong to men. The world has long since fallen under the dominion of those who feast on blood, their cursed rule upheld by dark sorcery and immortal bloodlines. The gods have turned away, the light has faded, and the few who still resist do so in vain. But in the darkest abyss of history, there exists a name. A name that should not exist. A name that does not belong to kings, nor heroes, nor prophets. Azrael Noctis. No divine blessing. No enchanted blood. No ancient power. Only flesh, steel, and an unshakable will. He is the man born without magic in a world of sorcery. A lone figure who walks the path no one else dares to tread. An executioner with no master, an instrument of destruction bound by a single, unbreakable rule— "I do not kill men. I do not kill demons. I'm only born to kill vampires." No one knows where he came from. No one knows how he defies the limits of human flesh. He does not tire. He does not falter. He does not kneel. Some say he is a curse upon the cursed, a punishment forged by the heavens to purge the world of the damned. Others whisper that he is no man at all, but something far worse. But one truth remains: wherever the night stretches its claws, the Slayer will return from his ashes and destroy the evil. A dark fantasy epic of relentless battle and supernatural terror. One man vs. an entire world of monsters. The legend that should never have existed.
Ryukiro · 2K Views

Le Chant de la Compassion d’une Petite Fille Lâm Thị Huế - Lâm Emilie

Chapitre 1 : L’enfance dans des jours difficiles Je suis néedans une famille de cinq enfants, au milieu d’une époque où le pays subissait encore les lourdes conséquences de la guerre. À cette époque, ma famille était très pauvre. Mes parents, qui avaient grandi durant cette période difficile, n’avaient pas eu l’opportunité de bénéficier d’une éducation complète. Ainsi, toute leur vie, ils n’ont connu que le travail à la ferme, luttant durement pour subvenir aux besoins de la famille. Être agriculteur à cette époque était très éprouvant. Mes parents devaient se lever à l’aube, qu’il pleuve ou qu’il fasse beau, pour aller semer du riz ou récolter. Mais même le travail aux champs ne suffisait pas à nourrir toute la famille, alors ils devaient effectuer d’autres travaux pénibles. L’un de ces travaux était le déblaiement des pierres, un travail dangereux et épuisant. Mes sœurs, bien que très jeunes, devaient aussi suivre mes parents pour ramasser des pierres et faire exploser des mines. À un âge où elles auraient dû être à l’école comme tant d’autres enfants, elles devaient faire face à un dur labeur. La vie s’écoulait ainsi, et ma famille accueillit deux nouveaux membres – mon frère aîné, puis moi. À cette époque, au Vietnam, les garçons étaient souvent valorisés par rapport aux filles. Mon frère était choyé par mes parents bien plus que mes trois sœurs. Quant à moi, étant la benjamine, j’ai reçu le nom de Huế, d’après une ville ancienne et poétique du Vietnam. Les premiers souvenirs que je peux évoquer remontent à mes cinq ans. Je me rappelle très clairement des enfants du quartier – beaucoup étaient plus jeunes que moi – qui étaient emmenés par leurs parents à l’école maternelle. Quant à moi, je ne pouvais pas y aller. Je me contentais de me tenir à l’extérieur de l’école, à regarder à travers la fenêtre, voyant mes camarades chanter et danser joyeusement. Je ne comprenais pas pourquoi je ne pouvais pas aller à l’école comme eux, mais je ne m’en plaignais pas. Je restais là, observant silencieusement pendant un bon moment, puis je reprenais le chemin de la maison. À cette époque, j’étais une petite fille naïve et innocente, ne comprenant pas grand-chose de la vie, ne sachant que j’étais très obéissante, toujours à l’écoute de mes parents. Je ne savais pas que les années à venir seraient encore pleines de défis… Chapitre 2 : Les jours d’innocence En entrant à l’école primaire et au collège, je garde des souvenirs magnifiques de mes années passées sous le toit de cette école simple. Cette école n’était pas aussi moderne que celles d’aujourd’hui, mais c’était pour moi un endroit extrêmement cher. La cour de l’école était ombragée par de grands arbres, offrant un refuge lors des récréations pleines de rires. Chaque fois que le gong annonçait le début des cours, la cour devenait soudainement silencieuse. À cette époque, mes camarades et moi écoutions attentivement les enseignants, sans téléphones ni Internet, juste des livres et une soif d’apprendre. Le soir, je rentrais dans notre petite maison chaleureuse, où cinq frères et sœurs se retrouvaient avec nos parents. Mes sœurs avaient alors entre 17 et 18 ans, un âge rempli de vitalité et de premiers rêves. Notre maison était donc toujours animée et joyeuse. Les amis de mes sœurs venaient souvent jouer, s’asseyant autour d’un thé et discutant gaiement, ce qui rendait l’atmosphère familiale toujours vivante. Pour ma part, chaque après-midi après l’école, je me plongeais dans l’innocence de l’enfance avec mes amis du quartier. À côté de chez moi se trouvait une grande pelouse, où nous nous rassemblions chaque jour pour jouer à toutes sortes de jeux. Nous apprenions à faire du vélo, à sauter à la corde, à jouer à colin-maillard, à cache-cache… Ces jeux folkloriques faisaient partie intégrante de l’enfance de nombreuses générations, simples mais incroyablement joyeux.
mimihue · 475 Views
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