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Code Compass

Legend of the Nadine Nectar

In the realm of Teneria, situated on the continent of Erica, three princesses are poised for significant achievements. Runa, designated as the chosen one, wants to restore the kingdom to its former prominence. Scarlet is motivated by retribution, strives to reclaim her lost domain, and seeks vengeance for her people. Jessica, prepared to foster unity across the realm, must adeptly navigate the complex landscape of power dynamics and political maneuvering. Their trajectories converge upon the resurfacing of the Blue Compass, concealed for over four centuries. This compass serves as a navigational instrument leading to the esteemed Nadine Nectar that bestows upon the consumer the ability to attain dominion over all creatures. The unexpected re-emergence of the Blue Compass, a long-lost artifact, disrupts the prevailing peace and incites widespread conflict. Nations that had previously maintained a fragile harmony now find themselves in opposition. The three princesses, each embodying a distinct destiny, emerge at the forefront of this turmoil. As nations unfurl their war banners and issue battle cries, the location of the Nectar becomes known solely to the individual in possession of the Blue Compass. As the princesses undertake a perilous journey to secure the Nectar, they must confront personal adversities, cultivate unexpected alliances, and confront formidable adversaries. However, as they move closer to their objective, they realize that the price of power may exceed their initial expectations. The crucial question remains: will Runa, Scarlet, and Jessica surmount their differences and collaborate to obtain the Nectar, or will their divergent paths lead to the undoing of the Realm? This is Teneria, where the quest for power and the authentic essence of greatness are rigorously examined.
Remileku_David · 7.8K Views

The Villain’s Cheat Code: When a Gamer Becomes the Evil God’s Sidekick

[When a Veteran Gamer Becomes the Game's Villain, Can the World Still Be Saved?] [Villain + Light-hearted Fun + Semi-invincible + MMORPG = Ultimate Enjoyment!] After completing his seventeenth game order in an all-night session, Victor unexpectedly finds himself reborn into a game world he knows like the back of his hand—as its infamous villain, no less. In the original storyline, he was destined to face the hostility of the entire world alone: - The proud female Valkyrie leader (his fiancée) longs to take his life - An all-powerful female heiress dreams of burying him alive - The Grand Duke wants to tear him to pieces - Even the stray dogs on the street bare their teeth at him Now, this "villain" possesses a player's cool-headed mindset and comprehensive knowledge of the game world. Faced with a predetermined death sentence and countless players coveting his experience points, how will Viktor use his profound understanding of the game and his calm, rational mind to turn the tables? Can he establish an unbeatable position in this world? When a player who has mastered the game's mechanics becomes the villain within the game, what kind of sparks will fly? In this marvelous journey filled with strategy, humor, and unexpected twists: - Every level-up could be a life-or-death decision - The line between villain and hero blurs under Viktor's careful calculations - What kind of chemical reaction will occur when game skills collide with real-world magic? - Will Viktor's gaming skills and his newly formed alliance with the evil god be enough to change the tide? Are you ready? Step into Viktor's world, where the "villain" has never been so charismatic, and the future? Well, who can say for sure?
DaoistsSzmtd · 46.3K Views

Le Chant de la Compassion d’une Petite Fille Lâm Thị Huế - Lâm Emilie

Chapitre 1 : L’enfance dans des jours difficiles Je suis néedans une famille de cinq enfants, au milieu d’une époque où le pays subissait encore les lourdes conséquences de la guerre. À cette époque, ma famille était très pauvre. Mes parents, qui avaient grandi durant cette période difficile, n’avaient pas eu l’opportunité de bénéficier d’une éducation complète. Ainsi, toute leur vie, ils n’ont connu que le travail à la ferme, luttant durement pour subvenir aux besoins de la famille. Être agriculteur à cette époque était très éprouvant. Mes parents devaient se lever à l’aube, qu’il pleuve ou qu’il fasse beau, pour aller semer du riz ou récolter. Mais même le travail aux champs ne suffisait pas à nourrir toute la famille, alors ils devaient effectuer d’autres travaux pénibles. L’un de ces travaux était le déblaiement des pierres, un travail dangereux et épuisant. Mes sœurs, bien que très jeunes, devaient aussi suivre mes parents pour ramasser des pierres et faire exploser des mines. À un âge où elles auraient dû être à l’école comme tant d’autres enfants, elles devaient faire face à un dur labeur. La vie s’écoulait ainsi, et ma famille accueillit deux nouveaux membres – mon frère aîné, puis moi. À cette époque, au Vietnam, les garçons étaient souvent valorisés par rapport aux filles. Mon frère était choyé par mes parents bien plus que mes trois sœurs. Quant à moi, étant la benjamine, j’ai reçu le nom de Huế, d’après une ville ancienne et poétique du Vietnam. Les premiers souvenirs que je peux évoquer remontent à mes cinq ans. Je me rappelle très clairement des enfants du quartier – beaucoup étaient plus jeunes que moi – qui étaient emmenés par leurs parents à l’école maternelle. Quant à moi, je ne pouvais pas y aller. Je me contentais de me tenir à l’extérieur de l’école, à regarder à travers la fenêtre, voyant mes camarades chanter et danser joyeusement. Je ne comprenais pas pourquoi je ne pouvais pas aller à l’école comme eux, mais je ne m’en plaignais pas. Je restais là, observant silencieusement pendant un bon moment, puis je reprenais le chemin de la maison. À cette époque, j’étais une petite fille naïve et innocente, ne comprenant pas grand-chose de la vie, ne sachant que j’étais très obéissante, toujours à l’écoute de mes parents. Je ne savais pas que les années à venir seraient encore pleines de défis… Chapitre 2 : Les jours d’innocence En entrant à l’école primaire et au collège, je garde des souvenirs magnifiques de mes années passées sous le toit de cette école simple. Cette école n’était pas aussi moderne que celles d’aujourd’hui, mais c’était pour moi un endroit extrêmement cher. La cour de l’école était ombragée par de grands arbres, offrant un refuge lors des récréations pleines de rires. Chaque fois que le gong annonçait le début des cours, la cour devenait soudainement silencieuse. À cette époque, mes camarades et moi écoutions attentivement les enseignants, sans téléphones ni Internet, juste des livres et une soif d’apprendre. Le soir, je rentrais dans notre petite maison chaleureuse, où cinq frères et sœurs se retrouvaient avec nos parents. Mes sœurs avaient alors entre 17 et 18 ans, un âge rempli de vitalité et de premiers rêves. Notre maison était donc toujours animée et joyeuse. Les amis de mes sœurs venaient souvent jouer, s’asseyant autour d’un thé et discutant gaiement, ce qui rendait l’atmosphère familiale toujours vivante. Pour ma part, chaque après-midi après l’école, je me plongeais dans l’innocence de l’enfance avec mes amis du quartier. À côté de chez moi se trouvait une grande pelouse, où nous nous rassemblions chaque jour pour jouer à toutes sortes de jeux. Nous apprenions à faire du vélo, à sauter à la corde, à jouer à colin-maillard, à cache-cache… Ces jeux folkloriques faisaient partie intégrante de l’enfance de nombreuses générations, simples mais incroyablement joyeux.
mimihue · 720 Views
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