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Lami Und Emily In Echt

Lost in flames Found in dark

Trapped in a nightmare, Shruti lost all sense of time. Day and night became indistinguishable, swallowed by a darkness that clung to the room like a sickness. There were no windows, no escape. The only light was the flicker of a dying bulb, casting weak, trembling shadows that made everything feel more monstrous. When it stayed on, she almost wished it wouldn't-because then, she saw everything. The peeling, mold-ridden walls. The rusted chains digging into her skin. The dried blood on the cold, cracked floor-hers and those who had been here before her, forgotten. She learned quickly that screaming was futile. The first time, her voice was raw, her throat ached from begging for mercy, for help, for anything. She clawed at the chains, desperate to free herself. Her wrists bled, and her shoulders screamed with every pull. But the only answer was a cruel, mocking laugh, echoing from the shadows. "I like that spirit," the voice had said, low and dangerous. "Let's see how long it lasts." Once, she had been a champion-a girl with a loving brother, a devoted lover, and a world full of promise. Her future had been bright, her life secure. But everything came crashing down the day she was taken. Years passed-lost, erased, forgotten. Or so she thought. Was she really forgotten? Was there any chance of escape, or was this her fate, to die here, buried in darkness? But what if death isn't the end? What if it's only the beginning? Join the journey... Lost in the flames. Found in the dark.
Abishaa · 649 Views

LOVE IN HATE IN LOVE

[WARNING: R18!!!] "Either you love me or you hate me. It doesn't matter because you will end up with me. You would always end up with me, Maximus D'Arco." She plastered a wicked smile as she responded to his cold, hard stare that she knew he was trying not to strangle her. He wouldn't because he was such a gentleman not to hurt her physically. But emotionally? Well...that was a whole other matter. ------------- Aurora Fontalva, an arrogant heiress of the Stellare Creations. She had everything in life, except the heart of a certain man. She only wants Max. He's her childhood crush and turned first love when they grew up. But how can she make him love her if he has someone else already? A girlfriend he loves. But that doesn’t matter, for she’s willing to do everything to have him. Maximus D’Arco. One of the EcoSource princes. He’s almost the perfect son and has a princely personality. Except that he had a secret girlfriend hidden from everyone. When Aurora found out, everything turned upside down. The woman even blackmailed him to marry her or his girlfriend would suffer. She wanted him to love her. Why would he fall for someone who doesn’t even care what he wants, let alone about his feelings? Only his girlfriend does. Is there really a thin line between love and hate? What if the thread breaks? --------------- AN: This is a bit of a slow-burn romance with detailed emotions and character build-up. This novel isn't your typical lovey-dovey story. It tackles twisted love and lust, toxicity, and angst. There could be sensitive cases. You've been warned. And lastly, sexy scenes. --------- Please check out my other stories as well. The Runaway Huntress - Huntress/Killer FL and King/CEO/Founder ML System Mission: Tame the Mafia Boss - Military General FL and Mafia Boss ML
IzannahFrame · 10.7K Views

Le Chant de la Compassion d’une Petite Fille Lâm Thị Huế - Lâm Emilie

Chapitre 1 : L’enfance dans des jours difficiles Je suis néedans une famille de cinq enfants, au milieu d’une époque où le pays subissait encore les lourdes conséquences de la guerre. À cette époque, ma famille était très pauvre. Mes parents, qui avaient grandi durant cette période difficile, n’avaient pas eu l’opportunité de bénéficier d’une éducation complète. Ainsi, toute leur vie, ils n’ont connu que le travail à la ferme, luttant durement pour subvenir aux besoins de la famille. Être agriculteur à cette époque était très éprouvant. Mes parents devaient se lever à l’aube, qu’il pleuve ou qu’il fasse beau, pour aller semer du riz ou récolter. Mais même le travail aux champs ne suffisait pas à nourrir toute la famille, alors ils devaient effectuer d’autres travaux pénibles. L’un de ces travaux était le déblaiement des pierres, un travail dangereux et épuisant. Mes sœurs, bien que très jeunes, devaient aussi suivre mes parents pour ramasser des pierres et faire exploser des mines. À un âge où elles auraient dû être à l’école comme tant d’autres enfants, elles devaient faire face à un dur labeur. La vie s’écoulait ainsi, et ma famille accueillit deux nouveaux membres – mon frère aîné, puis moi. À cette époque, au Vietnam, les garçons étaient souvent valorisés par rapport aux filles. Mon frère était choyé par mes parents bien plus que mes trois sœurs. Quant à moi, étant la benjamine, j’ai reçu le nom de Huế, d’après une ville ancienne et poétique du Vietnam. Les premiers souvenirs que je peux évoquer remontent à mes cinq ans. Je me rappelle très clairement des enfants du quartier – beaucoup étaient plus jeunes que moi – qui étaient emmenés par leurs parents à l’école maternelle. Quant à moi, je ne pouvais pas y aller. Je me contentais de me tenir à l’extérieur de l’école, à regarder à travers la fenêtre, voyant mes camarades chanter et danser joyeusement. Je ne comprenais pas pourquoi je ne pouvais pas aller à l’école comme eux, mais je ne m’en plaignais pas. Je restais là, observant silencieusement pendant un bon moment, puis je reprenais le chemin de la maison. À cette époque, j’étais une petite fille naïve et innocente, ne comprenant pas grand-chose de la vie, ne sachant que j’étais très obéissante, toujours à l’écoute de mes parents. Je ne savais pas que les années à venir seraient encore pleines de défis… Chapitre 2 : Les jours d’innocence En entrant à l’école primaire et au collège, je garde des souvenirs magnifiques de mes années passées sous le toit de cette école simple. Cette école n’était pas aussi moderne que celles d’aujourd’hui, mais c’était pour moi un endroit extrêmement cher. La cour de l’école était ombragée par de grands arbres, offrant un refuge lors des récréations pleines de rires. Chaque fois que le gong annonçait le début des cours, la cour devenait soudainement silencieuse. À cette époque, mes camarades et moi écoutions attentivement les enseignants, sans téléphones ni Internet, juste des livres et une soif d’apprendre. Le soir, je rentrais dans notre petite maison chaleureuse, où cinq frères et sœurs se retrouvaient avec nos parents. Mes sœurs avaient alors entre 17 et 18 ans, un âge rempli de vitalité et de premiers rêves. Notre maison était donc toujours animée et joyeuse. Les amis de mes sœurs venaient souvent jouer, s’asseyant autour d’un thé et discutant gaiement, ce qui rendait l’atmosphère familiale toujours vivante. Pour ma part, chaque après-midi après l’école, je me plongeais dans l’innocence de l’enfance avec mes amis du quartier. À côté de chez moi se trouvait une grande pelouse, où nous nous rassemblions chaque jour pour jouer à toutes sortes de jeux. Nous apprenions à faire du vélo, à sauter à la corde, à jouer à colin-maillard, à cache-cache… Ces jeux folkloriques faisaient partie intégrante de l’enfance de nombreuses générations, simples mais incroyablement joyeux.
mimihue · 466 Views
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