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Criston Cole Hair

Gender Change: Turned into a Silver Haired Women in Another World

"My Winky is Gone?!" Su Yan exclaimed inwardly, grappling with the reality of his changed body. He was no longer the person he once was. Now he had reincarnated into a different world and inhabited the body of a woman whose name was Su Mu. In the blink of an eye, Su Yang's world turned to darkness as a truck staggered towards him, bringing an abrupt end to his life. To Su Yang's surprise, instead of an eternal void, He awakened in an unfamiliar room. As Su Yang stumbled to his feet, He couldn't help but notice the silver strands cascading down his reflection in the mirror—a stark contrast to the familiarity of his former self. A sense of bewilderment filled the air as he took in the surroundings, realizing that this was not the world Su Yang once knew. It wasn't just the change in scenery that caught his attention; it was his huge breasts, beneath the surface of the pink nightgown with a v-neck lace trim highlighting the gap between those huge breasts. He hesitantly examined himself, and there, in the nether region, undeniable alterations had taken place. The silver-haired beauty—a statuesque figure adorned with a pair of full, graceful breasts—stared back at herself in the mirror. Questions flooded Su Mu's mind. "How did this happen?!" she was turned into a beautiful woman with a perfect figure that could make anyone fall for her. But 'he' who has become 'she' is facing a major problem, and that is she can't make herself like men over women. "But, will I?"
MountainDuskwalker · 1M Views

Le Chant de la Compassion d’une Petite Fille Lâm Thị Huế - Lâm Emilie

Chapitre 1 : L’enfance dans des jours difficiles Je suis néedans une famille de cinq enfants, au milieu d’une époque où le pays subissait encore les lourdes conséquences de la guerre. À cette époque, ma famille était très pauvre. Mes parents, qui avaient grandi durant cette période difficile, n’avaient pas eu l’opportunité de bénéficier d’une éducation complète. Ainsi, toute leur vie, ils n’ont connu que le travail à la ferme, luttant durement pour subvenir aux besoins de la famille. Être agriculteur à cette époque était très éprouvant. Mes parents devaient se lever à l’aube, qu’il pleuve ou qu’il fasse beau, pour aller semer du riz ou récolter. Mais même le travail aux champs ne suffisait pas à nourrir toute la famille, alors ils devaient effectuer d’autres travaux pénibles. L’un de ces travaux était le déblaiement des pierres, un travail dangereux et épuisant. Mes sœurs, bien que très jeunes, devaient aussi suivre mes parents pour ramasser des pierres et faire exploser des mines. À un âge où elles auraient dû être à l’école comme tant d’autres enfants, elles devaient faire face à un dur labeur. La vie s’écoulait ainsi, et ma famille accueillit deux nouveaux membres – mon frère aîné, puis moi. À cette époque, au Vietnam, les garçons étaient souvent valorisés par rapport aux filles. Mon frère était choyé par mes parents bien plus que mes trois sœurs. Quant à moi, étant la benjamine, j’ai reçu le nom de Huế, d’après une ville ancienne et poétique du Vietnam. Les premiers souvenirs que je peux évoquer remontent à mes cinq ans. Je me rappelle très clairement des enfants du quartier – beaucoup étaient plus jeunes que moi – qui étaient emmenés par leurs parents à l’école maternelle. Quant à moi, je ne pouvais pas y aller. Je me contentais de me tenir à l’extérieur de l’école, à regarder à travers la fenêtre, voyant mes camarades chanter et danser joyeusement. Je ne comprenais pas pourquoi je ne pouvais pas aller à l’école comme eux, mais je ne m’en plaignais pas. Je restais là, observant silencieusement pendant un bon moment, puis je reprenais le chemin de la maison. À cette époque, j’étais une petite fille naïve et innocente, ne comprenant pas grand-chose de la vie, ne sachant que j’étais très obéissante, toujours à l’écoute de mes parents. Je ne savais pas que les années à venir seraient encore pleines de défis… Chapitre 2 : Les jours d’innocence En entrant à l’école primaire et au collège, je garde des souvenirs magnifiques de mes années passées sous le toit de cette école simple. Cette école n’était pas aussi moderne que celles d’aujourd’hui, mais c’était pour moi un endroit extrêmement cher. La cour de l’école était ombragée par de grands arbres, offrant un refuge lors des récréations pleines de rires. Chaque fois que le gong annonçait le début des cours, la cour devenait soudainement silencieuse. À cette époque, mes camarades et moi écoutions attentivement les enseignants, sans téléphones ni Internet, juste des livres et une soif d’apprendre. Le soir, je rentrais dans notre petite maison chaleureuse, où cinq frères et sœurs se retrouvaient avec nos parents. Mes sœurs avaient alors entre 17 et 18 ans, un âge rempli de vitalité et de premiers rêves. Notre maison était donc toujours animée et joyeuse. Les amis de mes sœurs venaient souvent jouer, s’asseyant autour d’un thé et discutant gaiement, ce qui rendait l’atmosphère familiale toujours vivante. Pour ma part, chaque après-midi après l’école, je me plongeais dans l’innocence de l’enfance avec mes amis du quartier. À côté de chez moi se trouvait une grande pelouse, où nous nous rassemblions chaque jour pour jouer à toutes sortes de jeux. Nous apprenions à faire du vélo, à sauter à la corde, à jouer à colin-maillard, à cache-cache… Ces jeux folkloriques faisaient partie intégrante de l’enfance de nombreuses générations, simples mais incroyablement joyeux.
mimihue · 401 Views
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