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Emily The Thief

THE ART AND SCIENCE OF MAD ATTRACTION

Emily Bright is a reserved medical laboratory scientist with a peculiar fascination for the microscopic world of body fluids. Her life is a monochrome routine of lab work and lonely evenings spent admiring art she believes she'll never create. Emily is the embodiment of precision, control, and logic, qualities that render her a perpetual wallflower. Dominic Pierreson, known as "The God of Art," is a once-revered artist teetering on the brink of retirement. Praised as the 21st century’s greatest creative genius, Dominic’s glory days seem behind him, with no spark left to fuel his next masterpiece. Disillusioned and desperate, he meets Emily by chance at an art gallery, and in her quiet brilliance, he finds an unexpected muse. Dominic's world bursts into vibrant color as he obsessively captures Emily’s essence in every medium imaginable: photographs, sculptures, paintings, and even a bestselling play. His works featuring Emily become priceless treasures, solidifying his place in history. But as his obsession grows, so does his love for her, a love Emily struggles to comprehend or reciprocate. Caught between the worlds of art and science, Emily begins to question everything she thought she knew about herself. As Dominic’s fame skyrockets and their relationship deepens, the lines blur between inspiration, obsession, and love. In a whirlwind of passion, fame, and self-discovery, Emily must decide: Can she embrace the chaos of Dominic’s world, or will she retreat to the safety of her own? The Art and Science of Mad Attraction is a sweeping tale of ambition, obsession, and the unpredictable nature of love, where logic meets creativity and two contrasting souls find themselves inexplicably drawn together.
kennedydaphne900 · 3.9K Views

The Trickster’s Bond – A Thief’s Greatest Heist Gone Wrong

Kain always knew he was a reckless idiot, but even he didn’t expect to steal his way into a legendary disaster. Rejected by every adventurer’s guild, Kain made his living the only way he could—by looting dungeons, stealing powerful artifacts, and selling them on the black market. It was a simple plan: get in, grab the treasure, and get out before something huge and deadly crushed him. But when his latest job forces him to steal an artifact too powerful to be left unsealed, he makes one tiny, life-ruining mistake— He accidentally binds himself to Tsuki, a smug, chaotic, and infuriatingly beautiful trickster goddess with a mysterious past and zero respect for personal space. Now, thanks to his terrible life choices, Kain is: Magically bonded to a goddess with no idea how to break the link. Experiencing weird side effects, including shared dreams that show him pieces of Tsuki’s forgotten past. Banned from leaving the palace because the kingdom thinks he’s a walking magical disaster. Slowly realizing that the artifact he stole is far more dangerous than he thought. Marked by fate itself, drawing the attention of rival thieves, powerful beings, and ancient enemies. And worst of all? He’s starting to see Tsuki in a way he really, really shouldn’t. What should have been a simple job has turned into the adventure of his life, and with each passing day, the bond between them grows stronger. But when the truth of Tsuki’s past begins to surface—along with a warlord’s long-sealed power—Kain realizes that he’s not just in over his head. He’s at the center of something huge. Something that could shake the world. And the only way out? Is forward.
BoredNovelist · 3.4K Views

Le Chant de la Compassion d’une Petite Fille Lâm Thị Huế - Lâm Emilie

Chapitre 1 : L’enfance dans des jours difficiles Je suis néedans une famille de cinq enfants, au milieu d’une époque où le pays subissait encore les lourdes conséquences de la guerre. À cette époque, ma famille était très pauvre. Mes parents, qui avaient grandi durant cette période difficile, n’avaient pas eu l’opportunité de bénéficier d’une éducation complète. Ainsi, toute leur vie, ils n’ont connu que le travail à la ferme, luttant durement pour subvenir aux besoins de la famille. Être agriculteur à cette époque était très éprouvant. Mes parents devaient se lever à l’aube, qu’il pleuve ou qu’il fasse beau, pour aller semer du riz ou récolter. Mais même le travail aux champs ne suffisait pas à nourrir toute la famille, alors ils devaient effectuer d’autres travaux pénibles. L’un de ces travaux était le déblaiement des pierres, un travail dangereux et épuisant. Mes sœurs, bien que très jeunes, devaient aussi suivre mes parents pour ramasser des pierres et faire exploser des mines. À un âge où elles auraient dû être à l’école comme tant d’autres enfants, elles devaient faire face à un dur labeur. La vie s’écoulait ainsi, et ma famille accueillit deux nouveaux membres – mon frère aîné, puis moi. À cette époque, au Vietnam, les garçons étaient souvent valorisés par rapport aux filles. Mon frère était choyé par mes parents bien plus que mes trois sœurs. Quant à moi, étant la benjamine, j’ai reçu le nom de Huế, d’après une ville ancienne et poétique du Vietnam. Les premiers souvenirs que je peux évoquer remontent à mes cinq ans. Je me rappelle très clairement des enfants du quartier – beaucoup étaient plus jeunes que moi – qui étaient emmenés par leurs parents à l’école maternelle. Quant à moi, je ne pouvais pas y aller. Je me contentais de me tenir à l’extérieur de l’école, à regarder à travers la fenêtre, voyant mes camarades chanter et danser joyeusement. Je ne comprenais pas pourquoi je ne pouvais pas aller à l’école comme eux, mais je ne m’en plaignais pas. Je restais là, observant silencieusement pendant un bon moment, puis je reprenais le chemin de la maison. À cette époque, j’étais une petite fille naïve et innocente, ne comprenant pas grand-chose de la vie, ne sachant que j’étais très obéissante, toujours à l’écoute de mes parents. Je ne savais pas que les années à venir seraient encore pleines de défis… Chapitre 2 : Les jours d’innocence En entrant à l’école primaire et au collège, je garde des souvenirs magnifiques de mes années passées sous le toit de cette école simple. Cette école n’était pas aussi moderne que celles d’aujourd’hui, mais c’était pour moi un endroit extrêmement cher. La cour de l’école était ombragée par de grands arbres, offrant un refuge lors des récréations pleines de rires. Chaque fois que le gong annonçait le début des cours, la cour devenait soudainement silencieuse. À cette époque, mes camarades et moi écoutions attentivement les enseignants, sans téléphones ni Internet, juste des livres et une soif d’apprendre. Le soir, je rentrais dans notre petite maison chaleureuse, où cinq frères et sœurs se retrouvaient avec nos parents. Mes sœurs avaient alors entre 17 et 18 ans, un âge rempli de vitalité et de premiers rêves. Notre maison était donc toujours animée et joyeuse. Les amis de mes sœurs venaient souvent jouer, s’asseyant autour d’un thé et discutant gaiement, ce qui rendait l’atmosphère familiale toujours vivante. Pour ma part, chaque après-midi après l’école, je me plongeais dans l’innocence de l’enfance avec mes amis du quartier. À côté de chez moi se trouvait une grande pelouse, où nous nous rassemblions chaque jour pour jouer à toutes sortes de jeux. Nous apprenions à faire du vélo, à sauter à la corde, à jouer à colin-maillard, à cache-cache… Ces jeux folkloriques faisaient partie intégrante de l’enfance de nombreuses générations, simples mais incroyablement joyeux.
mimihue · 451 Views
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