Je ne pouvais pas laisser passer une telle opportunité en or. Je sortis la tête de dessous le lit à la dérobée, impatient d'attraper un aperçu de cette performance en direct si rare.
Comme ils étaient tous deux tournés dos au lit à ce moment, ils étaient complètement inconscients de ma présence.
C'est alors que les deux se tenaient nus devant la fenêtre, le mari de Suzan l'étreignant par derrière, lançant un assaut sur ses fesses pâles et rebondies.
"Ah ah... tu es tellement incroyable, chéri, tu vas me baiser à en mourir, oh... plus fort, ah ah..."
Le corps délicat de Suzan tremblait continuellement à chaque coup de rein.
En regardant une telle scène érotique, j'ai dégluti difficilement, souhaitant pouvoir me masturber moi-même.
"Oh, bébé, tu es tellement serrée là-dessous, ça fait beaucoup mieux qu'avant." L'homme s'exclama avec excitation, visiblement très satisfait.