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LE MONDE D'AVARA

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Chapter 1 - CHAPITRE 1.ORIGINE

    Une histoire s'est perdue à travers les âges. L'histoire d'un monde encore inconnue de vous les déchus, nées de la chute d'un des préféré de père. Ceci est l'histoire du monde d'Avara.

      On raconte qu'au début de l'existence père et ses frères étaient les seuls êtres qui peuplaient le cosmos, se sentant seuls dans cette immensité ses frères le dragon de la création et celui de la destruction se mirent à créer des êtres d'une force et d'une beauté incomparable, père en fit autant en créant le tout premier divin, mon grand frère. Un millénaire passa avant que je ne sois créé. Père disait de moi que j'étais la perfection, que j'étais l'un de ses préférés. Père était fasciné par ses créations, tellement qu'il en gardait certains dans son jardin secret. Une vaste étendu d'arbres, de fleurs, de fruits et d'êtres vivants de toutes sortes. Père y passait la majeur partie de son temps, délaissant son rôle au profit de grand frère. Au fil du temps avoir le pouvoir de père fit l'effet d'une drogue sur lui, je le voyais, j'ai essayé de parler à père mais il ne m'écouta pas.

    Lors de son retour, père fut choqué de la tournure qu'avaient prise les évènements. Grand frère avait détruit un de ses mondes de la manière la plus cruelle qu'il soit, par le feu.

   Père se contenta de le destituer et de me prendre à sa place.

    Prit d'une profonde colère grand frère s'en alla, l'orgueil avait prit le pas sur la bonté de son âme mais dans l'état actuel des choses Père fut plus fort que lui, il lui fallait donc du pouvoir. Grâce à une forme de magie qu'il développa, il avait acquis la capacité d'absorber et de s'approprier l'énergie des êtres vivants créés par les frères de Père. La menace grandissait alors dans l'ombre. Nous avons essayé d'avertir Père sur les agissements de grand frère mais il demeurait taciturne. Avec les nouveaux pouvoirs que lui conféraient les créatures qu'il avait réussi à capturer, il fit évoluer son art jusqu'à absorber un des deux dragons. Alors son égo lui poussa à croire qu'il était devenu l'égale de Père et il déclara la guerre sur Avara. Nous le combattîmes de toutes nos forces mais il finit par vaincre. Père essaya tant bien que mal de le raisonner mais il avait pris sa décision. Alors Père déchaîna sa fureur et il n'eut d'autres choix que de se soumettre.

- je t'ai laissé faire mais là s'en est trop, je ne peux plus rien pour toi. Dit-il.

     Père m'ordonna de le séparer du dragon de la destruction avant de le sceller, mais grand frère était rusé il se jeta d'Avara vers le jardin secret de Père. Pris de court je lançai un sort qui pût l'atteindre, je ne réussis pas à le séparer du dragon mais je réussis à séparer son corps, qui se transforma en deux moitiés complémentaires ayant en chacune d'elle une partie du dragon de la destruction. Compte à l'âme de grand frère, il se faufila dans le jardin, on ne le retrouva jamais. Père descendu alors et insuffla la vie dans ces deux moitiés, ils devinrent les premiers humains, des déchus.

-L'essence même de leur création est maléfique Père, ce genre d'être n'apportera que malheur à ce monde, lui dis-je.

-Laisse les donc en décider par eux même, Sérafin. Et qui sait tu pourrais être surpris... Se contentat-il de répondre en souriant.

     Après cela, père se retira dans un monde fait de lumière, parallèle aux nôtres. lui seul peut y accéder. On ne le revit jamais plus physiquement, seulement sa voix qui est restée avec nous.

- Prend garde Sérafin, ton frère se prépare. Ta magie n'était pas assez puissante pour vraiment séparer ses pouvoirs. Ces déchus se reproduiront et parmi leur descendance naîtra un homme et s'il réussit à s'emparer de ce corps et capture le dragon de la création, plus rien, même moi ne pourra l'arrêter, alors fait de ton mieux pour aucun déchu ne monte jusqu'à Avara.

   -Araham réveille toi, vite c'est bientôt l'heure. Dit une voix douce.

En se réveillant, il sentit le soleil brillé de tout son éclat sur des pupilles encore fraîches de sommeil.

-Maman j'ai encore le temps, de toute façon c'est que le premier jour. Oui, mais renchérit la mère. J'ai du boulot aujourd'hui donc à moins que tu veuilles marcher d'ici jusqu'à ton école à pied je te conseille de te bouger.

    La matinée était fraîche sur la route qui menait à l'école. Abraham avait le regard perdu sur les bâtiments qui ornaient la ville. Il remarqua le vieux resto d'Herny où jadis il avait eu ces habitudes, heureux de voir qu'il n'avait rien perdu de son éclat. Sa mère s'arrêta devant le parking de l'école. Il sortit de la voiture et resta immobile, prenant une profonde respiration. Encore une autre année de merde se dit-il.

     En entrant dans l'école le couloir était rempli de monde. Abraham lui n'avait presque pas d'amis, bien-sûr il était mignon et cela lui avait value une certaine immunité. Il souriait, disait bonjour, s'arrangeait pour ne pas avoir de problèmes avec la mauvaise personne. Mais d'amis vrais ils n'en avaient pas et c'était dommage. Il y'avait bien George mais il avait déménagé dans la ville voisine.

-Abraham, c'est bien vous? Lança une silhouette qui se détacha de la foule.

-Monsieur Rupert! RĂ©pondit Abraham.

C'Ă©tait le proviseur. Chauve, la cinquantaine, le visage tout rose.

-Abraham, j'ai besoin de vous pour faire visiter l'école à une nouvelle, je l'aurai bien fait moi même mais j'ai une réunion avec des parents d'élèves.

-j'aurai bien voulu mais c'est bientĂ´t l'heure et avec madame Scotfield Ă  moins d'ĂŞtre JĂ©sus en personne, elle ne pardonne pas.

-vous pourrez le faire après le cours, de toute façon vous êtes dans la même salle. Répondit M.Rupert. Laissez moi vous présenter Aurore, il se décala légèrement et d'un geste de main montra la fille.

Abraham parut choquer l'espace d'un moment. Aurora représentait ce que l'Asie avait de plus beau à offrir, des traits fins sur un visage d'ange.

-Abraham, je compte sur vous. Dit M.Rupert avant de répondre le chemin des escaliers.

-salut, moi c'est aurora et toi?

-la classe s'est par là, il pointa un couloir du doigts, allons-y. Scotfield déteste les retardataires.

     Mme Scotfield commençait à peine son discours de nouvelle année, quand elle aperçut deux élèves à travers le hublot de la porte de la salle de classe.

- Et bien voilà notre Cher Abraham, en retard, encore. Navré de voir que la seule chose de Nouvelle cette année ne soit que cette coiffure que vous arborez avec tant d'arrogance, quoi qu'elle n'a de mérite que d'enlever un peu plus à votre beauté.

Abraham parut gêné, essaya d'articuler deux trois mots mais Mme Scotfield ne lui en laissa pas le temps.

-Et bien qui est la jeune fille à côté de vous?

- c'est une nouvelle élève, Aurore. Présenta Abraham.

- Aurore, quel jolie prénom. Vue que nous ne sommes que le premier jour je vais faire une exception mais Abraham cette année je serai plus sévère avec vous.

En entrant dans la salle il aperçut tout le monde assit à leur place habituelle, il esquissa un petit sourire et alla s'asseoir à sa place, aurora resta debout ne sachant pas quoi faire.

Mme Scotfield lui désigna une place celle juste devant Abraham à la première table.

Elle s'assit et le cours débuta.

Au son de la cloche, tout le monde se leva. Aurore voulu sortir mais Abraham l'arrĂŞta.

-Attend, je dois te faire visiter le lycée.

-pas besoin j'ai déjà eu quelqu'un, mais merci.

Abraham regarda derrière elle, c'était Stacy une des filles de la classe.

-ok, répondit Abraham. Et pour tout à l'heure je voulais m'excuser. J'avais un peu la tête ailleurs. Mon nom est Abraham.

Aurore sourit.

-de rien, c'est du passé de toute façon.

-Non, j'aimerai me faire pardonner. Si tu veux un peu plus tard on pourrait se prendre un café.

-aujourd'hui? Demanda aurore.

-si tu veux bien, oui.

-pourquoi pas, on se dit Ă  16h chez Herny.

-ok. RĂ©pondit Abraham.

     Les boissons de chez Herny était les meilleures de la ville. Abraham était arrivé un peu plus tôt, avait commandé une boisson, puis deux et après une Demi-heure d'attente Aurore apparut enfin avec une pile de livre entre les mains.

-Tu m'excuses, j'ai eu Ă  faire un truc avant d'arriver ici.

-Et qu'est ce que c'est que ces livres? Demanda Abraham.

-c'est ma passion. Je collectionne les livres anciens.

Abraham parut étonné. Aurore parut un peu gêné

-Oui, je sais. Tu penses plus petite bourgeoise coincé qu'amatrice de vieux bouquins c'est ça?

-Non j'ai pas dis ça. C'est original comme passe temps, c'est tout.

-et toi qu'est ce que t'aime faire? Demanda aurore.

-Rien de spécial, je joue souvent au jeux vidéos. À part ça j'ai pas vraiment de passe temps.

Après avoir jeté un coup d'œil à son portable, aurore enchaîna

-Tu m'excuses de te demander ça mais j'aurai besoin d'aide. Ces livres sont assez poussiéreux et ma mère a horreur de ça, en plus j'en ai déjà une tonne chez moi. Tu pourra me les garder jusqu'à demain s'il te plaît?

-Si tu veux. De toute façon j'ai déjà une pile de vieux bouquins chez moi, alors un de plus ou de moins.

-Merci tu me sauves la vie. Encore désolé mais j'ai rendez vous avec ma mère. Je dois y aller.

Abraham ramena les livres avec lui tant bien que mal. Une fois chez lui, sa mère était allongée sur le canapé, plongée dans son émission.

-Maman j'suis rentré. Cria Abraham

Il se dirigea vers la cuisine et déposa les livres sur la table à manger.

-Mais qu'est ce que c'est que... Dit sa mère en entrant dans la cuisine, T'es au courant que ta Mami nous a déjà légué une bibliothèque et tu t'y mets aussi, sérieux?

- c'est pour une amie, elle passera les prendre demain.

- Enfin tu me ramènes à la maison un de tes amies qui n'a pas de pénis, quoi que si tu les préfères comme ça, j'suis avec toi. J'espère vraiment qu'elle jolie? Tu l'as invité à manger? Est ce que je devrais cuisiner ? Tu sais que je déteste cuisiner. On va commander, plutôt. Mais peut-être qu'elle va le prendre mal, t'invite pas quelqu'un chez toi pour commander un truc, 'fin si?

-Maman? Oui, répondit la mère.

Elle viendra, prendra ces livres et rentrera chez elle. Rien d'autre.

- OK. De toute façon la seule femme qui devrait avoir le droit de partager ta vie c'est moi. Dit-elle en embrassant le front d'Abraham.

-Dit, ils sont oĂą les livres de mami que je puisse les mettre ensemble?

-Dans le grenier, je crois que ton père les avaient mis là bas.

En sortant les cartons du greniers, la poussière lui monta au nez. Il ouvra le premier carton et découvrit un livres avec des reluire doré accompagné de ligne d'or, marqué en gros caractères" Les secrets du monde d'avara"

Il se sentit attirer par ce livre, il déposa les cartons dans un coin de sa chambre et se jeta sur son son lit.

Il l'ouvra et ne réussit pas lire les premières pages du livre. C'était bien des lettres de l'alphabet mais pas moyen, il lisait bien des mots en français sans en comprendre le sens. En feuilletant le livre un mot lui parut claire, créateur, c'est comme si ce mot en avait débloqué d'autres et l'espace d'une seconde il eût l'impression que les lettres se réarrangeaient d'eux même, comme si elles bougeaient. Le livre devint limpide. Il commença du début, passa toute la nuit à le lire et même le lendemain matin à l'école.

     Aurore le dévisagea un moment pendant qu'elle discutait avec l'une de ces copines.

-Tu sais si je te dérange tu le dis hein ma belle? Lui dit Stacy sur un ton légèrement irrité.

-Non, c'est juste que... Heu... Tu le connais ce garçon, comment il s'appelle déjà ?

-Qui? Abraham ? Demanda Stacy.

-Oui exactement, Abraham.

-Pour le connaître, tu pouvais pas tomber sur mieux que moi. Qu'est ce que tu veux savoir?

-Hier il m'a invité au café, j'ai eu un empêchement et j'suis arrivé en retard avec une pile de livre...

Stacy se mit Ă  rire.

-Attends, t'es sérieuse c'est pas une blague.

-Non et le pire du pire c'est que j'avais rendez-vous après avec maman donc j'ai même pas mis 30 seconde avec le gars et je lui ai demandé de me garder mes livres, j'ai honte de moi là.

-Tu le trouves mignon ?

-Quoi? S'offusqua aurore.

-Est ce qu'il te plaît?

-Pourquoi cette question? Demanda aurore.

-parce que je l'aime bien ce gars, donc si vraiment il te plaît tu vas me faire le plaisir de lever ton gros cul de pétasse et d'aller me le serrer jusqu'à ce qu'il te supplie à genoux de sortir avec lui. Voilà ce que je sais de lui.

-t'es folle, on te l'a déjà dit? Dit aurore en riant.

-oui je sais, les fleurs tu me les jettera après. Allez fonce tigresse!

      Aurore s'approcha de sa table, s'assit sur sa chaise et là tourna en direction d'Abraham.

Abraham là regarda un peu interloqué.

-Que puis-je faire pour toi? Se décida t-il enfin à demander.

-Rien, je voulais juste m'excuser pour hier, j'ai pas été cool.

-C'est moi, j'aurai pas du te brusquer... Disant qu'on est quitte?

-Non. Après qu'on est vraiment prit un café, là on sera quitte. Répondit aurore.

-Pourquoi pas chez moi? Proposa Abraham, comme ça tu en profitera pour prendre tes livres.

-Je l'ai avais complètement oublié ceux là. Aurore fixa le livre d'Abraham quelque instant. Attend c'est à moi ce que tu lis?

-Non à ma grande mère, elle aussi aimait beaucoup les vieux bouquins.

-Fais un peu voir s'il te plaît.

Abraham passa le livre à aurore qui le scruta intrigué, Abraham là fixa.

-Bizzare comme livre, il doit être très ancien.

-Pourquoi le dis-tu?

-la reliure, je m'y connais et pourtant je ne saurai te dire comment elle a été faite. Il parle de quoi, déjà? Demande t-elle en le lui redonnant.

-Une histoire bizarre à propos d'un dieu et de deux frères. Rien de très intéressant mais j'ai l'impression de me reconnaître comme... Comme si je l'avais déjà vécu cette histoire.

-Je sais ce que c'est, ça m'arrive aussi parfois. C'est plutôt bon signe de s'identifier au personnage, ça prouve que tu ne lis pas seulement mais que tu là vis ton histoire.

-Oui t'as raison. C'est sûrement ça!

Après le cour de scotfield, on passe chez moi se prendre ce café et après je te raccompagnerai toi et ta montagne de livre.

-Ok, on fait comme ça alors.

      Stacy fit signe à aurore, Mme Scotfield venait d'arriver. Le cours finit, Abraham et aurore prirent le chemin de chez lui tout en déposant Stacy au passage.

La route ne fut pas ennuyante aurore découvrit un côté plutôt agréable d'Abraham, ce côté un peu renfermé cachait un monstre de tendresse, compte à Abraham il avait pris l'habitude de se perdre dans les yeux d'Aurore et on peut dire qu'il savait nager dans cet océan de beauté.

    En ouvrant la porte de chez lui, ils se dirigèrent tous deux vers la cuisines. La mère d'Abraham était sur un plat et le père d'Abraham était assit à table avec une tablette en main.

-Papa? S'interrogea Abraham Ă  haute voix.

-Abraham! Et... Une fille. Helena!? Cria le père d'Abraham.

La mère d'Abraham se retourna aussitôt et elle aperçut aurora.

-Oh bordel, pardon. Se rattrapa t-elle. Ils sont lĂ , on fait comment?

- Mon Bébé, dit le père d'Abraham. Déjà on va se calmer. Tu vas être parfaite t'en fait pas.

-Oui mais j'aurai dû commander et pourtant j'avais le téléphone en main mon chou.

-Oui mais tu cuisines super bien, elle va adorer. Pas vrai? Lança le père d'Abraham à Aurore. Cette dernière était un peu perdu ne sachant où se mettre, elle acquiesça de la tête, le regard désespéré de la mère d'Abraham pesait sur elle.

Abraham assistait à la scène gêné. Aurore lui lança un sourire.

-Et si on allait dans ma chambres? Demanda Abraham Ă  Aurore.

-oui, allez-y donc. Appuya le père d'Abraham, on vous appellera pour le dîner.

La chambre d'Abraham Ă©tait plutĂ´t spacieuse.

Aurore s'assit sur la chaise de son bureau pendant qu'Abraham alla se jeter sur son lit. Ils discutèrent comme ça un moment, parlant de tout et de rien. Le père d'Abraham vint toquer à la porte, la maman d'Abraham avait finit.

Une fois assit à table, le repas se passa dans un calme plutôt reposant, tout le monde se régala. Après avoir finit de manger ils restèrent un moment à table, la mère d'Abraham s'était assise exprès à côté d'Aurore avec un album de famille sous la table et dès que le repas pris fin elle le lui bombarda avec les photos d'Abraham "les plus choux", qui dans la langue d'Abraham n'était pas bon signe. Mais tout se passa pour le mieux, tellement qu'en une seule soirée la famille d'Abraham avait presqu'adopté Aurore. Après le repas Abraham raccompagna aurore chez elle.

Rentra chez lui et continua la lecture du fameux livres.

     Il était environs minuit lorsqu'il le finit. Mais au moment de fermer le livre, il s'aperçut qu'il avait oublié une page. Bizarre, se dit-il. Y'a encore deux minute j'aurai juré qu'il n'y avait jamais eu cette page avant. Il la lit. C'était un genre de texte avec des mots étranges. Il les prononça sans vraiment y faire attention. Le temps d'un instant il se sentit un peu faible mais rien de vraiment remarquable si ce n'est peut-être de léger vertige.

      Il s'endormit un peu déçu, il l'aimait bien cette histoire, peut-être qu'elle avait une suite, demain il ferai des recherches. En s'endormant, il se sentit plus léger comme débarrasser d'un poids qu'il porta toute sa vie, il ouvrit les yeux et il flottait au dessus de son corps. Il sentit un mélange de peur et d'excitation l'envahir. Était-il mort? se demanda t-il. Et comment? Lui qui n'était même pas encore arrivé à la moitié de sa vie, cela ne pouvait se finir ainsi. Il passa au moins une trentaine de minutes à essayer de regagner son corps mais peine perdu. Il se redressa et remarqua un truc étrange, il y'avait un fil de lumière blanche qui reliait son corps à son esprit par le nombril. Son corps bougeait, ce dernier semblait dormir d'un profond sommeil. Comment était-ce possible?

      À peine s'était-il fait cette réflexion qu'une voix l'appela, d'abord très faible mais plus il s'éloignait de son corps plus elle devenait audible. Elle venait du ciel, plus précisément d'une étoile. Le ciel était étrange, un mélange de petit points de lumières rouge et bleue accompagnées d'aurores boréales avec une petite portion de brume. Parmi toutes ces étoiles, une brillait plus forte que les autres et cette dernière l'appelait. Comme une mouche devant un faisceau de lumière, il se sentit attiré et traversa l'étoile.

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    Merci de m'avoir lu, svp si vous appréciez laissé moi le savoir Au-delà de m'aider, vous me confortez.