Annette renifla froidement. Elle dit immédiatement, "Alors, as-tu jamais pensé que son aveu à d'autres était son affaire et qu'il n'avait rien à voir avec nous ? Pourquoi devrions-nous porter le blâme pour son aveu à d'autres ? Ce matin, quand je suis arrivée à l'école, j'ai découvert qu'il y avait des gens sur le forum qui me calomniaient sans raison. Je suis si innocente. Ne vais-je pas me sentir lésée quand je fais face à la calomnie de tant de gens ? Vincent, je ne ferai de mal à aucun étudiant. Je n'ai pas fait ça. Si tu insistes pour dire que je l'ai fait, comme Sara l'a dit, s'il te plaît montre-moi les preuves. Sinon, va-t-en."
Vincent réclamait le haut du pavé moral pour chercher justice pour son élève.
Maintenant qu'il ne pouvait pas l'obtenir, il était réticent à lâcher l'affaire.
Ils se tenaient des deux côtés de la table à manger, les yeux emplis de colère.
Le téléphone d'Annette sonna. Elle se pencha et sortit son téléphone de son sac pour répondre.