Chereads / [Fanfic] [FR Trad] The Strongest Legend of Dragon Ball / Chapter 115 - La Petite Fille du Village dans la Montagne

Chapter 115 - La Petite Fille du Village dans la Montagne

Xiaya regarda Karin et accepta naturellement car sa demande était quelque chose de trivial.

Après avoir vu les plants de senzus, Xiaya s'intéressa à l'idée d'en planter.

Après tout, il y avait beaucoup de Saiyens sur la planète Hongshan et les senzus pouvaient être nécessaires n'importe quand. Si la méthode de cultivation des senzus pouvait être popularisée, alors la planète Hongshan pourra produire des senzus en masse. À ce moment-là, ils pourront utiliser les senzus comme réserve stratégique ou même comme une bonne récompense, mais cela est uniquement sous la prémisse que les senzus peuvent être produits en masse.

Cela était la partie la plus difficile. Les senzus de Karin étaient cultivés avec autant d'attention qu'un travail d'artisan dans un atelier, un processus méticuleux qui rendait l'augmentation de la production impossible.

Le problème principal était l'environnement de la culture des senzus. L'élixir divin était condensé à partir d'énergie divine qui, hélas, ne pouvait pas être remplacée des moyens technologiques ordinaires. Sans élixir divin, la culture des senzus était impossible. Cette réflexion fit froncer les sourcils de Xiaya.

Il semble qu'il y avait un long chemin à parcourir avoir d'avoir droit à une plantation en masse de senzus, et cela ne serait pas possible avant un long moment.

Xiaya rangea alors ces inquiétudes au fond de ses pensées et retourna au 2ème étage avec Karin. Après l'avoir vu ranger soigneusement les fruits de mer, il parla entraînement avec lui.

Les compétences actuelles de Xiaya avaient déjà surpassé celles de Karin, et son concept des arts martiaux avait également formulé son propre set de théories. Cependant, en tant que maître éminent, Xiaya pensait que les connaissances que Karin avait acquises depuis plusieurs centaines d'années étaient uniques. Peut-être que Karin pouvait voir les problèmes qu'il avait négligés.

Avoir ses vues uniquement sur les trivialités empêchait de voir l'ensemble. Il était facile de négliger les détails qui relèvent pourtant du bon sens. Il était nécessaire d'accepter les opinions des autres.

La puissance de Karin n'était pas très élevée, mais cela était précisément la raison pour laquelle il avait fortement travaillé sur ses bases durant plusieurs années. Par conséquent, les connaissances théoriques qu'il avait accumulées ne pouvaient pas être ignorées et Xiaya était venu lui demander conseil. Comme prévu, les leçons de Karin lui avaient fait réaliser des détails qu'il avait omis, alors il corrigea ces problèmes un par un, rendant ses arts martiaux plus arrondis et impeccables.

Après avoir fait ses au revoir à Karin, Xiaya sauta de la Tour Karin et vola en direction de West City.

Alors qu'il regardait le dos de Xiaya s'éloigner, Karin se tenait au rebord de la tour, il regarda le ciel dégagé avec ses yeux plissés en disant : "Xiaya devient de plus en plus insondable, comme un océan. À l'exception des vagues, il n'y a aucune limite visible."

...

Dans un village reculé, au bout d'un sentier irrégulier qui serpentait de haut en bas autour d'une montagne.

C'était un village modeste éloigné de l'agitation du monde extérieur.

Mais à ce moment-là, une série de sons fracassants avait rompu la tranquillité du village montagnard. Un groupe de bandits brandissait des couteaux géants partout, brûlant, dévalisant et pillant tout ce qu'ils trouvaient. Les villageois innocents mouraient sous les épées cruelles des bandits.

"Où est-ce que tu vas, le vieux ? Donne-moi ça tout de suite !" Un homme musclé au visage sinistre attaqua un vieil homme au dos courbé, lui asséna plusieurs coups de couteau et s'empara d'un paquet que le vieil homme tenait fermement dans ses bras.

"GRAND-PÈRE, GRAND-PÈRE !" Un cri retentit, une petite fille aux cheveux bleus accourut vers le vieil homme qui était tombé par terre et pleura amèrement.

Lorsque les bandits virent cela, ils rirent cruellement et ouvrirent le paquet qu'ils avaient volé pour connaître le contenu. Le paquet contenait un coffre en bois, ils le secouèrent et entendirent le bruit des pièces.

"Ha ha ha, c'est rempli d'argent ! Hé, pleure pas, petite, laisse-nous voir si t'es bien garnie, toi aussi !" Plusieurs bandits se regardèrent, puis ils ramassèrent leurs couteaux ensanglantés et s'avancèrent en se léchant la langue. Les lames des couteaux brillaient d'une lueur glaciale sous le soleil.

"ENFOIRÉÉÉS !"

La fille regarda les bandits avec une haine immense dans ses yeux larmoyants. Pour une raison inconnue, ses cheveux bleus soyeux étaient soudainement devenus blonds, et son regard était féroce.

Les bandits furent surpris par la transformation soudaine de la petite fille. Leur chef fit un pas en arrière, puis il cracha par terre, se sentant humilié par la frayeur qu'il avait eue, et s'avança furieusement vers la fille.

À ce moment-là, un bruit retentit. Contre toute attente, la petite fille s'était soudainement jetée sur le chef des bandits et l'avait fait tomber au sol, puis elle courut dans une petite maison en bois.

"Qu'est ce que vous regardez ?! Attrapez-moi cette morveuse tout de suite ! *Crache* !" Le chef des bandits réprimanda férocement ses hommes. Leur teint devint glacial, révélant une lueur cruelle, et ils coururent vers la maison en hurlant.

À ce moment-là, la porte de la maison en bois s'ouvrit et les bandits se disputèrent pour être le premier arrivé. Mais soudain, leurs visages prirent un air terrifié et ils fuirent un par un.

Ils avaient vu la petite fille sortir avec une mitraillette qui faisait la taille de ses hanches.

"Arrêtez d'avoir peur ! C'est qu'une gamine, elle sait pas tirer !"

Le chef des bandits continuait de les sermonner, mais ses hommes hésitaient en voyant la mitraillette, aucun d'entre eux n'osait s'approcher.

"Incapables !"

Le chef des bandits était très mécontent, il regarda ses hommes avec des yeux remplis de colère, puis il s'avança personnellement en disant : "Pose ce truc gentiment, petite, et peut-être que je laisserai ton corps intact. Sinon..."

Il se mit à regarder la petite fille avec des yeux obscènes. Dommage qu'elle est encore toute petite, son corps n'est pas assez mûr, sinon... hé hé hé. Il était en train de laisser parler son imagination.

"Peuh ! Tu me traites de morveuse, mais tu te permets de me regarder avec ces yeux-là !" La petite fille, qui était devenue blonde, finit par exploser de rage, hurla des mots inappropriés pour son âge, leva sa mitraillette et se mit à tirer.

RA-TATATATA ! Des petits serpents de feu de la taille d'un demi-pouce sortirent du canon et transformèrent le chef des bandits en passoire avant qu'il n'ait eu le temps de réagir.

"AH ! ELLE A TIRÉ ! LE CHEF EST MORT !!"

Les bandits se mirent à paniquer. Une épée large ne faisait pas le poids contre une mitrailleuse, ils ne pouvaient que se lamenter et se faire tuer un par un par la petite fille.

Après avoir abattu tous, la jeune fille blonde s'approcha du cadavre de son grand-père et dit d'un air triste : "T'as pas voulu préparer plus d'armes, le vieux. Si j'avais pas caché cette mitraillette, je serais morte avec toi.

Humph, j'ai tué tous ces bandits moi-même, alors on peut dire que je t'ai vengé. Atchoum..." La fille éternua et ses cheveux redevinrent bleus. Elle prit peur en voyant la mitraillette maculée de sang et les cadavres autour d'elle.

Clac ! Elle jeta la mitraillette et fondit en larmes.

Elle passa la nuit à creuser des tombes pour sa famille et à faire ses bagages, se préparant à quitter le village montagnard. Un vent glacé souffla, la faisant resserrer son cou. Son petit corps frêle ne pouvait pas résister au froid de la nuit.

...

À West City, l'une des villes les plus prospères de la Terre.

C'était dans cette ville que se trouvait le siège sociale de la Capsule Corporation.

Sous le soleil chaud et la brise claire, la silhouette de Xiaya atterrit dans une rue de la ville. Les gens allaient et venaient des deux côtés de la rue, tandis que les voitures volantes circulaient à toute vitesse. Tout le monde ignorait l'apparition soudaine de Xiaya.

C'était comme s'ils ne savaient pas qu'il y avait soudainement une personne de plus parmi eux.

Xiaya marchait sur la route goudronnée, il respirait l'air de la ville, mais n'y décelait pas l'odeur de pollution des déchets industriels.

"Le développement de West City est plutôt bon, ils n'ont pas droit à la pollution environnementale provoquée par le développement urbain !", pensa Xiaya, l'esprit clair.

De manière générale, le développement d'une ville était souvent accompagné par la dégradation de l'environnement. C'était un style de développement de niveau relativement bas, et West City ne l'avait clairement pas utilisé. Au vu de la verdure qu'il y avait des deux côtés de la route, les humains évitaient consciencieusement de nuire à l'environnement.

Comparée à il y a trois ans, West City était devenue encore plus prospère.

Après avoir facilement trouvé la maison de Bulma, Xiaya se faufila dans le grenier, y remit la Dragon Ball à 2 étoiles et se prépara à partir.