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Je sent une force rentrée dans ma tête, ça fait si mal que j'en vien étourdis. Je fini par reprendre conscience. Des souvenirs qui m'appartiennent pas, n'arrête pas de de resurgir.
Apparemment, j'ai été retrouvé à côté de plusieurs corps morts, dans des conditions inimaginables. On pouvait voir des marques de griffes le long des murs. Suite à une enquête, cela pouvait qu'être moi, même si je ne semblait pas en avoir souvenir. N'ayant toujours pas de preuves concrètes, le chancelleur décida de m'envoyer sous conditionnements.
Je peu voir tout autour de moi des murs gris. J'essaie de me lever mais je sentis une résistance. Je réalise que je suis enchaîner au mur. De grosses chaînes sont à mes poignets, je sens que si je le voulais, je peux facilement les briser avec un peu de force. Mais j'en fit rien sachant que je ne resterai pas pour très longtemps. En tout cas je l'espère…
Ding. Ding. Ding.
La porte de la cellule s'ouvri, une dizaine de gardes armées firent leur apparition. « Prisonniers 318, debout et face au mur. » Je peux voir de la peur et même du dégoût sur leur visage. J'aurais pus me défendre, mais je vois à quoi ça me servirait, donc je le laisse faire ce qu'ils veulent. Ils me forcent le dos au mur, puis l'un des guards ouvre une boîte noir qui a l'intérieur de celui-ci, se trouve des bracelets métalliques.
Il fini par en prendre un et le mettre au niveau de mon bras droit. Et puis avec beaucoup de force il fini par le fermer, apparemment ma peau est très dur. Je sens une petite sensation désagréable, mais fini vite par passer.
Je peut voir un autre prendre une aiguille et me l'injecter au niveau du coup. Sachant que la serait pas assez je fis semblant de m'évanouir.
Ils finirent par me transporter hors de la cellule pour venir m'attacher solidement à un siège, je peu sentir qu'il ya beaucoup de mouvement autour de moi. J'en fis rien… Ah les batards, ils viennent de rajouter des chaînes de métal, ils pensent toutes même pas que je suis un animal.
Finalement quand je sent qu'il n'y a plus autant de mouvement. J'ouvre mes yeux, tout autour de moi je peux voir une centaine d'ados. Qui sont tous dans la même situation si on n'oublie les chaînes. Je peux voir qu'à ma droite se trouve Well et a ma gauche Clarke.
Et pour une certaine raison que j'ignore, je ne peux m'empêcher de la regarder. Comme si un lien nous unissait.
Juste au moment où je semblais vouloir la dévorer du regard. Une secousse se fait sentir, je savais qu'on c'était décroché de l'Ark.
Clarke finit par se réveil, voyant que j'étais toujours en train de la regarder fixement. « Cough… je peux bien savoir pourquoi tu me regarde comme ça. » sans vraiment prendre conscience de ce que j'allais, je fini par murmurer, « Tu es si belle que je ne peut pas m'empêcher de te regarder. » elle rougit par surprise et je viens de comprendre ce que je viens de lui dire. Quel idiot… je suis!
« Je m'appelle Amarok… » lui dis je, en souriant. Avant même quel puisse me répondre un gas que je me souviens plus très bien de qui il était. « ah… tu es la bête, apperamment tu aurais tuer une dizaine de personnes et on t'aurais retrouvé avec du sang… » dit il effrayé.
Clarke me regarda d'un air surpris mais avant que je puisse donner une explication.
Un écran s'alluma devant nous, on peut y voir apparaître Jaha. « Prisonnier de l'Ark, écouter moi maintenant. Vous avez reçu une deuxième chance, et en étant votre chancelleur, je ne peux qu'espérer que vous ne voyez pas cela seulement comme une simple chance pour vous, mais comme une chance pour nous tous, et même pour l'humanité elle-même. Nous n'avons aucune idée de ce qui vous attend en bas. Si les chances de survie étaient meilleures, nous aurions envoyé d'autres personnes. Franchement, nous vous envoyons parce que vos crime vous a rendu sacrifiable. Beaucoup plus les un que les autres. »
« Voilà tout un discours, parfait pour démarrer une nouvelle adventure. Pour l'humanité… » dis je d'un ton sarcastique. Qui s'ensuivit par long dircours et de fausses promesses que le chancelleur nous promet une fois qu'on aurait réussi la mission. Comme si des ados qui avaient passé la plupart de leur vie en cellule allaient les écouters. Je peux dire qu'ils sont stupides d'y croire, en tout cas moi ça m'arrange comme ça.
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