Retour en 2005 dans le palais impérial.
Dès que j'eus fini de lui raconter cette histoire, je vis que ma femme me regarder avec des yeux écarquiller.
- Tu te fous de moi, Aleksandre ?
- Du tout mon ange.
- Donc si je comprends bien, Ivan a été le premier puis c'est Pierre et toute sa descendance.
- Presque ça, ça fait depuis Aleksandre III (Aleksandre le calme) qu'Ozil n'a pas eu d'hôtes.
- Si longtemps ?
- Oui, c'est pour sa que sa m'inquiète. Elle me prit la main alors que moi je tournais ma tête de l'autre côté pour éviter de lui montrer qu'elle avait raison. Puis au moment où Marina voulut reprendre la parole, elle se replia sur elle-même.
- Aïe !
- Chérie !! Je mis instinctivement ma main sur son ventre, et je sentis que ce n'était nul autre que le bébé. Mon petit, évite de nous faire des frayeurs comme ça. Dis-je en souriant de soulagement.
Puis après cet évènement, nous partîmes tous les deux à la salle à manger où mes frères attendaient.
- Comment va ce diable ? me demanda Maxime.
- Il va bien, juste précer de sortir. Lui dis-je sans rentrer dans les détailes.
Mon frère hocha la tête face à cette réponse peu précise. Quelques minutes plus tard, nous allâmes tous à table. Au moment où je dépose l'assiette habituelle de saumon de ma femme,elle part en courant aux toilettes.
- On dirait mon frère, que ton enfant n'aime pas le saumon cuit. Dis Vladimir en rigolant. Je leva les yeux au ciel, puis je partis rejoindre ma femme.
- Plus de saumon s'il te plaît.
- Oui promis. Ensuite, je l'aida à se relever et à retourner à table. Je lui mis donc que le riz et les courgettes qu'elle prît volontiers. 'Cette grossesse va me rendre dingue'.
***
Avril 2006 à la clinique médicale.
- Salut Étienne. Dis-je à mon meilleur ami.
- Salut, Aleksandre, comment va ta femme ?
- Bien. À ma réponse, il fronça les sourcils.
- Qu'est-ce qu'il se passe ? Le bébé lui fait mal ?
- Je vais pas te mentir le bébé est très contradictoire. Lui dis-je en repensant aux nombres de fois où Marina avait envie de chose qu'elle n'aimait pas yà plusieurs semaines de ça.
- Rendez-vous demain, je vais faire un bilan.
- Merci Étienne. Il me répondit par un hochement de tête, puis je partis.
En arrivent dans le salon, je vis que mon neveu Antoine joué avec son petit frère Mathieu. Lorsque je suis complètement rentré dans la salle, Antoine me fit le signe de me taire. Pour lui répondre, j'hocha la tête, même si je ne compris pas tout de suite pourquoi le silence était important. Lorsque mon regard scruta la pièce, je vis mon épouse assoupie avec un livre poser sur son ventre. Je souris instinctivement devant cette scène. Je fis sortir les deux garçons, puis je pris délicatement la mère de mon futur enfant dans mes bras. Jusqu'à la déposer doucement sur notre lit. 'Repose-toi bien' puis je sortis.
- Aleksandre pourquoi sommes-nous à la clinique ?
- Étienne veut faire un bilan, rien de grave mon cœur.
- Bonjour, Marina, comment vas-tu avec cette grossesse ?
- Ça va, le bébé fait des siennes, mais je tiens.
- Bien, allonge-toi sur la table et remonte-moi ton haut. Elle s'exécuta.
Une fois prete, il mit le gel pour pouvoir commencer l'écographie. Après, cinq bonnes minutes, il se tourna vers nous avec de la confusion sur le visage.
- Aleksandre, te souviens-tu de la première ?
- Oui, il n'y en avait qu'un. Lui dis-je sans détour.
- Eh ben, navrais, mais il y en avait deux. Je resta siller après ça. Je suis navré, mais je dois avancer l'accouchement.
- De combien de temps Étienne. Dit-elle inquiète.
- Tu devras accoucher le mois prochain.