Panique.
C'était tout ce que Valérie pouvait ressentir alors qu'il luttait pour sauver la vie d'Islinda. Il ne s'attendait pas à la voir sur le seuil de sa porte, pas comme ça. Quelque chose devait s'être passé - quelque chose qui l'avait poussée à parcourir tout ce chemin jusqu'à la chaumière sans aucune forme de protection contre le froid.
Valérie était en colère contre elle. Mais le besoin de lui sauver la vie était bien plus grand que la colère dirigée vers elle. Les vies humaines étaient fragiles et de courte durée. Bien que Valérie en était conscient, il n'y pensait pas en passant du temps avec elle. Il se berçait de l'illusion qu'ils avaient beaucoup de temps devant eux alors qu'elle pouvait facilement être éliminée de ce monde.