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Chapter 6 - chapitre 6: la confrontation

Chapitre 6 : La Confrontation

Anaïs arriva à l'adresse que Marcus lui avait donnée. C'était un immeuble abandonné dans un quartier dangereux de la ville.

Elle prit une profonde inspiration et entra dans l'immeuble. Elle monta les escaliers et arriva à la porte de l'appartement où son fils était censé se trouver.

Elle frappa à la porte et attendit. La porte s'ouvrit et son fils, Alexandre, apparut.

"Maman !" dit-il, surpris.

Anaïs sentit un mélange d'émotions : soulagement, colère, inquiétude.

"Alexandre, qu'est-ce que tu fais ici ?" demanda-t-elle.

Alexandre hésita avant de répondre.

"Je... je suis impliqué dans quelque chose, maman," dit-il.

Anaïs sentit son cœur s'enfoncer.

"Qu'est-ce que c'est ?" demanda-t-elle.

Alexandre répondit:

"Je travaillais pour une personne qui m'a promis beaucoup d'argent. Mais maintenant, je réalise que c'était une erreur."

Anaïs sentit une vague de colère.

"Pourquoi as-tu fait cela ?" demanda-t-elle.

Alexandre baissa la tête.

"Je voulais aider, maman. Je voulais aider notre famille."

Anaïs sentit son cœur se briser.

"Tu as fait le contraire, Alexandre," dit-elle. "Tu as mis notre famille en danger."

Alexandre leva les yeux.

"Je suis désolé, maman," dit-il.

Anaïs prit une profonde inspiration.

"Nous allons trouver une solution," dit-elle. "Mais tu dois promettre de renoncer à cette affaire."

Alexandre hésita avant de répondre.

"Je... je ne sais pas si je peux," dit-il.

Anaïs sentit une pointe de désespoir.

"Alexandre, tu dois choisir," dit-elle. "Soit tu renonces à cette affaire, soit tu perds tout."

Alexandre regarda sa mère et vit la détermination dans ses yeux.

"D'accord, maman," dit-il. "Je renonce."

Anaïs sourit.

"C'est bien," dit-elle. "Maintenant, nous allons trouver une solution."

Mais juste au moment où Anaïs pensait que tout allait bien, elle entendit des bruits de pas dans l'escalier.

"Qu'est-ce que c'est ?" demanda Alexandre.

Anaïs sentit un frisson.

"Je ne sais pas," dit-elle. "Mais nous devons partir d'ici, maintenant."