Au même moment, Lu Jiang menait une équipe pour éliminer un groupe de militants étrangers déterminés à empiéter sur le territoire national.
Après un combat acharné, notre camp a subi treize pertes, éliminé plus d'une centaine des forces adverses, démantelé l'un de leurs bastions armés, capturé leur chef et confisqué une grande quantité de provisions pour notre propre usage.
Ce n'est qu'après avoir géré les conséquences de la mort des camarades que le Lu Jiang mince et à la peau foncée put reprendre son souffle.
N'importe qui, enterrant ses camarades de leurs propres mains se sentirait épouvantable.
Incapables de ramener leurs cendres à la maison, ils furent tous enterrés là où ils étaient tombés, sur la ligne de frontière, selon leur souhait, reposant là pour l'éternité à garder le territoire du pays.