Gu Chenglin avait bien l'intention de donner une leçon à l'autre partie, mais il n'osait certainement pas le tuer. Pris de panique, il ordonna au cocher de ramener le carrosse à l'académie. Il s'infiltra discrètement par la porte arrière pour vérifier la réserve de bois de chauffage.
Le désordre dans la réserve était la preuve d'une lutte acharnée. Il y avait même quelques gouttes de sang sur le sol et la corde était rompue; non pas par un quelconque instrument tranchant, mais apparemment arrachée par pur force brute.
Gu Chenglin, tenant la corde, se tourna vers Gu Chengfeng et dit, « Deuxième Frère, regarde. Le gamin avait assez de force pour briser la corde. Je te l'avais bien dit qu'il allait bien ! »
