Le point de vue de Yarin :
Je n'étais pas le seul à être choqué. Karter et Anthony ne s'attendaient pas non plus à ce qu'Azazel me traite de cette manière.
« Pourquoi ne demandes-tu pas à Yarin, mon seigneur ? » proposa prudemment Karter.
Alors Azazel me demanda !
« Mon cher petit-fils, que voudrais-tu comme cadeau de bienvenue ? »
J'étais sans voix. Pensait-il que je n'entendais pas son dédain et son indifférence ? Il se fichait éperdument de mes sentiments. Il pensait que c'était amusant. C'était comme taquiner un chiot au bord de la route pour le mordre. Il y avait un 'amour' intrépide.
J'ai dit froidement, « Que tu sortes de mon corps est le cadeau que je préfère. »