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Chapter 6 - Chapitre 06:prison de luxure

Étrange ; bizarre ; grotesque ; sans réel source d'intérêt, tous ses mots s'adressant Unis comme une prière s'élèvant par dessus l'extrémité de leur habitations. Mais pourtant le constract est frappant. Ces mots désobligeants ne sont aucunement destinés à cette bâtis or plutôt pour les personnes qui y résident continuellement c'est-à-dire chaque homme ayant été "choisit". Ici, tout le mépris soulève une seule hauteur. Une maison ainsi que toutes les raisons de ne pas s'y approcher, la grande cheffe, avait eu jadis l'innovante idée de demander à celles de ses sujets qui possèdent une once de compétences en architecture tout en suivant ses consignes à la lettre: faite de pierre grises et brutes, avec une structure simple mais robuste, son toit en ardoise légèrement incliné semble se fondre dans la colline qui l'entoure presque invisible depuis les chemins voisins. Quelques fenêtres étroit et protégées par des volets en bois laissant filtrer une lumière tamisée. Des champs laissés à l'abandon ou recouvert de buissons épais encerclant la maison la séparant de toutes autres habitations, un chemin étroit à peine visible même jusqu'à la porte d'entrer serpentant à travers les hautes herbes et les pierres disjoncter. La maison bien que modeste devrait offrir une sensation de refuge, idéale pour celui celui en quête de solitude ou de tranquillité saine et absolue.

Le jeune homme parfaitement niché sur le lit l'avait bien compris. Il regarda longuement le plafond avec son morceaux de pain à la bouche essayant tant bien à sortir sa conversation de tout à l'heure avec sa ,bourreau auto-proclamé, perdu dans ses pensées le silence venait d'être effacer par un bruit sourd à sa porte. Il se redressa lentement avant d'acquiescer puis se leva confus il l'ouvrir finalement et laisse sa tête frêle et ses yeux marrons se poser sur ce qui semble être deux femmes aussi belles et courbés que les autres mais une lueur malicieuse se lisait dans leur regard.

Femme 1:" Hum, excuse nous du dérangement, mon petit, disons que nous n'avons pas pu résister à l'attrait de ta demeure." Commence la première avec un faux sourire espiègle

Femme 2:" Ah pas terrible la présentation, ça vaut 4/10..." affiche t-Elle avec ses doigts, ce petit jeu semblait propre entre eux deux

Femme 2:"tu aurais quelques minutes à nous accorder ?"

Les yeux du garçon se plissèrent devant l'intrusion brusque des deux guerrières étant sûr que personne n'en n'aurait rien à faire de lui. Il les laissera entrer à contre cœur et une fois installer la partie pouvait démarrer.

:" Bon, vous êtes qui et qu'est-ce que vous me voulez exactement ?"

Lance-t-il sa voix mesuré sous-jacent crainte et méfiance.

Valéria avait un air nonchalant sur son visage alors qu'elle sortait une seringue de son pagne et la balançait devant les yeux du jeune homme ses yeux bleus fixés sur les siens.

Elara: " eh bien pour être honnête je m'appelle elara et il se trouve que ma sœur, valéria, veut avoir une petite conversation avec toi en privé. Et elle a besoin que tu sois un peu...coopératif. Cela ne fera pas mal, à moins que tu luttes." Lui assure-t-elle laissant la faible lueur de la pointe de l'aiguille capter la lumière ambiante.

Elara:" ferme juste les yeux et respire profondément. C'est tout."

Elle essaya de presser l'aiguille contre la peau crémeuse de son cou et prête à délivrer le médicament tranquillisant. Son autre main saisit doucement son menton inclinant légèrement sa tête pour ouvrir l'injection, rapidement le garçon proteste et repousse violemment son bras avec la seringue une résolution s'installe dans ses traits.

Elara:" oh, tu es du genre fougueux, n'est-ce pas ?"

Elle cligna des yeux un léger froncement de sourcil se dessine alors qu'elle le regard réussir à s'éloigner la seringue au sol.

Valéria :" je n'aime pas ça." Prevint-elle ses yeux bleus étincelants d'une intensité sombre Alors qu'elle rejoignait, l'élu, son toucher inflexible pendant qu'elle lui attrapait le poignet. Valéria: "Détends-toi et laisse-moi te faire passer un bon moment."

Soudain ,le jeune élu,s'élance et l'attrape par l'épaule avant de lui donner un coup de genou à l'estomac son opposant grogna de douleur son visage se tordit dans un masque d'agonie et de douleur.

Elara:" putain...tu vois se que tu as oser faire, sale cleps ?!" Elle se précipita en avant essayant de attraper le garçon misérable. La tension palpable flotte dans l'air ,ce dernier essoufflé, se faufile en dehors du petit salon ses pas résonnant sur le parquet d'une poursuite effrénée il jette un regard furtif derrière lui: ses poursuivants sont de plus en plus proche. Dans un tournant brusque, le souffle accélérer, il renversa une lampe qui éclaire momentanément la pièce dans les profondeurs de la demeure une porte de chambre claque violemment se refermant à moitié mais ses poursuivants la franchit sans hésiter aussitôt, le jeune homme, piocha un couteau qu'il gardait cacher sous son lit mais il fut maîtriser avec facilité.

Valéria:" tu pense que tu peux juste me fuir, espèce de connard ?!" Grogna-t-elle se soulevant au dessus de sa tête essayant de le plaquer et le coincer sur le lit.

Elara:" tu es à nouveau maintenant, tu m'entends ?!"

La femme rugit ses mains se refermant autour de ses poignets. Elara: " on ne te laissera pas partir tant qu'on aura pas notre dose !"

Environ 43200 heures,720 minutes et 30 jours, autrement dit un mois c'est écoulé. Ce quotidien pénitentiaire qui semble être le paradis pour n'importe quel homme peut aussitôt démontrer des aspects plus contraignants ou cauchemardesques... C'était en apparence une prairie de sensations fortes et saveurs exaltantes pour une personne qui en est vraiment dans le besoin de contact affectifs tel que le jeune élu, essayant tant bien que mal de s'extirper de se tas de corps tout aussi imposants que magnifiquement élancé au dessus de lui. Chaque jours commença ainsi et se conclua ainsi de même ce faisant goûter et partager par ses femmes impitoyables et coriaces mais qui se révélaient nécessiteuses, affamées et bien plus qu'avide, ne laissant non plus le temps au simple "instrument de jeune" pris au piège dans un tourbillon de luxure bien que cela le dérangeait au plus haut point.

Il parvient enfin à se libérer de leur emprise, elles dormaient toutes épuisées par les différents efforts et niveaux de plaisir atteints manipulant efficacement le "jeune produit défectueux" mais plutôt bon à leur goût. Les doigts serrés aux draps épais, tandis que le jeune homme essayait de prendre sur lui-même ne voulant pas montrer d'indices de vulnérabilité alors qu'il continue de compter les jours puis les semaines puis les mois... sa respiration saccadé et irrégulière pendant qu'il gardait en tête ses moments de satisfactions mais aussi des marques de baisers ou morsures apparentes autour de son cou, des griffures et légères lacerations le long de son dos, plein d'autres signes d'héritages lui étaient laisser après chaque moments mais il se contente de gémir en silence. Le désir n'es louable et bon qu'au court terme,se disait-il inlassablement à l'intérieur de son subconscient essayant de se convaincre la véracité de ses pensées envers cette "stimulation éphémère" ,cela lui permettait d'oublier, mais une fois l'effet dissiper il ne reste plus que le passé.

Les ténèbres faisaient place à l'aurore, les rayons du soleil pénétrant les nuages au dessus de la tribu, le jeune homme descendit du lit ramassa le peu de vêtements qu'il possède éparpillés un peu partout au sol afin de s'en aller sans vouloir troubler le sommeil réparateur de ses intimidantes "propriétaires". En dehors de l'habitation tout près de la grande cour il se fit accueillir par son éternelle accompagnatrice,suba. Adossée contre le mur en face elle resta comme toujours à jeter un coup d'œil à son boulet. Elle s'approcha et veilla à tapoter sa joue plus ses cheveux déjà en bataille afin de se rassurer de se rassurer de son immersion dans le monde réel après tout ses ebats amoureux et intenses.

Suba:"oh tu en fait une tête, petit idiot."

Elle se moqua comme toujours après qu'il ait eut sa dose d'affection, lui orna un sourire narquois mais avec le temps quelque chose d'autre pris place comme une certaine forme de sympathie voir même...de la pitié ? Elle ne pouvait l'accepter pensant qu'il n'a pas un quelconque intérêt à sympathiser avec un "faible", mais l'être humain peut se montrer si contradiction.