Tang Jingci n'osait pas bouger. Du coin de l'œil, elle pouvait voir l'arête nasale haute d'une certaine personne. Quand il tournait la tête, elle pouvait embrasser son visage. Pourquoi s'était-il soudainement rapproché autant ?!
"Tu mets de l'huile pour les mains depuis quand ?" Qiao Xiyan regardait droit devant lui. Sa respiration était régulière, mais sa voix était rauque à force de fumer longtemps. Il venait de finir de faire de l'exercice, et il y avait une faible odeur de sueur sur son corps...
C'était le parfum hormonal unique aux hommes !
C'était si fort que ça lui faisait flancher les jambes.
"Depuis que j'ai dix ans." Tang Jingci s'était recroquevillée sur elle-même, essayant de son mieux d'éviter tout contact physique avec lui.
"Tes mains te font mal ?"
"Ça va..."
"La peau de tes mains est presque à vif."