La plupart des villageois comptaient également sur les hommes pour sortir et travailler afin de gagner du riz et des céréales. Les femmes faisaient de l'artisanat, comme de la couture et du tissage de paille, qu'elles vendaient en ville.
Il n'était donc pas étonnant que les familles sans adultes ou hommes menaient une vie si misérable.
C'est pour cela que le Frère Aîné Guan et les autres pouvaient gagner de l'argent en faisant du travail manuel en ville. Cependant, comme le niveau de consommation en ville était relativement élevé, les pièces de cuivre qu'ils gagnaient n'étaient suffisantes que pour acheter du riz et des céréales.
Les villageois avaient tout juste assez de riz et de céréales pour survivre au jour le jour. Bien que les prix étaient élevés en ville, les citadins n'étaient pas à court d'argent.