La société moderne serait celle chargée de juger si un politique était bon ou mauvais, car dès que la réputation d'un politique était entachée, c'était la fin de sa carrière politique. Le résultat final de rechercher excessivement à représenter les besoins du « peuple » serait une perte de volonté propre et, dans la grande majorité des cas, l'opinion majoritaire n'était pas forcément la vérité ou le meilleur cours d'action, mais simplement celle qui semblait être la meilleure à tous.
De ce fait, tout politique soutenu par les masses serait en réalité lui-même contrôlé par la volonté des masses. Même le politique le plus habile ayant été au pouvoir pendant longtemps ne serait que quelqu'un de plus adroit à naviguer dans le courant. Les réalisations d'un tel politique ne dépendraient pas des capacités personnelles de l'individu, mais plutôt de la façon dont ils étaient aimés par le Dieu du Destin.