Abaddon avait deux époques de souvenirs de participation à des fêtes et cérémonies formelles.
Et pourtant, il se sentait toujours inadapté.
Dans les fonctions de haute société, on s'attendait à ce qu'on agisse avec un certain degré de grâce et de noblesse qui pouvait être étouffant pour lui et pour quiconque ayant un tant soit peu d'intérêt pour autre chose que pour eux-mêmes.
Il était particulièrement mauvais dans les événements au format cocktail.
Ceux où l'objectif était de parler et de se mêler aux gens dans une pièce tandis que vous restiez debout à manger de la nourriture mignonne et minuscule sans aucune chance de vous rassasier et à siroter de l'alcool qui n'avait aucune chance de vous saouler.
Il était le genre de personne qui appréciait énormément les événements familiaux intimes où il était libre d'être lui-même.