Une fois qu'Abaddon a réalisé que l'arme était une fausse, il a laissé échapper un grondement dangereux en anéantissant la réplique avec de la magie de destruction et a laissé les cendres se disperser par le vent.
"Nous sommes trop tard... L'arme est probablement déjà entre les mains des dieux !"
Dans un rare moment de sang-froid, Valérie a touché doucement la poitrine de son mari en essayant de le calmer.
"Ce sera bon quand même... Nous pourrons toujours la récupérer plus tard."
"N'es-tu pas inquiète que le jour où nous retrouverons l'arme soit le jour où elle sera utilisée contre nous ?"
"Eh bien, non. Je réalise que c'est inévitable, mais en suis-je inquiet… ? Pas vraiment."
"Quoi ?"
"Je ne veux pas paraître arrogant. Mais tu dois déjà être consciente que nous ne laisserions jamais rien t'arriver.
Même si quelqu'un vient utiliser l'épée contre toi, nous les tuerons et la reprendrons tout de même. Quoi qu'il nous en coûte."
"Tu ne devrais pas avoir besoin de me protéger-"