Jonathan était assis, mais il se leva d'un bond, surprenant le chirurgien plastique. Il leva les mains au-dessus de la tête, terrifié, et s'écria : "Que se passe-t-il ?"
"Je viens de me rappeler une affaire urgente qui nécessite mon attention," répondit calmement Jonathan. "Continuez; je dois partir maintenant." Sur ces mots, il poussa la porte, sa silhouette disparaissant dans le sombre couloir.
"Tu m'as fait une peur bleue ! Je pensais que c'était un autre client fou. Les chances de tomber sur des personnes mentalement instables sont particulièrement élevées dans ce métier. Ils se mettent facilement en colère et tuent des gens," dit le chirurgien.
"Dépêche-toi, docteur," marmonna Bartak, sa voix légèrement pâteuse. "Tu n'as enlevé que la moitié de mon visage. Cette anesthésie est vraiment forte..."
