En sortant de la chambre de la duchesse, mes pensées étaient en désordre. Marianne m'avait demandé de ne plus interférer dans sa vie. Elle avait dit qu'elle ne viendrait plus dans ma chambre partager la pièce.
Je l'avais cherchée pour me moquer d'elle pour un énième acte de maladie. mais alors que nous parlions, elle demanda à rester seule.
Je savais à cet instant qu'il y avait quelque chose d'anormal. Au cours de la dernière année, elle n'avait laissé passer aucune occasion de faire une scène.
Toujours, quand un invité arrivait au palais, elle s'accrochait à moi. Si je ne la laissais pas faire ou que je l'ignorais, elle pleurait à chaudes larmes et convainquait tout le monde avec ces larmes factices qu'elle était maltraitée.