Perspective de Marianne, suite.
Le dîner n'a pas duré longtemps alors que j'étais perdue dans l'inquiétude pour mon père. Killian, se rendant compte du changement dans mon humeur, ne m'a pas beaucoup questionnée. Il était simplement ravi que ses parents n'envisagent pas de divorcer.
« Mère, es-tu sûre que ça va ? » demanda Killian en me regardant, et je hochai la tête.
« Oui, ça va. Je suis juste un peu inquiète pour mon père. Mais dis-moi, as-tu encore des doutes sur le fait d'être aimé ou sur un divorce de tes parents ? » lui demandai-je alors que nous étions tous les deux allongés sur le lit.
Au lieu qu'il soit au milieu, c'était moi qui étais au milieu. Cassius était à ma gauche et Killian à ma droite. Dieu merci, le lit en acajou était assez grand, même s'il y aurait eu deux enfants de plus.
