Georges était perdu dans le monde turbulent que ses souvenirs créaient.
Des scènes de sa petite enfance se métamorphosaient dans un cycle interminable d'entraînements, de cris, de douleur, de cachettes, d'endurance, de haine, de dépression. Il a pu survivre en canalisant toute cette négativité dans plus d'entraînement et en l'utilisant comme carburant pour continuer.
Et puis il y avait une lumière. Marcy. La femme parfaite, faite pour lui. Elle se tenait là comme un phare de lumière pour un bref instant, et puis elle le repoussa dans le cycle de cauchemars qui l'attendait, menaçant de l'engloutir tout entier.