Alors qu'Isabelle se tenait là, fixant l'homme dans la cuisine, son visage était froncé en une moue au lieu de l'admiration habituelle qu'elle éprouvait pour les hommes séduisants. Alors qu'elle croisait les bras devant elle, elle secouait la tête d'exaspération, murmurant : "Si seulement j'étais juge, je ferais..."
Encore une fois, elle le regarda et soupira. Il devrait vraiment y avoir une loi contre le fait que les hommes soient si séduisants avec ces queues de cheval désordonnées sur le sommet de leur tête ! C'est vraiment injuste. C'était censé être réservé aux bébés joufflus et mignons !