Atoumane était resté là cherchant à comprendre 7 7uu qui venait de se passer, s'oubliant lui-même. Son coeur se rétractait sans relâche et son esprit cherchait des réponses aux questions qu'il se posait. Était-il entrain de délirer? N'empêche cette jeune femme avait laissé en lui une grande interrogation, une équation sans égale ni solution.
Pvd Atoumane
Pendant qu'elle partait, je restai là immobilisé, la regardai se dandiner, la tête baissée et les bras croisés elle cherchait son chemin de retour. Je l'accompagnai d'un regard tendre et mon cœur continua de battre la chamade. Je priai à l'intérieur de moi pour qu'elle puisse retrouver le goût du bonheur tout en espérant la revoir un jour.
Quand je regardai ma montre, l'heure me surprit. Il faisait presque 8 heures du soir et ma mère était toute seule à la maison. Je me resaisis alors, me retournai, et rentrai chez moi. Que ce fut difficile de ne pas penser à cette jeune femme. On dirait qu'elle m'a envoûté. A peine je venais de la rencontrer et elle occupait déja toutes mes pensées comme si j'étais entrin de tomber amoureux d'elle. Je n'arrivai pas à la sortir de ma tête, son beau visage me revint encore et encore. Mais non, c'est impossible je ne la connaissais même pas et peut-être même que je ne la reverrai plus jamais. D'où provenait-elle? Qui était-ce? Et si elle n'était pas humaine.....je perdai complément les pédales et savais plus quoi penser. Rien qu'à l'idée de ne plus la revoir me fonda le coeur et me rendit triste. Mais à quoi bon de penser à une femme que je connais à peine.
Je suis arrivé à la maison vers 8 heures 22 minutes et ma mère était là inquiète. Dès que je franchis le seuil de la porte elle commença à m'inonder de questions.
Elle: mais où étais-tu bon sang?
Moi: à la vallée maman comme d'habitude
Elle: je me faisais du soucis pour toi. Tu ne restais jamais là-bas jusqu'à pareille heure. Que c'est-il passé là-bas ?
As-tu eu des problèmes avec quelqu'un? Tu me semble abattu mon garçon.
Moi: non aucun problème maman c'est juste qu je dus sauver une jeune femme qui voulait se suicider.
Elle etait si triste et désemparée qu'on pouvait voir le désespoir et souffrance dans ses yeux. Au fait c'est ça qui m'a mis dans cet état mais rassure-toi je vais bien.
Elle: as bounalah.....xaru! Mom luko war a meti bamu jaral ko xaru (mon dieu..... se suicider, qu'est-ce qui lui est arrivée de si terribles pour qu'elle veuille se suicider)
Moi: j'ai essayé de le savoir mais elle ne voulait pas en parler. Je pense qu'elle pouvait pas en parler. Elle était si triste et si affectée. Elle a dû beucoup souffrir la pauvre.
Mis bon assez parler de ça je vais me doucher et après nous préparer un bon dîner, tu dois avoir faim. La journée n'a pas été facile pour nous non plus. Devine quoi j'ai ramené du poisson, je vais nous faire une bon grillade.
Et je rentrai dans ma chambre me déshabillai et pris le chemin des toilettes.
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Sarata elle poursuivit son chemin sans envie sachant que l'enfer l'attendait chez elle. Avec un mari furieux et convaincu de l'infidélité de sa femme, d'une jalousie incontrôlable, elle marchait la tête baissée et l'esprit ailleurs, ses larmes gagnèrent son joli visage, ses paupières s'alourdirent, et ses jambes ne tinrent presque plus. Elle répéta sans espoir: mais pourquoi tu m'a laissé seul dans ce monde Papa, pourquoi...pourquoi?
Pvd Sarata
Il faisait environ 8 heures du soir et Birane était là assis sur le septième palier des escaliers de mon appartement (sa maison a deux bâtiments qui se font face l'un est occupé par sa première femme et la femme de son frère Daouda et l'autre par sa deuxième femme qui vit en bas et moi à l'étage.) sa tête entre ses mains chuchotant qu'il était désolé, maudissant sa colère excessive. Il se disait tout bas: si seulement je pouvais mieux me contrôler....mais ça m'insupporte de la voir avec un autre homme qui qu'il soit... Disait-il.
Et là il voit arriver sa femme toute pâle et désespérée. Il se précipita de la pendre dans ses bras.
Mais chérie où étais tu passée? Tu m'as fait une de ces peurs.
Sarata: je voulais juste me changer les idées mais je vais bien.
Birane: je suis.... pard..... je sais que je n'aurais jamais dû te traiter de la sorte. S'il te plaît pardonne-moi chérie..... pardonne-moi.
Sarata: ce n'était pas ce que tu crois Birane je sais qui je suis et jamais je ne commetrai une telle abomination. C'était juste un ami que j'avais pas vu depuis 6 ans.
Birane: pardonne-moi.... c'est que j'étais jaloux et furieux quand je t'ai vu le câliner avec autant de tendresse.
Mais je te jure que cela n'arrivera plus jamais .... jamais je ne leverai la main sur toi. Tu me pardonnes?
Sarata voulant écourter la discussion lui répond sans intérêt: oui.... mais promets-moi que la prochaine fois tu vas m'écouter d'abord avant de piquer tes crises de jalousie.
Birane: c'est promis....je te le jure tu es ma petite princesse.
On monta ensemble dans ma chambre. Mais puisqu'aujourd'hui est le dernier jour du tour de sa deuxième épouse et je ne pouvais pas me permettre de le laisser durer dans ma chambre alors j'en profite pour le chasser tout en le laissant croire qu'il était pardonner. Ô les hommes comme ils sont cyniques, il y'a même pas 3 heures de cela il voulait me tuer et là il implore mon pardon. Mais comme je voulus me débarrasser de lui le plus rapidement, je lui dis ce qu'il voulut entendre.
C'est bon je vais me doucher et dormir. Je suis vraiment exténuée. Lui balançai-je
Ne t'en fais pas je vais rester un peu avec toi te tenir compagnie et m'assurer que tu n'as rien. Me retorqua-t-il d'une voix désolée.
Non ça va aller en plus je ne veux pas m'attirer d'ennuis avec Khoudia, c'est son tour et tu dois être avec elle. Je lui repondai.
Khoudia est la deuxième femme de Birane. Je ne sais pas pourquoi mais elle me déteste de toutes ses forces. Elle me provoque souvant en me lançant des traques par ci et là. Et à chaque je fais comme si elle n'était pas née du tout mais je suis sûr qu'un jour viendrai où je ne pourrais me retenir. Vraiment je commence en avoir marre de ses sottises.
Pour elle j'en ai après l'argent de mon idiot de mari alors que j'en ai rien a ciré de son fric.
Elle cria comme une sirène le nom son mari. Mais tu compte passer la nuit là-bas ou bien. Irresponsable. S'adressa-elle à Birane.
Tu vois ce que je te disais cette folle est entrain de piquer crise Birane. Va la rejoindre moi je vais me reposer.
Birane: mais tu dois manger quelques choses. Je vais attendre que tu prenne ton diner d'abord.
Cheuttt..... Ça va j'ai pas faim et je n'ai envie de rien.... je veux juste dormir si par miracle ça pourrait m'arriver.
Birane: bon d'accord je vais te laisser te reposer alors mais sache que je suis vraiment désolé de tout ce qui s'est passé. Allez bonne nuit repose-toi bien.
Et il sortit de ma chambre.... Je poussa un grand oufffffff. Quel soulagement de ne pas avoir ce gros porc sur le dos. Si je pense que demain débutera mon tour avec cette penible journée que je viens de passer, j'ai juste envie de vomir. Je le haï surtout après ce qu'il m'a infligé aujourd'hui.
Je me dépechai sur la douche prenant vite fait un bain et me plongeai dans mon lit avec mon peignoir, toute mouillée. Je m'allongeai épuisée et parvins difficilement à trouver le sommeil.
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Pvd Birane
Après l'avoir battue et insultée, je suis sorti en claquant la porte avec fureur. Je me rendis directement chez ma maîtresse Diama,une traînée de la pire espèce. Entre elle et moi c'est seulement du sexe rien de plus. Mais je l'aime bien même si je prétends le contraire.
Je sonnai à la porte de son appartement, mes yeux rougissaient de colère et ce machin qui se trouve entre mes jambes ne cesser de bouillonner. Mais pourquoi elle n'ouvre pas cette putaine de p..... avant de terminer ma phrase la porte s'ouvrit.
Tu te décide enfin d'ouvrir cette porte mais diable que faisais-tu? Lui dis-je automatiquement.
J'etais dans la chambre pour m'habiller je sors juste de la douche. Mais qu'est-ce qui t'arrive? Tu es méconnaissable Birane. Me lança-t-elle.
Moi:Je me suis disputé grave avec Sarata. Je l'ai même battue, il faut que je me libère. T'as pas vu tes satanées règles j'espère.
Elle, toute excitée comme la traînée qu'elle est je jeta sur moi s'empara des mes lèvres. Ça te suffit comme réponse mon étalon. Me dit-elle.
S'en est suivi une longue partie de jambes à l'air comme à chaque fois que je suis furieux après quelqu'un. Elle est ma décharge et dans ces cas précis seule elle peut me donner ce dont j'ai besoin parceque c'est une bête du sexe et une garce de première catégorie.
Je ne sais pas ce que je ferai sans elle. Je l'aime plus que mes deux premières femmes réunies mais pas autant que j'aime cette imbécile de Sarata.
Je restai là-bas ma tête sur ses cuisses et elle me carressait avec douceur et tendresse, on parlota des heures et s'éclatait de rire parfois même.
Bon... je vais me purifier et rentrer chez moi tu m'as fait réaliser que je ne devais pas traiter comme je l'ai fait.
Elle: tu risque de la perdre si tu ne contrôle pas tes excès de colère.
Je sais.... mais j'y peux rien moi je suis comme ça c'est tout.
Elle: tu la connais bien, elle n'est pas comme ça et tu le sais. Elle en est incapable. Je mettrai ma main coupée que c'était juste un malentendu.
Bon sang.... je ne lui ai même pas accordée le bénéfice du doute pourtant elle voulait m'expliquer. Mais je chauffai de l'intérieur et je ne pouvai rien entendre cet instant là.
Elle: parle lui et demande lui pardon. Et de grâce n'ait pas honte de reconnaître tes erreurs mon chou.
Je m'en souviendrai chef.
J'entrai dans la salle de bain, fis ma purification, me rhabillai et partis de chez elle après l'avoir sommé une grosse bise très intense même.
Elle me rend fou cette saloppe.
Une fois à la maison, je montai en haut pour la voir mais elle n'y était pas. Une grande peur m'envahit subitement, un mauvais pressentiment s'installa dans mon cœur. Et si elle s'était suicidée, je ne me le pardonnerai jamais.
Mon autre moi me consola: non ne t'en fais pas elle n'en sera pas capable.
Je descendis jusqu'au septième palier des escaliers et m'assis ma tête entre mes mains je patinai sérieusement.
Je redoutai le pire. Soudain j'entendis un bruit, je levai ma tête et l'aperçus. Je poussai alors un grand coup d'air pour me soulager.
Après l'avoir accompagné dans sa chambre et après m'avoir assuré qu'elle me pardonnait, je redescendis pour rejoindre Koudia c'est le dernier jour de son tour aujourd'hui et elle ne supporte pas Sarata. Elle a des raisons d'être jalouse d'elle parceque tout le monde avait remarqué que Sarata bénéficiait le plus de mon attention. Et c'est vrai.
Mais comme on dit hein "duma gis poom di xëcco new, te nak sax kenn du gis përëmyér nan dëe bé mën a daw".
Elle est de loin beaucoup plus belle, plus raffinée, plus sexy, plus charmante, plus élégante et plus intelligente que mes deux autres femmes. C'est normal que je la préfère elle.
En plus je me suis battu pour l'avoir chez moi comme troisième épouse. Ce qui n'était pas d'ailleurs évident, elle est si jeune et moi vieux avec déjà deux épouses chez moi. Elle me rejettait sans cesse sous prétexte qu'elle étudiait et que ses parents se sont donnés beaucoup de mal pour que ses études ne s'interrompent pas à mi-parcours. Mais comme on dit toujours "tout arrive à point à qui sait attendre". Alors j'ai fini par l'avoir et la dompter à ma convenance.
Je me dois de la garder à mes côtés, c'est un trésor et un cadeau du ciel.
Elle me rendit fou. Et à chaque fois que je croisai son regard tout ce qui me vint à l'esprit c'est de la niquer. J'ai le droit de me fanfaroner parceque j'ai le jackpot, la belle Sarata.