En voyant le sourire ambigu sur le visage de Basil Jaak, l'homme barbu s'arrêta net. Ce n'était pas qu'ils ne voulaient pas continuer, mais ils n'osaient vraiment pas !
Cependant, ceux qui souffrirent le plus après le cri de Jaak n'étaient pas les hommes barbus, mais les deux policiers.
Ils ressentirent que ce que Jaak avait fait était sans aucun doute une gifle en plein visage devant tout le monde, et bien audible qui plus est.
« Frère, tu ne vas pas un peu trop loin ? » dit l'ancien policier à Jaak avec un visage sévère.
Jaak ricana : « Suis-je allé trop loin ? Mais je pense que j'ai fait mieux que certains qui disparaissent lorsque d'autres sont intimidés et interfèrent lorsqu'ils reviennent, n'est-ce pas ? »
« Qu'as-tu dit ! » Le visage du jeune policier changea, et il cria sur Jaak.
