"Je sais que tu peux. Là, maintenant, je veux la sauvage que tu es," Denzel exprima ses intentions.
Valérie fixa les deux chapeaux de cowboy qu'il avait posés sur une chaise, imaginant une autre nuit folle et s'exclama, "Du sexe en cowboy, je suis trop épuisée pour ça."
Elle le regretta bientôt, pensant que Denzel serait agacé et elle était sur le point de changer d'avis quand il lui parla soudain, stupéfaction.
"Alors prenons une douche et dormons. Nous pourrons faire ça une autre fois."
Il n'y avait aucune irritation dans sa voix, mais Valérie se sentit coupable. "Non, faisons-le," cèda-t-elle, mais Denzel se contenta de lui baiser le front avant de se tourner sur le côté.
"Je sais que ici, ce ne sont que nos capacités humaines. Repose-toi, s'il te plaît."
Leurs capacités de loup leur permettaient de travailler de longues heures ou d'avoir des rapports sexuels plusieurs fois sans se fatiguer, mais plus ils restaient à Las Vegas, plus ils devenaient humains.