"Adira, je sais que tu es là," dit Valérie, haletante alors qu'elle cherchait autour d'elle. Elle ne faisait pas le poids face à Adira à la course et était déjà fatiguée. Les bois, peu importe où, se ressemblaient tous. Les seules choses en vue étaient les arbres.
Une silhouette s'élança dans l'obscurité, et Valérie reprit la poursuite, criant, "Adira, arrête de courir."
Elle fut surprise quand Adira s'arrêta et se tourna vers elle, une expression sombre sur le visage. "Qu'est-ce que ça peut te faire ?"
"Je veux juste parler." Valérie reprenait son souffle. Elle n'aurait pas dû accepter ce travail, étant donné qu'elle était maintenant humaine et en plus en talons hauts. Merci le ciel qu'elle ne se soit pas tordu la cheville ou quelque chose comme ça.
"Je te déteste," lâcha Adira, mais d'une certaine manière, Valérie ne se sentit pas offensée. Avoir l'amour de l'Alpha Denzel était suffisant pour rendre tout le reste insignifiant.