Après une journée bien remplie, rien ne valait un peu de calme. J'avais enfin rejoint mon penthouse, savourant l'idée d'une soirée tranquille loin des affaires et des missions.
A peine avais-je eu le temps de me poser sur le canapé moelleux, que Lisa et Sherry arrivèrent en trombe, bondissant sur moi comme deux tornades.
« PAPA ! »
J'eus à peine le temps de réagir avant que Lisa ne me prenne en otage avec un câlin aussi puissant qu'un coup de Tyran G, suivi de près par Sherry, qui se blottit également contre moi.
« On t'a manqué, hein ?! » déclara Lisa avec un sourire triomphant.
« C'est plutôt vous qui avez manqué de me briser les côtes ! » plaisantai-je en feignant un gémissement de douleur, ce qui fit rire Sherry aux éclats.
À ce moment-là, Jill entra à son tour dans la pièce, un sourire en coin en nous regardant nous chamailler.
« Alors, Monsieur King, tu comptes survivre à cet assaut ou tu veux que je t'envoie du renfort ? »
Je levai les yeux vers elle, faussement dramatique.
« Si tu pouvais appeler du renfort, ça m'arrangerait. Mais vu que tu es complice dans cette histoire, je doute de ton objectivité. »
Elle rit doucement avant de venir s'asseoir à côté de nous, attrapant la télécommande.
« Bon, assez parlé, ce soir c'est détente. On regarde quoi ? »
Lisa et Sherry échangèrent un regard complice avant de crier en chœur :
« Détective Raccoon !!! »
Je levai un sourcil, légèrement amusé.
« Vraiment ? Vous ne vous lassez pas de vous voir en action ? »
Lisa leva le menton fièrement.
« On doit vérifier si l'animation respecte bien le jeu d'acteur ! »
Sherry ajouta, un peu plus hésitante mais tout aussi déterminée :
« Et puis… c'est drôle de nous voir en dessin animé… »
Jill, elle, haussa les épaules.
« Eh bien, je suppose qu'on ne peut pas faire plus familial que ça. » dit-elle en lançant l'épisode.
Le dessin animé démarra, et rapidement, nous nous laissâmes emporter par l'ambiance joyeuse. Nous rîmes ensemble devant les mimiques exagérées de Lisa et Sherry animées, notamment lorsque leur version cartoon tenta une cascade totalement ratée.
« J'aurais jamais fait ça en vrai ! » protesta Lisa en croisant les bras, boudeuse.
« Menteuse, tu aurais totalement essayé, et on le sait tous. » répliqua Jill avec un sourire taquin.
Sherry, quant à elle, riait doucement.
« On dirait qu'ils t'ont trop bien étudiée, Lisa. »
Le temps passa, et sans même nous en rendre compte, l'ambiance se fit plus calme. Lisa et Sherry, blotties contre moi, commencèrent à somnoler, leurs respirations devenant plus lentes et profondes.
Jill baissa le volume de la télévision en nous jetant un regard attendri.
« Eh bien… Ça n'a pas pris longtemps. » murmura-t-elle en nous observant.
Je baille légèrement, sentant moi aussi la fatigue m'envahir. Le canapé était confortable, l'air ambiant chaud et apaisant, et avoir mes filles contre moi était un luxe que je voulais savourer.
Quelques minutes plus tard, Jill détourna doucement le regard de l'écran, observant avec une tendresse non dissimulée la scène devant elle.
Moi, endormi avec un bras autour de Lisa et l'autre autour de Sherry, tandis qu'elles s'étaient pelotonnées l'une contre l'autre, bercées par ma présence.
Un soupir léger franchit les lèvres de Jill, un sourire doux sur son visage.
« On dirait bien que tu es aussi humain que nous tous, Gérald. » murmura-t-elle en posant délicatement un plaid sur nous avant de se caler contre le canapé, profitant du calme de cette nuit paisible.
La semaine qui suivit fut un parfait équilibre entre obligations professionnelles, moments de détente en famille et recherches scientifiques.
Les matinées débutaient toujours dans une atmosphère animée autour du petit-déjeuner, un rituel que Gérald tenait à conserver malgré son emploi du temps chargé.
Lisa, débordante d'énergie, discutait bruyamment de ses prochaines scènes de tournage, mimant parfois des répliques à voix haute, tandis que Sherry, plus mesurée, la regardait avec un sourire amusé, secouant doucement la tête.
« Lisa, tu devrais peut-être attendre d'être sur le plateau pour t'échauffer… » glissa Sherry en lui servant du jus d'orange.
« Jamais ! Je suis une artiste, il faut que j'exprime mon talent dès le réveil ! » rétorqua Lisa en levant fièrement son verre de lait, sous le regard mi-attendri, mi-exaspéré de Gérald.
« Tant que tu ne renverses pas ton talent sur la table, tout va bien… » plaisanta-t-il en attrapant un croissant.
Le rire de ses filles résonna dans la pièce, et il se permit un instant de relâchement, appréciant ces moments simples qui lui rappelaient pourquoi il faisait tout cela.
L'Inspecteur Raccoon à la Conquête du Grand Écran
L'un des moments marquants de la semaine fut l'appel inattendu du réalisateur du nouveau film Wonder Woman.
— Monsieur King, j'ai une demande un peu particulière…
— Laissez-moi deviner… vous voulez que je finance une scène d'action ? ironisa Gérald, habitué aux sollicitations du monde du cinéma.
— Oh, bien mieux que ça ! Nous avons déjà Lisa et Sherry dans le casting, et nous avons eu une idée géniale avec les scénaristes…
— Je redoute déjà ce que vous allez me dire.
— On voudrait faire un caméo de l'Inspecteur Raccoon dans le film !
Gérald cligna des yeux, un sourire incrédule se dessinant sur son visage.
— Attendez… Vous voulez dire, mon personnage de mascotte excentrique qui porte un trench-coat et un masque de raton laveur ? Celui qui court après les criminels avec des gadgets ridicules ?
— Exactement ! s'enthousiasma le réalisateur. Imaginez la rencontre : Wonder Woman débarque en France à la recherche d'informations sur Arès. Elle entre dans une ruelle sombre… et qui l'accueille avec une réplique pleine de sarcasme ? L'Inspecteur Raccoon en personne !
Gérald se pinça l'arête du nez, secouant la tête en riant doucement.
— Vous êtes sérieux ?
— Absolument ! Vous êtes une légende de la télévision avec ce rôle. Ce serait iconique !
Lisa, qui écoutait la conversation depuis la porte, s'écria soudainement :
— Papa, s'il te plaît, accepte ! Ce serait génial !
Sherry hocha doucement la tête, un sourire en coin.
— Imagine les affiches : Wonder Woman et Inspecteur Raccoon, le duo improbable !
Gérald poussa un long soupir théâtral avant de lever les mains en signe de reddition.
— D'accord, d'accord… Mais si je fais ça, j'exige un bon café et que personne ne se moque de moi sur le tournage !
— Promis ! dirent Lisa et Sherry en chœur, éclatant de rire.
Le Jour du Tournage : Un Inspecteur Raccoon Inoubliable
Sur le plateau, tout était prêt. Gérald était vêtu de son trench-coat beige élimé, son masque de raton laveur iconique sur le visage, tandis qu'une fine brume enveloppait les décors des ruelles parisiennes fictives.
Wonder Woman, incarnée par l'actrice principale du film, avançait prudemment, ses bottes claquant sur les pavés humides. Elle scrutait les alentours quand, sortant des ombres, une silhouette excentrique se découpa devant elle.
« Mademoiselle, vous cherchez quelqu'un ? Parce que dans ce quartier, on trouve surtout des problèmes. » déclara l'Inspecteur Raccoon d'une voix grave et théâtrale.
L'actrice cligna des yeux, visiblement surprise par l'entrée en scène du personnage.
« Inspecteur… Raccoon ? » demanda-t-elle, hésitante.
Gérald haussa un sourcil sous son masque, sortant un vieux carnet tout en griffonnant quelque chose dessus.
« C'est moi-même. Agent du chaos organisé, maître des enquêtes absurdes et grand consommateur de café noir. Et vous, vous êtes ? »
L'actrice retint un fou rire avant de retrouver son sérieux.
« Wonder Woman. Je cherche des informations sur Arès. »
Gérald claqua des doigts, comme si un éclair de génie venait de le frapper.
« Ah ! Arès ! Grand amateur de destruction et de plans foireux. »
Gal Gadot haussa un sourcil, restant parfaitement dans son rôle.
— « Et donc, vous avez des informations pour moi ? »
Je sortis un carnet froissé de ma poche, l'ouvrant avec un air théâtral.
— « Selon mes sources ultra-secrètes – c'est-à-dire un certain pigeon parisien nommé Jean-Claude –, votre type louche s'est fait remarquer près du Louvre. »
Gal étouffa un rire, ce qui faillit provoquer un fou rire général sur le plateau.
— « Très bien… Jean-Claude, hein ? » dit-elle en hochant la tête.
Je tapotai mon masque de raton laveur avant d'ajouter :
— « Un bon informateur. On lui doit la résolution de l'affaire des Croissants Volés de Montmartre. »
À ce stade, même les techniciens derrière les caméras ne tenaient plus en place, certains riant discrètement pour ne pas gâcher la prise.
Le réalisateur cria « Coupez ! », visiblement ravi.
— « C'était parfait, Gérald ! Tu as volé la scène, comme toujours ! »
Je retirai mon masque de raton laveur, amusé par l'énergie sur le plateau.
Lisa et Sherry, qui avaient assisté au tournage, coururent vers moi.
— « Papa ! C'était trop drôle ! » s'exclama Lisa, les yeux brillants.
— « Jean-Claude le pigeon… Sérieusement ? » ajouta Sherry, tentant de garder son sérieux.
Je haussai les épaules, un sourire en coin.
— « Hé, faut savoir être créatif dans notre métier. »
Toute l'équipe technique applaudit, certains étouffant difficilement leurs rires face à cette scène surréaliste.
« Bon… J'ai fait ma part. Maintenant, qui veut un café ? »
L'équipe éclata de rire alors que le tournage reprenait. Une chose était sûre : l'Inspecteur Raccoon n'était pas prêt d'être oublié.
Lorsque je ne me trouvais pas sur les plateaux ou en compagnie de mes filles, je passais mes journées dans les laboratoires de King Pharmaceutique, où de nouvelles avancées scientifiques majeures étaient en cours.
Dans une salle de recherche ultra-sécurisée, Marcus, Alexia, Wesker Junior et les triplés Jordan travaillaient sans relâche sur un projet fascinant : le Virus T Abyss.
Ce projet avait vu le jour grâce aux connaissances d'Alexia et à la découverte de l'axolotl électrique sur Rockfort Island. Ce dernier, capable de générer des impulsions électriques impressionnantes, possédait une structure cellulaire adaptée aux milieux extrêmes.
La combinaison de son ADN avec le Virus T donna naissance à une nouvelle souche, le Virus T Abyss, spécifiquement conçu pour les espèces aquatiques. Mais ce n'était que le début…
— « C'est incroyable… » murmura Marcus, fasciné par les résultats des tests sur des organismes marins.
Wesker Junior, toujours analytique, parcourut les données sur un écran holographique.
— « Contrairement aux premières mutations du Virus T qui rendaient les créatures instables et difformes, cette variante permet une croissance harmonieuse, tout en conservant l'équilibre biologique. »
Alexia, elle, observait une projection en 3D des premiers hybrides aquatiques créés à partir du croisement interespèces.
— « Nous avons maintenant les premières chimères marines viables… » déclara-t-elle, un sourire satisfait aux lèvres.
Je regardai les résultats, intrigué.
— « Et si nous combinons ça avec le Virus G ? »
Un silence tomba sur la pièce. L'idée était osée, mais Marcus se frotta le menton, déjà en train d'évaluer la faisabilité de l'expérience.
— « Si nous combinons le T Abyss au G, nous pourrions créer une nouvelle espèce de prédateurs absolus… Une évolution naturelle forcée… »
— « Eh bien, allons-y, » répondis-je en haussant les épaules. « Un nouveau virus, une nouvelle étape. »
Et ainsi naquit le Virus G Abyss, une fusion de la souplesse évolutive du G et des caractéristiques aquatiques du T Abyss.
es résultats furent stupéfiants.
Zeus, mon énorme anguille électrique, subit une mutation spectaculaire.
Déjà impressionnant avec ses 30 mètres de long, son corps dépassa les 200 mètres après l'exposition prolongée au Virus G Abyss. Il ressemblait plus à un serpent mythologique, avec une puissance électrique capable de générer des arcs électriques aussi puissant ou plus que ceux des éclairs naturels.
Alexia observait les tests sur Zeus, émerveillée.
— « Ce n'est plus une créature… C'est un dieu des mers. »
Wesker Junior croisa les bras en regardant les relevés d'énergie.
— « Nous devons absolument encadrer sa croissance. S'il devient trop intelligent, il pourrait être une menace incontrôlable. »
Je secoue la tête, un sourire en coin.
— « Ne t'en fais pas, Zeus sait déjà qui est son maître. »
Mais Zeus n'était pas le seul à avoir évolué.
Mon crocodile géant, récupéré grâce a Zeus, avait lui aussi atteint des proportions titanesques. Long de 80 mètres, il possédait une armure d'écailles aussi résistante que du titane, et sa puissance sous-marine rivalisait avec celle d'un sous-marin d'attaque.
— « Cet animal est un char d'assaut vivant… » souffla Marcus.
— « C'est un tank amphibie. » confirmai-je en observant les tests.
Mais il y avait plus encore.
Les Aquamoth, mes premiers poissons marins, avaient eux aussi subi une transformation. Leur envergure avait doublé, et ils étaient devenus des maîtres du camouflage sous-marin, capables de se fondre dans l'eau comme des méduses.
Enfin, Neptune, le grand requin mutant, avait non seulement grossi, mais avait développé un instinct de commandement. Il était capable de diriger des bancs entiers de requins, qu'ils soient infectés ou non.
Wesker Junior prit une profonde inspiration.
— « Nous venons de changer l'ordre naturel des océans… »
Alexia hocha la tête, un éclat brillant dans ses yeux.
— « Désormais, nous ne créons plus seulement des armes… Nous façonnons l'évolution. »
Je souris, croisant les bras.
— « Tant que je ne me retrouve pas avec des branchies ou des nageoires dans le dos, ça me va. »
Marcus rit doucement.
— « Tu as raison de ne pas tester ça sur toi. L'adaptation marine pourrait être... disons, définitive. »
Je levai un sourcil.
Les jours passèrent et les discussions avec Alfred Ashford prirent une tournure de plus en plus captivante. Ce dernier, véritable maître des négociations financières et politiques, était parvenu à décrocher un accord sans précédent.
Grâce à un jeu subtil de pressions juridiques, d'exploitation de failles constitutionnelles, et d'une distribution bien placée de pots-de-vin, Raccoon City et les Montagnes Arklay furent officiellement reconnues comme un État indépendant.
Dans mon bureau luxueux, une bouteille de vin rouge trônait sur la table, reflet silencieux d'une victoire inédite.
Assis en face de moi, Alfred, vêtu d'un costume parfaitement taillé, ajustait sa cravate avec un sourire satisfait. Son regard vif, qui trahissait un intellect affûté, ne quittait pas les documents officiels fraîchement signés.
— « C'est un coup de maître, Gérald. En jouant sur les lacunes du droit américain, nous avons réussi à obtenir une souveraineté totale sur le territoire. »
Je pris un cigare, le faisant rouler entre mes doigts avant de le porter à mes lèvres.
— « Disons que je suis un homme aux multiples talents. » répondis-je en exhalant lentement une volute de fumée.
L'administration américaine, visiblement désireuse d'effacer l'affaire Umbrella, préférait se débarrasser discrètement de toute responsabilité. Au lieu d'une longue procédure judiciaire qui mettrait en lumière leurs propres manquements, ils avaient cédé le territoire à King Pharmaceutique sous une nouvelle juridiction.
En d'autres termes, ils m'avaient donné un royaume.
— « La meilleure partie ? » poursuivit Alfred, en faisant tournoyer un verre de vin dans sa main. « Désormais, ni le gouvernement américain ni l'ONU ne peuvent interférer avec nos décisions. Nous avons carte blanche pour mener nos recherches, développer notre économie et gérer ce territoire selon notre vision. »
Je souris.
— « Tu veux dire, selon ma vision. »
Alfred me regarda un instant avant de rire légèrement.
— « Évidemment. Ce n'est pas moi qui possède une armée et des créatures génétiquement modifiées. »
Alors que nous savourions notre victoire, une présence féminine fit son entrée dans mon bureau.
Delphine, mon assistante personnelle, entra avec son habituelle allure professionnelle. Son tailleur parfaitement ajusté contrastait avec l'air faussement sévère qu'elle arborait toujours lorsqu'elle venait annoncer mes obligations.
— « Messieurs, j'espère que je ne vous dérange pas dans votre célébration… » déclara-t-elle en croisant les bras, un sourire en coin sur les lèvres.
Alfred leva immédiatement les yeux vers elle, une lueur d'intérêt perceptible dans son regard.
— « Pas du tout, ma chère Delphine. Vous êtes toujours la bienvenue. »
Je haussai un sourcil en observant l'échange.
Delphine n'était pas du genre à se laisser impressionner, et pourtant, il était évident qu'il y avait une certaine tension dans l'air entre elle et Alfred.
— « J'imagine que vous êtes venue nous annoncer que Gérald a encore un million de choses à faire ? » lança Alfred d'un ton légèrement taquin.
— « Comme toujours, Monsieur Ashford. » répondit-elle avec un léger sourire malicieux, avant de prendre place à côté de nous.
Je pris une gorgée de mon verre avant de fixer les deux.
— « Intéressant. On dirait bien que mon cher Alfred a enfin trouvé une personne capable de le dominer en joute verbale. »
Alfred toussota légèrement avant de reprendre contenance.
— « Je ne dirais pas dominer, mais… disons que la conversation avec une femme aussi brillante que Delphine est… rafraîchissante. »
Delphine leva un sourcil, amusée, mais ne répondit pas.
Je les regardai échanger un regard complice avant d'éclater de rire.
— « Très bien, très bien. Amusez-vous bien tous les deux, mais ne me faites pas une crise diplomatique au bureau. »
Alfred leva son verre dans un geste dramatique.
— « J'essaierai d'être un gentleman… autant que possible. »
Delphine secoua la tête, un sourire caché aux lèvres, avant de quitter la pièce.
Je fixai Alfred en silence pendant quelques secondes avant de souffler :
— « Bon sang, tu vas vraiment essayer de la séduire, pas vrai ? »
Il haussa les épaules d'un air faussement innocent.
— « Moi ? Jamais. Je suis bien trop professionnel pour ça… »
Je levai les yeux au ciel.
— « Si tu brises son cœur, je t'enferme dans un labo avec Alexia pour une session de test. »
Il éclata de rire.
— « Je vais considérer ça comme un avertissement. »
Je souris en secouant la tête.
(Note d'auteur : voila pour la semaine de vacance de Gérald, toux toux, oui vacances. Le prochain sera très dur avec une semaine de réunion d'affaires et autres problémes, ah que de complications pour le pauvre MC ^^)