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Chapter 20 - Grand-père

John

- Ton grand-père est à l'article de la mort, il veut te voir.

- je serai là demain.

- À demain

- À demain maman et merci.

- Je le fait pour mon père, je veux exaucer

son dernier souhait.

Elle raccroche, je reste là, les yeux dans le vide . Je passe appelle :

Apprêtez mon Jet pour demain matin

à 6 h.

Je vais me coucher , les yeux fermés je repense à ce que l'aigle à dit, je ne peux pas attendre que quelqu'un finisse de jouer avec elle pour la reprendre .

Quel genre d'homme je suis, pour attendre, qu'un homme finisse de s'amuser avec la femme que j'aime.

Je dois tout faire pour récupérer ma femme, peu importe les moyens que je devrais utilisés , elle sera à moi.

C'est avec cette pensée que je m'endors.

Je me réveille le matin , je me prépare pour aller prendre l'avion, je vais revoir mon grand-père. Je suis heureux .

J'espère qu'il n'est pas très mal au point.

Je fais ma toilette et m'habille, je prends une petite valise, que mon chauffeur me prend dans la main , tout est prêt pour le décollage.

Après quelques heures de vols, nous sommes arrivés à New York. Je descends et nous partons d'abord à l'hôtel , arrivé là-bas Je dépose mes bagages, prends les quelques cadeaux que j'ai achetés pour la famille à l'aéroport et demande à mon escorte de

m'attendre, je vais dans mon ancien quartier avec seulement mon chauffeur.

Je vois que rien n'a changé ici, les enfants déscolarisés qui jouent dans les rues, d'autres qui dilent . j'aperçois la maison où j'ai grandi , l'émotion me surprend, une vague tristesse me prend

Je reste assis dans la voiture pendant un temps indéterminé, jusqu'à ce que je vois les enfants autour de la voiture la regardant, la touchant, ils sont émerveillés .

Je me rends compte de l'extrême pauvreté qu'il y a ici, mais ils ont l'air heureux .

Je descends, je suis entouré de tout part

ma mère dort de la maison, pour m'aider avec les cadeaux.

- Soit le bienvenu

- Merci maman ,

Elle ouvre la porte, je rentre, elle me suis.

- Tu veux boire quelque chose ?

- Un verre d'eau, où est-il ?

- Dans ton ancienne chambre, Il a décidé de déménager là-bas, quand la maladie à gagné du terrain.

Je prends le verre d'eau, bois et me dirige

vers mon ancienne chambre.

J'ouvre la porte, je le vois couché, il est amaigri, il a les cheveux blancs.

Je prends une chaise et m'assoie à ses côtés. Je prends sa main, lui frotte les doigts.

- Grand-père, je suis là, dis-je d'une voix faible.

Il ouvre péniblement les yeux, me regarde

ses yeux avant rempli de joie, de malice sont aujourd'hui ternent. Il me sourit.

- Tu es venu ? merci beaucoup, aux ancêtres, d'avoir entendu mes prières.

Je n'ai pas beaucoup de temps.

Regarde dans le premier tiroir, tu trouveras une amulette .

Je pars chercher l'amulette, c'est une petite bois en forme de tête de masque

pas plus gros qu'un pouce attaché à une chaîne en or blanc . Je lui tends l'amulette, il l'a prend,

- Approche me demande t'il

Je m'approche, il ouvre, l'amulette et me l'accroche à mon cou.

- C'est un héritage qui se transmet de père en fils, et comme j'ai une fille au lieu d'un garçon, c'est pourquoi je ne l'ai pas donné à ta mère . Si ton père t'avais reconnu peut-être que je lui aurais donné

Cette amulette vient de nos ancêtres, les mandingues , selon l'histoire en fouillant son frère le sanguinaire Samori Touré mon arrière arrière grand mère , lui a volé l'amulette, c'est ce qui l'a sauvé, quand elle a été attrapé et déporté pour les États-Unis.

Cette amulette était le pouvoir de son frère. Elle ne cautionne pas ses agissements, pourtant, elle savait qu'en lui dérobant l'amulette, elle signait la mort de son frère. Car il n'était plus sous la protection des ancêtres.

- Voilà ton histoire. Cette amulette de sauvera beaucoup surtout avec le travail que tu fais. Vu ton tempérament je dirais que tu ressembles beaucoup à ton arrière arrière arrière grand oncle.

Son totem, une femme indisposée ne doit pas la toucher. je t'aime mon petit fils .

- Merci beaucoup grand-père. Je t'aime aussi.

Il prend ma dans la sienne et me dit

- N'en veux pas à ta mère, c'est parce qu'elle t'aime, elle a toujours voulu le meilleur pour toi. Essaie de la comprendre, et même si elle dit qu'elle veut plus te voir après mon départ, ne l'écoute pas, tu lui manques beaucoup

elle passe son temps à pleurer, ton absence.

- Merci beaucoup, grand-père.

Je le vois qui ferme les yeux, et fesses de respirer.

C'est fin, il est parti, c'est comme s'il attendait que j'arrive, me remettre l'amulette et se reposer à jamais.

Je coule silencieusement des larmes.

C'était un homme merveilleux, attentionné, un père et grand père aimant. Nous ne t'oublierons jamais, tu resteras à jamais gravé dans nos mémoires.

Je me lève pour appeler ma mère, quant- elle me voit elle comprend, et se met à pleurer .