Ahhhh… ahhhh… ahhhh…
Un homme essoufflé, respirait fort ici.
Son souffle puissant.
La terre tout autour, bruler.
Les grandes plaines verdoyante en feu.
La petite maison sur les hauteurs vertes en cendres…
Le cadavre d'une femme défigurée à ses pieds.
Il serra les dents, regardant devant lui avec force et témérité…
Trois hommes planaient dans le ciel face à lui, il avait beau retenir ses larmes…
Une ou deux commencer à tombé, le ciel se coucher à l'horizon, cachant sa peine derrière les nuagues…
Le mage ici, étend ses membres sanglant,
Acceptant la dure réalité, il serre les dents,
Et porte sa voix sur la grande plaines verdoyante, brillant ici les derniers rayons du ciel.
« Araz… mon fils. »
Sa voix était si puissante que les hommes dans les airs se préparèrent à combattre.
« Vas… et accomplis (tousse) ton rêve dans ce monde…
Le soleil verdoyant du monde, ne cessera jamais de briller. »
Il ne mettait nul autre force que sa vie dans c'est paroles.
son fils, le visage en sang…
Regardait le dos de son père…
Se tenant sur les ruines de la maison jadis…
Se tournant doucement vers le cimetière de sa mère…
Il regarde en larmes… coulant sur son visage doux et sanglant…
Il n'arrivait pas à bouger… à parler…
Une voix pris fort alors :
« araz !!! »
Le garçon se calma… et regarda son père…
Trois boule de lumière s'élevait dans le ciel au dessus…
Couvrant l'horizon… les trois hommes aux loins… disparaissait derrière l'ombre stellaire…
Et le divin petit homme, qui se trouver debout face au soleil blanc apparut dans le ciel…
Serra les dents et repris avec fureurs :
« Vas ! Vas-t'en et forge ta voie dans ce monde ! Araz ! »
Il lui cria se tournant vers lui.
Il regarda le visage sanglant de son père en larmes, qui lui hurler dessus…
Le vents souffler si fort que les debris de la maison détruites s'envolait vers la boule de lumière.
Le regard furieux de son père, le garçon se leva… regarda sa mère un dernières instant…
La bouche ouverte remplie de terreure, les larmes déformait son petit visage…
Il serra les dents… l'expression la plus effrayante du monde…
Celle de la toute tristesse…
Il fronça les sourcils à son père, remplie de solicitude…
Il se retourna et partit en courants Dans les bois à moitié détruit qui s'étendait par delà les plaines.
Le regard d'Ezekiel… s'adoucit légèrement…
Le monde était cruelle… et remplis de danger.
Soulager par la vie… un pincement au coeur…
La douleurs d'être vivant et seul dans ce monde hostile…
Quel terrible fardeau…
Il se tourna vers les ennemies qui accumuler encore leur attaque dans le ciel…
Il les regarda, le vents devint si fort que le cadavre de sa femme commençait à être emporté.
« Hmmm !! Vous ne l'aurait pas ! »
Il frappa du pieds et le vents s'arreta tout entier.
Les trois mages dans le ciels crachèrent du sang…
le petit homme face à la grande boule de lumière stellaire et blanche étendit ses mains.
« Mon fils…. »
La boule immense se déplaca à grande vitesse, avalant la plaine toute entière sur son passage.
La terre trembler et le monde hurler de colère.
Et le coeur de l'homme ne ressentait que désolations et tristesse.
« Vas, et forge ta voie dans ce monde,
Vainc l'adversité et accomplit tes rêves…
Je te souhaite tout le courage du monde ! »
Il sourit rassemblant sa magie, une lueurs dorées pris l'horizon devant lui…
Ses deux mains lever vers l'immense boule blanche.
Il hurla !
le choc entre la fine couche dorée et l'immense amas blanchatre. Fissura la terre et separa les cieux.
Mais alors que le grand mage souriant, en sang, faisait face à ses derniers instants…
Sa bouche courber vers le bas…
Les larmes couler sans fins de ses yeux.
Le grand sourire du monde,
Le divin Ezekiel…
Arborait la plus triste des expressions,
Et le destin le plus funèbres…
Alors que le monde entier était renversé à l'horizon…
Il hurla encore, l'entièreté de son corp puissant se brisant sous la pression.
Bientôt, les deux eclats de lumière avait fusionnait et explosait ensemble dans les cieux !
Le corp brisé, une dizaines de mages fronder sur lui à toute vitesse, de puissant sort remplissait les cieux éternels….
Qui paraissait à ses yeux,
Plus qu'un rayon…
Rideau éphémère…
Peut-être était-ce sa nature, le monde à travers lui…
Mais malgré l'immensité de sa tristesse…
Le divin Ezekiel, releva la tête et sourit.
Le mage souriant des contrée vermeille…
Le magus du soleil.
Il éleva sa magie pour la dernière fois,
Le sol explosa sous ses pieds avec intensité.
« Je suis désolé, Alya »
Le corp de sa femme fût propulser avec force tel un déchet à des dizaines de mètres de là.
Alors qu'il avait atteint les cieux,
Un eclat d'un jaune lumineux coulait de son corp, et les larmes prenait la couleur du soleil dans ses yeux,
Tandis qu'il hurler à la bataille, frondant dans l'immense chaos accompagnants ses ennemis,
Dans la dernière de sa vie…
Quel malheur ! Malheureux…
Fallait-il toujours que la vie !
Finissent en tragédie.
La seul pensée qui traversa son esprits dans le comble chaotique de sa mort et celle de nombres de ses ennemies :
« Vas… et forge ta voie…. À travers la magie du ciel et de la terre… »
Comme le diction vénérable…
La plaine en feu, coulait dans une rivière de soleil…
Le crépuscule avait disparue, et les milliers d'astres dans le ciel…
Portait témoins a la splendeur,
La splendeur d'un homme,
Mourrant debout sur les reste en ruine et terreuses…
D'une douce plaine.
Le corp trouer par 7 fois,
La voix brûlée.
Les yeux en sang… aveugle, sourd et muet…
Dans le chaos du monde en ruine,
Comme un miracle éternel Au souffle éphémères…
Il était mort ici, debout, s'effondrant sur le sol…
Le dernier des rois, et plus grands des hommes.
Un mage sous le ciel…
Dans le sang du monde….
Ezekiel était mort….
Et chaque étoile portée salut…
La bataille avait duré jusqu'au bout du jour,
Mais le soleil finit par se coucher…
Un homme en sang, et épuisé…
Atterit du ciel à côté de lui…
Il posa son oeil sur le sol, en arborant un sourire content.
Il regarda les étoiles….
Ahhhhhhh...
Il souffla avec quiétude…
Une boucher d'air frais…
Comme la nuit était douce,
Et le soleil était mort…
Alors il récita un poème, pour un vielle ami, ailleurs… parmis les étoiles dans le ciel.
« Ont disait que Dieu vivait éternel,
Que la magie avait pour scrupule,
de sculpter l'horizon.
Tu vois… Ezekiel…
Même les étoile te rendent salut…
Jusqu'au bout, je me demande….
Est-ce que c'était toi… le favori des cieux ? »
Il regarda avec un air trouble le cadavre au sol…
Il posa sa main dans les airs juste au dessus de lui…
Et porta une parole : Aostris.
Une pression informe sortit de sa main, et explosa le corp de l'homme a terre, laissant une flaque de sang et de chaire immonde.
La belle chevelure courte et dorée de l'homme dans sa quarantaine avait disparue sous les cieux.
Et l'homme repris alors regardant le ciel :
« Non… tu est bien fait de chaire et de sang toi aussi…
Je me demande, par quel magie a t-on promis au destin un tel supplice…
Hier admirable, et aujourd'hui plus rien…
Retourne à la terre, magus Aurora…
Comme le soleil au déclin, je te rejoindrais. »
« Maitre ! » une voix appelait par derrière lui.
« Le garçon, a utilisé un portails caché, nous ne savions pas…. »
Ah….. le mage soupira.
« Ce n'est rien… » il se retourna avec un regard doux, contrairement à son habitude.
« Pour aujourd'hui, vraiment, rien de grave dans le monde, et même les rois parmis les mages, et élues de la magie, même les rois mages peuvent mourrire… »
Il partit en marchant de la où il venait… pensif… et contemplatif du monde…
Le jeune mage à c'est parole repris tout de suite, avec respect et admiration.
« Magus Magia eden Sedais »
(mage aux magique attribut éternels)
Il baissa la tête, joignant une mains sur l'autre et posant un genoux à terre laissant passer le mage à travers le grands champs de bataille…
Plus tard, tout le reste des mages ici, avait le genoux à terre en titre de respect, tandis que l'homme à la chevelure grisâtre marcher les mains dans le dos, solennel et sous la nuits.
« Les étoiles sont vraiment, magnifique aujourd'hui. »
« The book of ezekiel »
The end of his life.