BIP!!!!!
Se fut la dernière chose que j'entendis avant que les lumières ne s'éteignent. Je me trouvais dans une salle blanche, attaché au lit, menottés par mesure de sécurité.
Au départ, ma vie ressemblait au autres vie, sauf que mes parents ont divorcé et je pense que s'est là où ça à mal tourné.
A l'époque, quand j'étais encore à l'école, j'étais victime d'intimidation par mes camarades à cause de ma couleur de peau et de ma pauvreté. Oui, ma famille était pauvre mais en plus mes parents avait divorcé. Dire que ma vie avait été difficile serait un euphémisme, avec mes six frères et sœurs (7 avec moi) entassés dans un appartement de taille moyenne.
En grandissant, j'eus beaucoup d'amis, surtout en allant dans une salle de sport peu connu. Parfois je donnais le peut d'argent que j'avais au sans-abris devant la salle de sport, pas beaucoup mais de quoi vivre. On était devenu de bon amis.
Par chance, j'ai trouvé un appartement pas cher. Plus tard, je réussi à avoir un métier proche de chez moi. J'étais un étudiant en maçonnerie et j'étais même plutôt bon.
Tout allait bien jusqu'à se que un jour, mon ami, venu me dire qu'il avait besoin d'aide . Il avait rejoint un gang et sans faire exprès, avait tuer un gars. Il avait besoin que quelqu'un l'héberge et était venu vers moi.
Étant quelqu'un qui était souvent confrontés au problème et qui gèrent bien le stresse, j'accepte.
Les jours passent et bientôt il parti, en me remerciant. Je lui dis que quiconque était dans le besoin, il pouvait venir chez lui, dis-je en pensant que s'était une blague.
Ironiquement, on dirait que ce n'était une blague que pour moi, il l'avait dit à son gang et ils étaient contents de trouver quelqu'un comme moi.
Au bout de la quatrième personnes, on me proposa de les rejoindre, mais je refusa. Appartenir à un gang semblait cool et excitant sauf que je savais que tu pouvais mourir ou allé en prison.
Les années passèrent et j'eus 35 ans. Le gang avait beaucoup grandit et était déjà beaucoup connue.
Je connaissais déjà tout les anciens du gang. J'en étais moi-même un ancien sans en faire parti. Dans le gang, on m'appelez même le Conseiller.
Pouvez vous imaginez le d'être appelé comme ça: "M.le Conseiller, voulez-vous du thé ?"
Mon ami, Tony, était devenue le chef du gang parce que le précédent était mort, tué par un gang adverse.
Je trouvais même de bon chef d'équipe pour le gang et les entraînait chez moi. Je m'étais fait une très bonne réputation.
Bien-sûr, voyant le pouvoir que j'avais dans le gang, Tony commencèrent à avoir des inquiétudes, et je les vite remarquer.
Je lui dit franchement qu'il faisait partie de la famille et que je n'avait tout simplement envie.
Le gang était devenue tellement fort qu'il avait même attiré l'attention du gouvernement. C'est alors que le gang s'est mis à faire n'importe quoi, viol, meurtre et action terroriste.
Ça ne me concernait pas donc je m'en fiche du mal qu'il font aux autres. Qui suis-je pour m'en s'ousier.
Je n'avais toujours pas de petite ami et je n'en avais pas besoin. Le fille n'apporte souvent que des problèmes inutiles.
Le gang me rapporter suffisamment d'argent pour que j'arrête d'aller travailler Je lisais des romans et novel, j'étais fasciné par l'imagination qu'une personne pouvait avoir à récréer leur imagination sur des dessins animés.
Jusqu'aux jours ou la police fédérale est venu sonner à la porte, ma porte. Ils m'ont dit que j'allais aller en prison, parce que je fournissait des hommes et du soutien à un gang.
Après leur passage, je suis aller voir Tony pour lui raconter et il m'a promis que tout ira bien.
Deux semaines plus tard, j'étais dans un fourgon, menotté au banc en fer et ayant les yeux bandés. J'étais dans convoi blindé. J'attendais que Tony et le gang viennent me sauver.
Après une période indéterminée, j'entendis des coups de feu dehors et je commence à sourire, je savais que s'était Tony. Un petit moment plus tard, j'entends le bruit de la porte du fourgon s'ouvrir et mon sourire s'agrandit.
Après cet épisode digne d'un film d'action, j'acceptais de faire plus d'efforts dans le contrôle des membres du gang, pour ne plus avoir de vif d'or dans le gang.
Plus tard, à l'âge de 49 ans, je découvrit que j'avais un cancer et qu'il ne me restait que 2 ans à vivre. Je suis aller voir Tony et lui a montré les documents. Je lui ait dit que j'arrêtais tout activités avec le gang et il m'a dit qu'il accepte mon choix.
Pendant 1 ans et demi, j'ai commencé à faire des romans et à donnais mon argent à des débutants prometteur, qui avait besoin d'un petit soutien pour commencer. J'étais même devenue célèbre a cause de mes don d'argent excessif. Après, j'étais tellement malade que je fût forcé d'aller à l'hôpital.
Dès que je me suis couché sur le lit, j'ai vu la police fédérale arrivé et commencé à me foncée dessus. Voyant ma tenue, ils ont semblé stupéfié.
Les médecins et moi-même leur dire que j'avais un cancer en phase terminale et que je devais rester dans un hôpital.
Voyant que ce n'était pas de leur juridiction, ils appelèrent leur supérieur et ils acceptèrent, à condition qu'une équipe patrouille devant ma chambre.
Ce qui nous amène à maintenant.
Pendant tout mon séjour, pas une seule fois ma famille est venue me voir et a cause de ça que j'ai préféré léguer ma fortune, qui est une sacrément grosse somme, au enfants de mes frères et sœurs et une petite partie à eux-mêmes.
Pour empêcher que un ou les deux parents ne viol l'héritage, j'ai les ait menacée en disant que mon charmant ami, M.Tony allait venir vérifier si mes volonté soit faite et malheur a ceux qui ne mon pas respecté.
Bon, maintenant il est l'heure de mourir. Partout il faisait noir, je me sentais si léger, comme si j'étais dans l'espace. Plus précisément dans le vide.
Je ne pouvais pas voir mon corps ni sentir, ni toucher. Il ne me restait qu'un seul de mes cinq sens, la vue, et je n'étais même pas sûre d'avoir des yeux.
Après une longue période de temps indéterminé, je commence à voir une lumière, se rapprochant à toute vitesse de mon emplacement, jusqu'à me rentrer en collision.
Après cela, je m'évanouis et sans m'en rendre compte, je disparue du vide.