Dans le tribunal, Adrian semblait être un peu agité.
Il a continué à parler fort, "Quand j'ai vu ce contrat, je n'en croyais pas mes yeux. Je n'aurais jamais pensé que Jeanne pourrait faire une telle chose. Après tout, c'est l'entreprise Lawrence, le patrimoine de sa famille. Elle profitait secrètement et nuisait à leurs actifs. J'ai ressenti un frisson dans le dos pour le Président Lawrence. J'ai entendu dire qu'il traitait très bien Jeanne. Quand Jeanne a été calomniée par tous les supérieurs et qu'ils ne lui faisaient pas confiance, c'est le Président Lawrence qui est apparu dans la salle de réunion en fauteuil roulant pour la sauver. Ne se sent-elle pas coupable de faire ça ?! Ne ressent-elle pas de regrets pour son grand-père qui lui faisait tant confiance ?!"
Le ton d'Adrian était déchirant.
C'était comme s'il avait été traité ainsi par sa propre fille. En même temps, il décrivait également la cruelle noirceur de Jeanne dans toute son horreur.