Dans le Hollyday, la jeune demoiselle aux cheveux gris Makoto, était assise à une table savourant des travers de porc accompagné d'une salade, ses jambes se balançaient comme le ferait un enfant. Finissant son assiette, Kill arrive pour débarrasser et lui donner l'addition, déposant son argent sur le bord de la table, elle repartit en prenant son sac qui était à côté de sa chaise.
Certaines personnes, voulant prendre l'argent sur la table, furent interrompues par une odeur de brûlé, leurs vestes se mirent à brûler et le garçon aux cheveux sanguins rigole sadiquement.
Makoto ouvre son sac en marchant et sort des papiers en regardant le contenu."Meurtres d'une famille de paysans, non loin du chemin de fer ! Qui est donc le coupable ? Un potentiel rival ou le meurtrier fatal ?" Se rendent à la police de la ville, elle se rend au guichet des meurtres et demande un rendez-vous avec un certain Nick Dolls. Se rendant dans le bureau de ce dernier et se stoppa devant la porte et envoie un message à Jiyu, puis toque à la porte.
— Bonjour monsieur Dolls. Elle rentre timidement et ferme doucement la porte.
- Tiens ma petite Pl... Euh, je veux dire Makoto. C'était un monsieur d'une quarantaine d'années, une barbe taillé avec des cheveux courts, mais à peine coiffé, il semblait avoir une forte apparence, mais quelques muscles tout de même, il était brun avec des yeux noisette, sa tenue était celle d'un cow-boy, il avait tous les accessoires, le chapeau, les bottes, la veste, et même l'insigne, un revolver à la ceinture muni d'un bâton de l'autre côté, et des menottes. C'est vrai que tu as changé de prénom, je n'ai toujours pas l'habitude, alors de quoi voulais tu me parler ? Il lui tend la main et elle lui sert en retour.
— J'ai peut-être trouvé une piste pour l'assassin de mes parents. Makoto avait une voix enjouée.
— Soupir, il se frotte le front. J'apprécie l'effort que tu fais, mais on en a déjà parlé. Il pose ses mains sur ses épaules. Le meurtrier est introuvable.
— Pourquoi personne ne veut m'aider à trouver l'assassin de mes parents !? Makoto était énervée et avait reculé.
— Makoto, écoute... Dolls joint ses mains et les secoue légèrement. Je sais que tu veux retrouver cette personne et l'enfermer... Mais je te l'ai déjà dit, on a aucune piste ! Il monte légèrement le timbre de sa voix et Makoto baisse les yeux et serre les poings. Hey ... Hey, lève la tête et regarde moi! Il lève la tête de la jeune demoiselle. Il n'y avait aucune trace ADN dans toute la maison. N'y arme, n'y traîne de sang. Dolls à chaque détail conté sur ses doigts. Absolument rien ! L'enquête est classée sans suite...
— Vous êtes un enquêteur sur les crimes de cette ville... Mais vous êtes inutile. Makoto part en claquant la porte, Dolls soupire en se frottant le front.
Makoto, commence à ruminer dans son coin et fait des rondes, fait des bouffées d'air en essayant de se calmer, mais elle était trop énervée, puis des disputes parviennent à ses oreilles. Elle reconnaît ces voix et regarde d'où ça venait, marchand dans le couloir, Makoto parvient à rejoindre la zone de garde à vue.
— Tout ça, c'est ta faute ! Une voix d'un jeune homme.
— Cipher, c'est toi !? Makoto attendait une réponse.
— Oui ! C'est qui ?
— C'est Makoto ! Où es-tu !?
— En garde à vue, cellule... Euh... Quelque chose !
— D'accord, j'arrive !
Elle part en direction des cellules, elles semblent toutes vides puis retournent sur ses pas près du bureau du Chérif. Il y avait une cellule où l'on mettait les personnes qu'on venait d'attraper, qui donnait sur un couloir cela permettait aux policiers, de savoir qui avait été pris la main dans l' sac. Makoto regarde la pièce et vit Cipher collé au barreau, derrière lui n'était autre que Kill et assis par terre Jiyu qui semblait s'ennuyer.
— Qu'est-ce que vous faites là ? Makoto faisait des gros yeux d'incompréhension.
— Makoto ! Jiyu, dit-elle surprise, se lève et attrape les barreaux. S'il te plaît, fait moi sortir d'ici.
— Vous avez fait quoi? Pour vous retrouver ici?
— Bagarre dans le bar. Dit Cipher toujours contre les barres. Il n'y avait pas, Yuri du coup c'est parti un peu en couille.
— Attend, attend, attend... Makoto secoue sa tête d'incompréhension. Vous vous êtes battu dans le Hollyday ?
— Ouaip, mais il y avait la police on avait pas capté. Cipher lâche les barreaux et va vers son frère. C'était de sa faute.
— Quoi! Pourquoi moi?
— Parce que tu attires, toujours des problèmes. Cipher le tappe légèrement.
— Tu rigole, c'est toi qui a cogné en premier!
— Makoto, j'en peux plus, ça fait 30 minutes que je subis leur dispute...
— J'ai envie de chanter du Barry White. Kill se redresse et pousse Cipher.
— Oh putain ! Disent Jiyu et Cipher en même temps.
— Je vais appeler Yuri pour qu'il vous fasse sortir.
— Quoi? Non,non,non ,non. La demoiselle aux cheveux nuit-noire, secoue la tête.
— Pourquoi non? Demande le jeune garçon aux cheveux de blés. Il peut, grave nous aider.
— On va se faire défoncer!
— Ouais c'est pas faux, bon Makoto laisse tomber.
— Je pense que je vais quand même l'appeler. Makoto souris. Allez courage ! Bye! Elle part en courant.
— Bienvenue dans mon monde. Kill avait une voix sarcastique et les deux adolescents le regardaient dépité.
Attendant derrière les barreaux, Nick Dolls apparaît, le son des clés retentit contre sa jambe.
— Vous pouvez sortir. Dolls ouvre la porte de la prison. Venez suivez moi. Les trois se regardent sans rien dire et le suivent.
Quelques minutes après, ils étaient dans son bureau, assis.
— Bon, Kill... Yuri va venir vous chercher. Jiyu et Cipher regardent le jeune homme confus.
— Merci Dolls... Hum... Je voudrais que mon frère et son amie, non pas de dossier ou casier judiciaire...
— T'en fais pas, c'était juste une bagarre, on fera rien, tant que les conséquences, ne sont pas gravissime.
— Oh merci. Kill était légèrement stressé et tendu, il avait presque du mal à prononcer ses phrases.
— Honnêtement, ça m'a surpris de te revoir à nouveau. Dolls avait un ton narquois. Tu as fait pas mal de conneries avant... Ou plutôt c'était toujours au mauvais moment.
— C'est vrai. Kill ricane légèrement.
— Ne vous inquiétez pas, il n'y aura rien ! Il s'adressait plus sérieusement au trois, ce qui les surprit, légèrement.
— Je suis là. Ils se retournent et virent Yuri.
— Aller si, mais Kill, j'aimerais te parler. Cipher et Jiyu partent et les laissent seuls.
— Qu'est-ce qu'il y a ?
— Je voulais juste te dire que je vais bientôt partir dans quelques mois.
— Quoi ? P-pourquoi ? Vous êtes encore jeune normalement ! Kill était dans l'incompréhension.
— Les supérieurs, on vu que je te couvrait trop avec Yuri, du coup, j'en subis les conséquences.
— Ce sont des conneries, vous ne pouvez pas partir ! La confusion qu'il animait se transforme en colère.
— Kill. Dolls pose ses mains sur ses épaules. C'est normal, que je sois viré... L'homme policier secoue la tête. Tu as bien changé, je suis fier de toi ! Mais n'oublie jamais, que tu as une chose à réparer... Le vieil homme sourit.
— Cipher... Mon petit frère...
— Oui, et même si ça prend du temps, ça se réparera... D'accord.
— Oui !
Kill quitte les lieux en le saluant, il regarde Yuri et sourit, Cipher lui attrape son bras et lui sourit.