( Note de l'auteur : Je vais ouvrir un compte patreon j'espère rapidement et je mettrais en ligne cette histoire avec des chapitres en avance et avec des images... . Au maximum j'espère mettre tout ça en ligne sur patreon d'ici une ou deux semaine. EN : Author's note: I will open a patreon account I hope soon and I will upload this story with chapters in advance and with images... . at most I hope to put all this online on patreon within a week or two )
Quand elle dit ces mots l'excitation en moi a explosé. Une belle femme mature me proposait de voir sa grotte secrète ? Je serais fou de dire nan !
« Tante Meg doit plaisanter. »
Avant toute chose dans ce monde je voulais le comprendre. Même si je n'ai jamais vu de mes yeux à quoi ressemblait la malédiction du plaisir je ne voulais pas m'y frotter.
Étrangement mon corps voulait se libérer des griffes de cette manipulatrice. On dirait que l'ancien Max a eu des mauvaises expériences avec les femmes. En fouillant dans sa mémoire je confirma vite que c'était vrai.
Max voulait donc s'écarter sans y arriver. Tante Meg n'était pas n'importe qui ! Dans la famille Heart elle était déjà dans le niveau de l'Esprit Spirituel qui était le deuxième grand niveau après le premier qui se nommait l'Apprenti Spirituel.
Chaque grand niveau était divisé en dix petits niveaux. Je n'étais même pas un premier niveau d'Apprenti Spirituel comment pourrais-je lutter contre un cultivateur de l'Esprit Spirituel ?
Mon corps fut violemment poussé contre mon lit. Bien que la situation ne semblait pas aller bien pour moi, comment ne pas se réjouir d'attirer l'attention d'une telle dame ?
Une énergie a bloqué mon corps qui était totalement immobile. Je fais quoi maintenant. Protester ou se laisser faire ? Nan ça reste un viol comment pourrais-je me faire violer ! J'ai ma fierté !
Max avait la mentalité d'un jeune homme d'un autre monde. Bien qu'influencé encore par les restes de l'autre qui évitait les femmes, sa propre fierté d'homme l'empêchait qu'une telle chose se produise.
« Arrête de bouger ! Depuis que je t'ai vu t'excuser je devais passer à l'action. Toi t'excuser c'était trop beau pour être vrai ! Ta tante à bien envie de jouer un peu. Laisse toi faire. »
Ses mots ont été prononcés avec de l'énergie spirituelle et mon corps est devenu tout mou. Je ne pouvais pas lutter.
La tante Meg pouvait sentir que le jeune homme de 14 ans était excité.
« Je le savais. Tu évites les femmes car au fond tu les aimes ? »
« Comment ne pas les aimer, dis-je en marmonnant. »
J'aimais les femmes bien sûr que oui ! C'était la plus belle création de l'univers. Dans ce monde ces mots passaient pour autre chose. Oui les hommes étaient attirés mais n'aimaient pas.
Le mot aimer était pour signifier attirance sexuelle ! La malédiction du plaisir touchait le plaisir pas la stimulation ou l'excitation. C'était cruel ! Que ce soit en donnant ou recevant le plaisir la douleur vous frapperait.
Sa main est passée sur mon torse alors que ma chemise de nuit disparu laissant place à une peau pâle mais belle.
« Oui j'aime ça. »
Avant que je puisse dire un mot sa bouche s'est enfermé sur mon téton. Je n'en revenais pas quand tout à coup.
« Huuuuuuummmmph... . »
Dès que le premier pic de plaisir est arrivé il s'est transformé en une douleur atroce. Ce n'était pas assez fort pour que je crie mais en aucun cas je ressentais du plaisir.
« Oui c'est ça ne crie pas, on pourrait nous entendre. »
« Tante Meg... s'il te plaît arrê... ! »
Tante Meg a tourné sa langue ce qui m'a fait grincer des dents de douleur. Par la suite sa main est descendu vers mon entrejambe.
« Gggggh. »
Je voulais crier pour protester sans pouvoir le faire. J'ai vu ces yeux posés sur moi avec un sourire vraiment étincelant. Elle prenait sans doute son pied par contre !
« On va aller à la vitesse supérieure. Je n'ai pas envie de prendre ta virginité mais la sentir serait pas mal. »
Une main s'est agrippée à mon manche dur et mes muscles se sont contractées. La douleur était horrible et elle augmentait.
« Aaaaaaah ! »
Dans la douleur impossible de retenir un cri remplit de tristesse. Ce moment qui devait être magique fut finalement horrible. Au lieu de crier d'une manière rauque et grave dans le plaisir, c'était un cri froid et triste.
« Aaaaah aaah ahhh tante Meg s'il te plaît stop !! »
« Quoi s'arrêter alors qu'on commence. »
Sa main douce accéléra le rythme. C'était comme si quelqu'un vous brisait la chair. La malédiction du plaisir portait parfaitement son nom.
La douleur commençait à me faire perdre conscience. En quoi était-ce du plaisir. Ce n'était que douleur sans fin.
Tante Meg a vu les yeux de Max partir alors elle sera sa bite assez grosse pour un jeune de 14 ans.
« Tu crois t'évanouir ? Si ce n'était pas pour cette fille qui t'as harcelé il y a un an alors comment pourrais-tu avoir peur des femmes ? »
Elle déplaça son corps pour poser son cul sur mon visage.
Je n'y croyais pas. Elle est vraiment folle ! Sans le vouloir je sentais quelque chose de gros sur ma tête mais ma bouche touchait quelque chose de plus doux.
J'ai essayé de la bouger quand... .
« Ah ! »
Le cri aigu de tante Meg me fit penser que j'avais touché ses fentes interdites. Mon excitation était au maximum alors que tout était mélangé à la douleur saillante. Je ne peux pas croire qu'un tel mélange existe.
« Héhé continue, je sens ta queue se durcir alors que tu cris de douleur. C'est ça les hommes. Incapable de résister au désir mais incapable de ressentir le plaisir ! »
De loin, on pourrait en effet penser à une scène très torride mais seule une personne profitait du plaisir à ce moment. Tante Meg resserra la prise une fois de plus sur l'engin de Max le faisant crier fortement.
« AAAHHHHH !!! »
Cette fois impossible que personne n'ait entendu.
« Idiot ! Pour la peine lèche. »
Ses fesses se sont enfouis encore plus sur mon visage. L'excitation qui me déchirait avec la douleur était indescriptible.
« Dépêche toi les autres viendront rapidement. Si on découvre que je suis entré dans ta chambre je pourrais avoir des problè... ah ! »
Bien que coincé j'ai aligné ma bouche avec ses fentes délicieuses. Elle ne portait qu'une tenue fine. C'était toujours la première fois que je sentais le sexe d'une femme.
« Oui c'est ça continue ! Plus vite ! »
Ma langue est sortie difficilement mais au final j'ai léché. Une nouvelle douleur a éclaté sur mon visage. J'avais l'impression que ma langue était découpé en morceaux.
« Oui oui !! Max t'es doué ! »
Plus je le faisais et plus la douleur m'envahissait.
« Ne t'arrête pas !!! »
Mais elle n'allait pas me lâcher alors que je ne sentais presque plus mon engin à cause de la douleur. Il était impossible que je vienne avec une telle douleur.
« Humph ! »
Elle poussa fortement son cul sur mon visage une nouvelle fois. Ma bouche et ma langue a clairement sentit ses fentes humides.
« Huuuuuuum oui ! Aller on termine ça lèche ça bien cette fois. »
Le moment d'après, elle était dans l'autre sens. Si on pouvait le dire selon la norme de la Terre avant nous étions en 69. A présent elle était tournée vers moi. Elle avait lâché ma bite.
« Je deviens humide ! »
Les femmes ne s'intéressaient qu'à leurs plaisirs et les sadiques faisaient souffrir les hommes. Tante Meg n'est pas totalement folle au moins sinon je n'aurais plus d'engin.
« Aaaah aaaah Max... . »
Ses mains ont serré ma tête alors que j'étouffais ma langue passant parfaitement sur son sexe. Du liquide transparent commençait déjà à couler de sa fente.
« Max ouiiii, dit-elle en criant presque. »
Quand je sentais ça la douleur explosait en moi. Ma langue devenait lourde.
« Oh putain, t'es doué ! »
Mes yeux ont vu difficilement un coin rose. L'excitation explosa une fois de plus alors que ma langue s'est enfoncé plus loin dans la douleur.
« Ouiiiiiiiiii !!!! »
A l'instant d'après, elle se mit à crier alors que je m'étais occupé de ses lèvres maintenant sales. Un jus presque vivant est sortit d'elle m'aspergeant le visage apportant une odeur obscène.
« Aaaaaah ! Max je me suis bien amusé. »
Une seconde plus tard, elle était partie. Ce fut à mon tour de souffler. Mon corps tremblait. La douleur est horrible ! Je crois maintenant que cette malédiction du plaisir est bien vraie.
Max n'avait sentit aucun plaisir et ses cris de douleur ont été éteins dans le plaisir de sa tante.
« Il faut que je trouve un moyen de sentir le plaisir. Je viens d'un autre monde. Ne devrais-je pas avoir un super pouvoir ? »
Tandis que je réfléchissais je voulais fortement dominer cette femme, les autres et ce monde ! Tant que je trouvais un moyen de ressentir le plaisir dans ce monde alors je voudrais me créer mon harem.
« Je dois aussi devenir fort sinon les autres femmes viendront sans doute me chercher des problèmes. »
Un nouveau grincement retentit alors que ma porte s'ouvrait.