« Je suis Thisvelt, l'elfe du sud. Prépare-toi à mourir »
L'aventurier, fît face à son adversaire, il lève ses poings prêts à recevoir l'attaque de son opposant, mais rien ne se passa. La pièce est plongée dans un silence presque terrifiant, le plancher est en désordre, recouvert de soupe, de miette de pain et de deux corps évanouies. La table est sur le mur, elle fût envoyée bien loin, certain de ses morceaux se sont retrouver éparpiller partout. Et au milieu de tout ce désordre se tienne les deux adversaires, tout deux en position. L'elfe sourit, et eut un rire hystérique, ses cheveux recouvrent ses yeux, sa tête part dans tout les sens. Le rire commence à devenir de plus-plus en bruyant, mais ça ne déconcentre pas notre aventurier pour autant, bien au contraire, il serre les poings, fixe son adversaire, pris une inspiration, et se jeta sur lui à une vitesse incroyable. L'elfe continua de rire, malgré le bon de son opposant, et lorsque l'aventurier se trouva juste en face de lui, il leva son arme et para le coup de poing par la gouttière de la l'épée, puis le repoussa ce qui fit perdre à son adversaire sa pose, celui-ci se retrouve exposer à n'importe qu'elle attaque, mais Thisvelt n'en fit rien, il se contenta de continuer de rire alors que l'aventurier reculait le plus loin possible. L'aventurier resta sans voix, il ne comprend plus rien, à l'heure qu'il est, il aurait pu se faire tuer au moins trois fois, alors l'elfe ne cherche pas à le tuer ? Non, la réponse est beaucoup plus sombre, sous sa chevelure en constante mouvement, les yeux de l'elfe ressortent, et avec eux la lueur rougeâtre qui en émane. Il a succombé à la folie, déjà !? L'aventurier se dirigea ver sa sacoche, il enjamba les corps d'Azkhar et d'Elima, le plancher cracke sous les pas de l'aventurier, une fois devant la chaise ou il fût assis, il accrocha son arme à sa ceinture, et fouilla sa sacoche, pour en ressortir une ronce argentée, il la mit dans l'une de ses poches arrière. Au moment ou il se releva, un cri strident retentit, les fenêtre tremble tout comme le plafond, en tournant le regard l'aventurier vit le tranchant d'une épée se dirigé droit dans ses yeux, il essaya de reculer, mais trébucha sur sa chaise, il se jette alors sur le sol pour éviter la seconde attaque, le son de chaise qui se brise fait de l'écho, les morceaux partent dans tout les sen, et l'aventurier les yeux grand ouvert le vis, l'elfe a la peau tout taillader, le visage rouge sang tout comme ses yeux, son rire laisse place au hurlement, symbole de mort. L'aventurier roula sur lui-même pour éviter la pluie de coup qui s'abat sur lui. Thisvelt a perdu le contrôle depuis bien longtemps, si l'aventurier ne fait rien, il risque de devenir un monstre. L'elfe est déjà bien avancer dans la corruption, mais pourtant, ses attaques sont nette et précisent, sans la moindre faille ni relâchement, des attaques souples digne des plus grand maîtres d'escrimes. L'aventurier se mit en position, il colla son dos à la cheminée, puis sortit sa lame, il la pointa ver son adversaire en signe de défis, le silence retombe sur la pièce, le plancher est troué par les centaines de coups d'épée de l'elfe. Les deux ennemies se retrouvèrent face à face, Thisvelt se mit à trembler de rage, il avança en direction de l'aventurier en écrasant les derniers morceaux de cette table déjà bien détruite, puis dans une vitesse presque surhumaine, il se jeta sur lui d'un coup d'estoc, l'aventurier esquiva, l'attaque se retrouva dans le mur derrière lui, l'épée de l'elfe se retrouve coincé dans le solide bois du mur de la maisonnette, l'aventurier se jeta alors sur lui en lui assénant un coup frontale. Un énorme fracas résonne en écho dans toute la forêt, les murs tremble, la peinture sur la cheminée tombe, et à sa chute un brouillard de poussière se relève sur toute la salle, le plancher est troué, les morceaux de bois se sont disperser partout, tout comme les deux combattant, en se relevant l'aventurier ne put voir ni entendre grand-chose, il a mal à la tête, son crâne a dut se cogner à l'un des meubles de la maisonnette, il se relève non sans trébuchant, il n'arrive pas à garder l'équilibre, il dut se tenir sur le lit qui l'a assommé. Petit à petit il reprend son ouï, ce qui lui permit d'entendre les puissant coups d'épée qui résonnes dans cette sale bien délabré, sa vision n'est plus trouble, et au moment où il releva la tête, un immense bouclier émeraude au milieu avance à une vitesse incroyable en sa direction, il n'eut guère le temps de réagir car celui-ci se retrouva projeté à travers le mur de la maisonnette à nouveau sonné.
L'aventurier se releva, son dos est dans un terrible état, et sa jambe est ensanglanté, il ne peut que ramper ver son arme qui c'est détacher de sa ceinture. Les bois sont assez calme, il n'y a que l'écho du combat de la maisonnette qui résonne dans se vide infini, sombre et terrifiant. L'aventurier tressaille, il ressent un immense froid traverser tout son corps, il balaye du regard les terres désolé. Il ne voie que des arbres sans feuilles, des ronces argenté et une terre toujours aussi aride. Pourtant il ressent un profond malaise, un malaise injustifiable, comme si quelque chose l'observer. Puis tout se déroula très vite, un craquement puis un écrasement, et le sang qui gicle partout, tout comme les boyaux, un hurlement abominable de douleurs retentit dans la forêt du sud, puis s'en suivie une voix profonde et imposante :
« Je t'aurai prévenue. »
Au plus haut sommet de l'univers. Une salle circulaire, faite de bois dure, des symboles parcours les alentours des piliers qui érigent cette sale, eux aussi fait de bois. Et partout où l'œil se pose, il y'a des trônes. Des grands, des petits, des moyens, en or, argent ou saphir, des centaines de trône. Et l'aventurier debout au milieu de cet immense édifice garde ses yeux braqué sur l'immense créature qui lui fait face. Un lézard à la carrure d'un homme, les écailles bleuté et les yeux rouge sang, tout son corps est recouvert d'écaille, et une queue, faite de la même matière que le reste, gigote derrière lui. Ses émotions sont imperceptibles, enfin, s'il possède des émotions. La créature doit faire dans le deux mètres, elle s'approche calmement de l'aventurier, puis lui dit du ton le plus joyeux qu'il est jamais entendus :
« Tu es mort. Ça te dirai de recommencer ? »