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Chapter 2 - Le chemin

Toute mon enfance, je sentais une drôle de censation, on était pas une famille nombreuse, mais j'étais tout le temps entourée, mais cela ne changeait pas ce presentiment d'être surveillée, par une force étrangère, je ne disais rien à mes parents, sans doute parceque je ne prenais pas la chose au sérieux, ou tout simplement trop jeune pour comprendre, je croyais que tout les enfants étaient comme moi, sauf que la plupart d'eux ont la trouille, certains font des cauchemars, d'autres incapables de rester seul dans la chambre, pour ma part ce sentiment, je l'ai vaincue par innocence ou nativité, je sentie des choses, et je prevenis ce qui allait se passer, mais je ne disais rien, un jour, ma mère me raconta qu 'a ma naissance, je portais une fleur rose entre les sourcils, et que j'ai perdu en commençant à marcher, je regardais tout le temps dans le miroir s'il y avait en moins de fines traces.

Un jour en revenant de l'école, je montais voir ma copine, elle habitait au 1er, elle, sa mère m'a demandé de l'attendre un peu dehors, je me suis retournée en arrière et mes yeux sans savoir pourquoi, se lèvent vers le ciel, c était dans la journée, impossible de voir la Lune à cette heure de la journée, et ça ne pouvait pas être le soleil, trop brûlant pour les yeux, et moi je voyais une sorte de planète avec un visage souriant d'un vieillard, tellement hebahi par la splendeur de la vue sans prendre conscience, j'étais en bas d'escaliers par terre, et en revenant à moi, j'ai trouvé une foule, ma copine et d'autres voisins qui sont venus à mon secours,

Je me suis levée sans rien comprendre, je n'avais rien, même pas d égratignures, ma copine et les voisins ont tout rapportés à ma mère et le soir à mon père, mais personne ne se soucier du moment où rien ne s'est passé de grave.

Cette image est restée gravé toute ma vie dans l'esprit, et parmi les presentiment qui me frappent de temps à autres c est d'avoir vécu un évènement au par avant et qu'il se produise de nouveau, parfois aussi, je trouve des objets dans la main sans les avoir touché, la plupart des stylos dont je me souvenais pas les avoir pris dans la main.

j'avais aussi de drôles de rêves, mais ça ne m' inquiètaient pas autant, parceque je n'en doutais de rien, je pensais que tout les enfants étaient comme moi,

Que j'en parlais à personne, mais ce qui a un peu inquiètait mes parent, c est la haine que j'avais envers les médiums et les voyantes, je ne les supportais pas.

J'ai grandis ainsi, avec un sale caractère, on dirait un dédoublement de personnalités, une forte haine envers ma famille et quelques fois je ressens des remords et je me demandais pourquoi je suis si injuste et ingrate envers mes parents, eux qui m'ont donné que de l'amour...

Je grandis sais en ne contrôlant plus mes sentiments ni mon comportement, ni ma vie entière, je me mette souvent dans des salles situations, mais si comme si j'étais surveillée et protégée, je m'en sortais tout le temps saine et sauve, puis un jour, j'ai rêvé sdu même vieillard que j'ai vue sur la planète et c'est le même qui me rendait visite dans mes rêves, cette fois ci, il était furieux contre moi,

le matin j'étais dans une humeur de stress, pour la première fois, je sentie une peur, une insécurité, que quelques choses allait m'arriver, une punition oui j'étais sûre que j'allais être punit, quelques jours plutard je sentais l'accélération de battements cardiaques, et une sensation d'evanuissement, et mes pauvres parents étaient dans le choc et la peur que personne ne pourra décrire, j'avais déjà lu et vue la déception dans leurs yeux.

Le diagnostic était Claire, une hypertiroid qu il faut extraire, je n'étais pas vraiment inquiète à mon sujet comme la peur de mes parents me déchirait, et j'ai sentie pour la première fois leur peine et leur tristesse.

Le jour de l'opération est arrivé, ma mère me conseilla de ne pas crier en me réveillant quoi qu il arrive, je me suis contentée de lui sourire.

La veille de l'intervention, un jeune médecin est rentré pour me préparer psychologiquement, entre nous j'aurais préféré qu il ne l'ai pas fait, il était là debout à mes pieds, mon dossier médical entre ses mains

il me regarda en souriant

puis il entama la discussion.

- Salut, comment vas tu? pas inquiète j'espère ?

en répondant je savais que j'allais dire une bêtise et j'allais être punit de nouveau, mais je ne sais pas pourquoi, ma langue m' desobeillit et j'ai répondu ce que je n'aurais jamais dû dire.

- non non pas du tout, j'ai confiance en toi docteur

Cette réponse après être prononcée était comme un tranchant dans mon coeur, je ressentie un incroyable resserment de cœur, et ce qui est encore incroyable c'est que j'avais compris de quoi s'agit il.

Après 8heures dans le bloc opératoire, on m'a fait sortir, déjà j'étais à moitié consciente que on a retiré violement le tube respiratoire du larynx, le soir je me suis réveillée avec une douleur atroce en bas du dos que je mettais à crier, les infirmiers ont réussi à me calmer, et la nuit, j'ai sentie une fontaine chaude sur ma poitrine, j'ai mis dans intention ma main sur ma poitrine que je sentais mouillé, j'ai ouvert les yeux et j'ai trouvé ma main toute rouge, pleine de sang, j'avais les larmes aux yeux , je criais mais personne n'entendait, j'ai sentie un peu de force en moi, je me suis levée avec courage et j'ai prit la bouteille de sérum dans ma main, et je marchais à Lourdes pas et difficilement. pour chercher de l'aide, tout à coup j'ai entendu des éclats de rire, c'était au 1er, j'ai descendu, je ne sais pas comment mais dessendu et je me suis retrouvée directement devant la porte des infirmiers, ils éclataient de rire qu ils ont à peine entendu mes frappes à la porte.

Du coup, la porte s'ouvrit et une belle blonde qui arrangeait sa coiffe et ses vêtements se met face à moi et me dirigea vers ma place, tout en s excusant et me priait de ne rien dire au médecin, et le lendemain j'allais rapporter ce qui s'est passé la nuit au médecin quand tout à coup je suis tombée dans l 'hypocalcemie, je croyais que j'étais paralysée à vie, mais après tout cette aventure on a réalisé qu au faite mes cordes vocales sont abîmés et paralysés, le côté gauche.

Depuis ce temps, et moi je repensais à tout ce qui m'arrivait et je ne trouve pas de réponse, les sensations et les prédictions sont toujours là, mais les portes du secours sont toutes fermés. a clefs devant moi, ma vie est devenue une série d'aventures et d'événements tragiques, au point où je suis devenue indifférente à tout sentiments, le mal ou le bien, et ce qui m'a toujours intrigué c est l'absence de l'amour, je ne connais jamais ce sentiment, je ne sais pas aimer, ni comment aimer, lorsqu' on parle d'amour sur tout ses aspects devant moi, je vivais, je conduisais une carcasse qui devient avec le temps rouillée et difficile à porter, et au fond de cette carcasse la petite fille d'autres fois, la preuve je me mette toujours dans des situations non volontaires, mais qui ont une fin tragique, mais à chaque fois je m'en sors Indemne, je me souvenais qu un jour, je m'amusais au balcon de notre maison, je jouais avec des cartons que je roulais comme des jumelles pour regarder plus moins, soudains j'ai entendu juste une forte claque, sur le bois de la porte fenêtre, elle était si violente, sans causer de trous à la porte fenêtre, et quelques chose est tombée par terre, tout près de moi, je la regardais roulée , je l'ai prise, elle était si minuscule, en inox ,ou plomb ou je ne sais de quel matière est elle, elle était d'un éclat propre, plus que l'argent, je la regardais un moment, et j'ai demandé à mon demi frère ce que c'était, il m'a demandé d'où je l'ai prise, il m'avait pas cru quand je lui ai dit qu on a frappé avec sur la porte fenêtre du balcon, il allait mourir du rire en disant

- arrêtes tes conneries, ou est le trou, montres moi, et bien-sûr personne n'a entendu le coup de feu, c est ça ?

Et là j'étais choquée en répondant

- coup de feu, quel coup de feu?

- mais c est une balle ce que t'as là, une balle de pistolet,

Ajouta t'il

Je restait un moment hebahi, stupéfaite, puis je rajoutais comme si je voulais attirer son attention..

- une balle ! Mais comment à t'elle atterrit ici, hein?

- je ne sais pas petite sœur, c est too qui sait, ou est ce que tu l'as déniché ?

Puis il ajouta en tapotant sur mon front, toujours d'un air moquant

- j'ai toujours que t'es pas normale soeurette, je l'avait dit souvent à ta mère, mais elle veut pas me croire, allez range moi ça, si tu ne veux pas nous foutre la merde .

Jettes la et debarrasses toi d'elle, donnes,

Il me l'a prit des mains et il la jetait par la fenêtre.

Ce soir là, je me posais beaucoup de questions, à cette époque là, mon pays traversait une période, une décennie d'enfer de terrorisme, les filles qui ne portaient pas le voile se font décapités et exécutés

Je me suis dit peut être que l'un d'eux a essayé de m' executer, mais y avait pas de coup de feu et la porte fenêtre est intacte, et le même scénario s'est répété cette fois ci dans la rue, à quelques mètres de chez moi, y avait pas de foule, quelques choses à frappé entre mes pieds, et c'était cette chose, comme cette balle à pistolet, j'ai regardé tout autour de moi, mais en vain, je n'ai rien vue, j'ai j'étais de mes mains cette balle, et j'ai couru chez moi, sans rien dire, raconter quoi, si personne n'est prêt à m'écouter, ni à me croire, je pense sans cesse à ces événements, et je n'ai jamais trouvé la réponse,

Sauf qu il y a une force dernière moi, une force protectrice, dont je ne connais le nom, sauf par une petite lueur de vision une présence d'une silhouette noire sans traits de visage, qui me chuchote dans l'oreille

_ T es à nous Zora, t es la notre

Je voulais en parler avec ma mère sur cette phrase et cette voie, mais hélas, elle ne pourra jamais rien dire, elle avait perdu la raison quand j'avais vingt quatres ans,

Je sais que le temps me réserve bien quelques chose, et j'ai peur de ce que je vais découvrir.

A suivre

Écrit part Saida Zerrouki