Bonjour, je m'appelle Happy, je vis au Luxembourg, au centre-ville. Je vais à l'école XXX. J'ai pas mal d'amis et je suis assez populaire. Je suis célibataire à la différence de mes amis mais que voulez vous que j'y fasse je préfère être seule. Si je me mets avec quelqu'un j'aurai des responsabilités, et, je n'aime pas ça. Aujourd'hui c'est la rentrée des classes des cinquièmes. Je me retrouve avec la même lettre que l'année dernière " F ". Dans ma classe nouvelle classe je connais tout le monde, pas de nouvelles têtes. Quel dommage ! Notre prof principal est un professeur de français, monsieur Lesceau. Il est sympathique et ouvert d'esprit mais gare à ceux qui ne l'écoute pas.
Nous avons fait le tour du collège même si ce n'était pas nécessaire vu que tout le monde était là l'année dernière mais bon la dame de la vie scolaire et monsieur Lesceau ont insisté pour faire un tour. Ils nous ont dit que après ces 4 mois de confinement et ces 2 mois de vacances nous avions peut être oublier certains endroits. Pendant la visite je suis restée avec Arthur, mon meilleur ami avec qui j'avais eu la chance d'être, et, oui, l'amitié fille-garçon existe ! Après la visite nous sommes retournée dans notre classe. L'horloge afficha 12:30, la cloche sonna. Monsieur Lesceau, qui avait perdu la notion du temps c'est dépêché de nous distribuer notre emploi du temps. Voici mes horaires : lundi-17 heures 10, mardi-14 : 10, mercredi- 15 : 20, jeudi-15 : 20 et vendredi- 17 : 10. Mon emploi du temps n'était pas si mal que ça, sauf que je finissais à 17 heures les lundi et vendredi. Il faudra que je m'y abattue, ce n'est pas vraiment comme si j'avais le choix.
Je pris le bus avec Arthur. Nous parlâmes des personnes qui étaient dans notre classe. Je lui confis que j'aurai bien aimé ne pas rester dans la même classe que Alisson, Aliana et Kaycie. Elles sont des filles à problèmes. Arthur et moi parlèrent tellement que je ne me rendis pas compte que son arrêt était le prochain. Il me salua puis descendit du bus, je mis ma musique dans mon masque et regarda par la fenêtre. Il commença à pleuvoir, heureusement pour moi je n'habitais pas loin de l'arrêt du bus. Je descendis puis marcha jusqu'à chez moi. Deux minutes plus tard j'étais dans le hall de mon bâtiment. Je sortis mes clés, ouvris ma boîte aux lettre pour le prendre le courrier, ouvris la porte puis partis. Je monta les escaliers puis arriva devant la porte de chez moi. Je soupira puis entra chez moi.