Le destin est vraiment ignoble, elle permet à certaines personnes de vivre pleinement leurs vie sans efforts et de profiter de la bénédiction du destin jusqu'à leurs mort.
Alors que d'autre naisse sans rien et malgré les efforts sont incappable de réussir et meurt sans la bénédiction du destin.
Et moi je faisais parti d'un troisième groupes qu'on appelait les ' héros '. Les ' héros ' sont un groupe de personnes qui est prêt à se sacrifier sans aucune hésitation pour sauver la vie d'une inconnue au détriment de la leur. Je pensais que les ' héros ' n'existait pas, pour moi c'était un mot qu'on avait inventé pour représenter la bonté et le sacrifice de soie et pour apprendre aux gens à être solidaire.
J'avais une vie toutes tracé, j'étais née dans une famille riche de seconde classe, je ne manquais de rien, j'étais respectée. Pourtant je ne méprise personne car mes parents m'ont appris à être intelligents.
Ma vie était merveilleuse jusqu'au collège.
Mes années au collège se passait bien, j'avais de bonne note, bon en sports et pleins d'amies, jusqu'à ma troisièmes années où j'ai été témoins d'un harcèlement. Cela s'était passé dans les toilette a la fin des cours vers 17h30, il y avait quatres élèves qui étaient en train de tabasser et d'insulter un élèves au sol. Je suis donc parti l'aider, je me suis battu contre les quatres élèves jusqu'a qu'ils soient au sol incapable de se léver. J'ai ensuite aider l'élève à se relever et je l'ai encourager à se défendre contre eux puis je l'ai ramener à l'infirmerie où j'ai expliquer sa situation à l'infirmière et je pouvais enfin rentrer chez moi.
Je regrette de l'avoir aider.
Depuis ce jour-là quelques semaines s'était écoulé, j'avais prêter attention à toutes rumeurs qui pouvait circuler sur un élève se faire harceler mais heureusement je n'avais plus revu ou entendu parler d'événement de ce genre là.
J'avais penser qu'il avait pu reprendre une vie normal sans être agressé physiquement et psychologiquement par ces camarades de classe. Mais j'ai ensuite appris par inadvertance d'un de mes amies qu'un élève de notre collège s'était suicidé mais personne ne connaissait la cause, on m'avait montré une image du suicidé et c'était ce garçon.
J'était sous le choc toutes la journée, je ne pouvais pas croire qu'il s'était suicidé et je ne pourrais jamais comprendre ces motivation alors que je l'avait libéré mais ensuite j'avais compris, ces quatres élèves avaient publié des photos et des vidéos compromettante de lui sur une chaîne youtube inconnue qui a ensuite étaient supprimés au bout de quelques jours mais ils avaient déjà fait quelques milliers de vues.
J'étais abasourdie. Comment peut-on autaut aimer faire du mal a quelqu'un au point de le pousser au suicide ? Est-ce de ma faute parce que je les aider ? Non ! Il n'y a aucun mal a ce que j'aide quelqu'un en danger ? Oui ! Ce n'est pas faute ! C'est la leurs et il vont le payer !
J'étais en colère contre eux pour avoir gâcher une vie mais aussi contre moi même pour être aussi naïf et parce que je pensais qu'il aurait pu reprendre une vie normal sans répercussion.
Je voulais aller les chercher et les battre à mort et leurs expliquer les torts qu'il avait commis mais j'ai réfléchis et j'ai trouver que s'était une mauvaise idée, tout d'abord je ne connais pas leurs classe et leurs noms mais seulement leurs visages. J'y ai réfléchie et j'avais trouver une solution.
Je suis parti au commisaria le plus proche. Pour leurs est expliquer tous ce que je savais a propos du suicide de l'élève et ces quatres agresseurs. Aprés cela je suis renter chez moi l'esprit libre de tout fardeau.
Quelques semaines plus tard, j'avais vue au information que la police avait arrêté les quatres voyous, en voyant cela je pouvais ressentir au fond de mon coeur une joie indescriptible et j'avais l'impression d'avoir un plus d'énergie que d'habitude donc je ne pouvais pas m'endormir ce soir là.
Je suis donc sortie de chez moi pour faire un petit jogging autour de ma maison histoire de me fatiguer pour pouvoir ensuite dormir une fois rentrer chez moi.
Enfin s'était ce que je pensais mais je n'étais jamais rentrer chez moi. Je me suis réveiller dans une pièce sombre avec pour seul lumière centré sur moi produit par une ampoule attaché au plafond et attaché avec des cordes solide sur une chaîne. Je ne pouvais faire aucun mouvement. J'ai été kidnappée.
Cela faisait quelques semaines que j'ai été kidnapper. J'avais perdu espoir que mes parents ou la police pouvaient me trouver. J'ai été torturés de la pire des manière possible. Ils m'avaient tordus tous les os qui pouvaient etre tordus de mon corps et les avaient ensuite remis en place, ils avaient recommencer cette méthode de torture encore, encore, encore et encore et j'hurlais encore, encore, encore et encore.
Je les avaient demandé quelle étaient leurs but en me faisait souffrir de cette manière atroce, je n'avais reçu que des rires comme réponse à ma question. J'étais fatigué de cette souffrance, je voulais juste mourir. Une fois cette pensé avait germé dans mon cerveau je commençais m'évanouir à chaque fois que j'avais du mal à supporter la douleur.
Puis ils étaient passés au niveau supérieure en matiére de torture. Il ont commencé par m'enlever la peau sur mon corps par un produit chimique corrosif. J'hurlai de douleur et de terreur chaque fois que je pouvais sentir ma peau bruler et fondre sous le produit. Une fois ma peau au niveau du cou jusqu'a mes pieds avait disparue, ils avaient commencé a tranché chaque morceau de muscle et de chair que j'avais et ils s'étaient que jusqu'a qu'on voyait un l'os.
Je ne pouvais même pas mourir à chaque fois que je m'évanouisse, on me réveillait en aspergeant de l'eau au visage, j'avais déjà abandonnées toutes penser de survie car même si je survivais je ne pourrais plus vivre normalement.
Et ainsi un jour je pouvais sentir ma conscience s'effacer petit à petit, comme si j'étais aspirer dans un trou noir sans fond, je pouvais sentir qu'on m'asperger de l'eau mais je n'avais plus la force mental de revenir.
Et ainsi j'étais mort sans savoir qui m'avais kidnapper et dans quel but.
Mais je ne regrette rien.