Note : Français : J'avais écrit cette nouvelle pour mon oral de français :/
English: I wrote this for my french oral, if you would like me to make an english version, feel free to a review :)
Être photojournaliste paye bien, mais ce n'est pas facile. Très souvent, je me mettais dans des situations dangereuses et je songeais d'abandonner, mais en pensant aux bénéfices que l'argent me procurait, je continuais comme cela tous les jours sans y réfléchir.
Mon téléphone sonna et je répondais à l'appel. C'était Wang Wei, une célébrité dans l'industrie de la radiotélévision qui avait besoin de photos de l'armée de terre cuite pour produire un nouvel épisode sur l'histoire de la chine. Il m'offrait 1 000 000 yuans. Les risques possibles dans ce travail étaient évidents. Il était illégal de s'infiltrer dans un site protégé par le gouvernement chinois, cependant j'acceptais la demande.
Je partais tout de suite pour le Mont Li. J'arrivais plus tard au pied de la montagne, cependant, l'entrée de la tombe était surveillée par des gardes. Je cherchais pour un angle de mort. Je les observais pendant de nombreuses heures et je remarquais que les gardes prenaient des tours pour surveiller et qu'ils changeaient de postes à chaque demi-heure.
J'attendais le moment où ils changeraient de position et je me suis glissé dans l'entrée. Pour éviter de me faire découvrir, je sentais les parois humides au lieu d'allumer ma lampe de poche. Je voyais un rayon de lumière. Ma respiration devenait irrégulière, serait-ce-t-il à cause de mon excitation ou de ma difficulté à respirer. Peu importait, je sortais mon appareil photo et courais vers la lueur.
Dans la nécropole, je fus émerveillé par des statues. Elles étaient tous uniques, il y avait des fantassins, des cavaliers, des chevaux et même des chars. Je pris une photo d'un cavalier armée d'un glaive. Je regardai longuement l'image digitale. Je levai mon regard et fus bouleversé, le glaive était à trois pouces de me trancher le cou. Je reculais sans perdre le cavalier de mon champ de vision.
Je trébuche par angoisse. Le sol était mouillé, non, mes mains étaient trempées de sueur. Le cavalier leva son glaive et me trancha mon torse. Je pensais à la raison que j'ai pris ce travail, l'argent. À quoi servait-elle? Que pourrais-je faire avec de l'argent si je suis mort? L'argent n'avait aucune valeur réelle, l'argent n'était que des feuilles imprimées avec des numéros. Je regrette de ne pas avoir utilisé mon temps pour poursuivre mes passions. Mais la douleur réprima mon regret, mon sang se répandait partout, la statue s'apprête maintenant à me finir avec son arme maintenant écarlate. La figurine murmura quelque chose : « allo, allo? ALLO! » Je me réveillai en sursaut et vis un garde. Le garde dit que j'étais dans une zone interdite. Je regardai mes alentours et vis ma caméra coupée. Je regarde avec un air confus le garde.
Plus tard, je fus questionné et je répondis tout ce qui m'était passé et j'eus 5 ans de prison. En sortant de la prison, je gardais encore un souvenir de mon aventure, une cicatrice qui était apparue sur mon torse après être sorti de la nécropole.